HO HO HO ! Bienvenue sur cette fic dénuée de logique mais pas de sens jeune (ou viel, sait-on jamais) ami !
Que je vous prévienne d'emblée; la fic sera :
1) courte. ( environ 13 petits chapitres, sans compter les possibles OS bonus sur la fic. Genre des anecdotes, des lemons... )
2) ENTIEREMENT COMPOSEE DE PERSONNAGES OCC. Si vous n'aimez pas les OCC, le cul, la vulgarité et j'en passe, PASSEZ. VOTRE. CHEMIN.
Sur ce, je vais m'enjailler sur "Super Salope" pendant que vous lisez.
Chapitre 1 - un vrai connard
Il l'avait remarqué depuis le début de la soirée. Belle, charmante, gentille et plutôt bien foutue. Parfait. C'était une proie idéale pour s'amuser. Enfin, se vider les couilles était le terme exact, mais peu importe. Il avait réussi à s'en approcher, à danser avec elle et même à lui offrir un verre. Enfin, un... Vu son état, la jouvencelle n'avait pas dû boire qu'un seul verre, et puis pas de la bière blanche tant qu'à faire. Un fois cette dernière bien pompette, le jeune homme usa de ses charmes naturels afin de la persuader de le laisser la ramener chez lui. Se disant qu'elle avait en face d'elle un gentil garçon, elle accepta avec grand plaisir.
Il ne mit pas longtemps à la convaincre de s'offrir à lui. Enfin, convaincre... Elle était tellement torchée la pauvre, elle a pas dit non ! Enfin, après avoir jouit en elle plusieurs fois d'affilé (trois pour être exact), il la tua de sang froid, et se débarrassa du cadavre dans la poubelle en bas de l'immeuble.
En voulant retourner dans sa chambre, il entendit quelque chose. Un bruit. Un murmurre. Quelqu'un en train de chanter à voix basse. Cette voix, il la reconnaîtrait entre mille. C'était le Patron. Son Patron. Son objet à sa merci. D'ailleurs, puisqu'on en parle, pourquoi s'appelait-il "Patron" me direz-vous. Il est vrai qu'il n'a rien d'un boss. En vérité, on l'appellait "Patron" pour la simple et bonne raison que c'était lui qui dirigeait la maison. Un peu comme une mère de famille.
Il pénétra doucement dans sa chambre. Il avait son casque sur les oreilles, son nez sur ce qui semblait être une partition. le Geek* ( surnommé ainsi parce qu'il était - et avait toujours été - un looser doublé d'un gros connard) se glissa dans le dos du Patron. Il retira doucement le casque de ce dernier, et murmurra, tout doucement, près de son oreille :
"Alors la pucelle ? On attends plus son Geek adoré ? "
Le concerné fut prit d'un violent tressaillement. Il savait à quoi aller s'apparenter la suite.
Il sentit une main l'attraper par le col de son t-shirt noir et le projeter sur lit. Les coups et les insultes pleuvaient sur lui. Aucun son ne sorti de sa bouche. Il était trop terrifié pour bouger, crier, pleurer. Il en avait perdu la force au fil des années.
Soudainement, il sentit ses vêtements arrachés. Il entendit un sordide ricanement. Puis la douleur. Les coups de butoirs qui s'enchaînaient. Des cris bestiaux, gorgés de plaisir, comme l'instrument de torture qui le malmenait, tandis que les rares siens étaient emplis de douleur, de douleur et de désespoir.
Vint enfin la jouissance de son bourreau. Lui n'avait pas jouit, et n'était pas prêt de jouir avec lui. Le sociopathe se retira, satisfait. Il quitta la pièce sans plus de cérémonie, et s'allumant une clope, réfléchit à quel sera sa prochaine victime.
Le Patron se releva péniblement. Cette enflure n'y était pas allée de main morte. Il toussa, crachant du sang. Et merde. Il lui avait pété les dents, en plus de lui avoir ruiné l'avant-bras ! Mais quel enfoiré !
Il parvint à se lever avec grande difficulté. Il chercha de l'aide, désespérement. Et ce fut le Panda qu'il trouve.
Le jeune homme en Kigurumi s'était jeté sur lui. Il l'entraîna dans sa chambre, lui fit signe de s'asseoir sur son lit et parti chercher des bandages. Le Patron ne bougeait pas, la tête baissée, et il ne bougea pas pendant que le Panda le bandait. Les deux hommes restaient silencieux. Enfin, l'un l'était toujours, et l'avait toujours été, et l'autre était encore un peu chamboulé. Soudainement, ce dernier prit la parole, à demi-voix :
" Tu sais Panda... Même s'il me bat et me viole à longueur de temps, je pense que je le Geek est quelqu'un de bien au fond... Je l'aime bien moi... Jamais je ne pourrais lui faire de mal."
Maître Panda roula des yeux, exaspéré.
"Désolant... pensa-t-il, Je ne le comprendrais jamais à s'enticher de son bourreau. Enfin, chacun ses délires."
Le Patron, soupira, las. Il vint se blottir contre le pelage chaud de son ami, réclamant implicitement - mais pas trop quand mêle, faut pas déconner - un câlin qu'il ne put refuser.
Pauvre Patron... Quand son cauchemard s'arrêtera-t-il ?
* Dans son sens premier, un geek désigne un looser, qui n'as pas trop d'amis et pas trop de vie. Le cliché du nerd boutonneux avec sa chemise, ses montures rondes, ses cheveux gras et sa passion pour les maths, si on vulgarise. Donc non, ce n'est pas une fièreté d'être un geek, non, puisque c'est une insulte assez violente.
C'est court hein ? Et c'est pas très la joie pour l'instant aussi. Mais vous en faites pas, le chapitre 2 sera plus léger, et au chapitre 3 vous allez commencer à vous marrer. Ah si si, je vous assure.
Un grand merci et pleins de gros bisous à Dkucat et Chysako qui ont gentiment accepté que je les spoil pour qu'elles me donnent leur avis. keur keur keur. (pour me brosser dans le sens du poil, elles ont dit que ça avait l'air cool et marrant. Et je vous jure que dans ma tête ça l'est.)
Bref.
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