Bonjour/soir à tous. Voici mon petit cadeau de Noël, en retard: il s'agit d'une fic à chapitres indéterminés vu que les choix seront nombreux, utilisons donc le terme de "fic à rallonge" où je me fais une joie de critiquer avec humour et bonne volonté nos chers films américains qui nous empêchent de nous embêter les vendredis soirs de grand froid. Pour le moment je n'en ai prévu que deux, et bien sûr toute bonne idée de votre part est retenue (en prenant en compte le fait que j'ai déjà vu le film en question, évidemment. Sinon je ne suis pas contre un résumé maniaque de la scène qui vous a marqué). Je travail sur les autres fics, pas de crainte, mais je dois avouer que les vacances de fin d'année ne sont pas les meilleures question temps libre et solitude. Bref! J'espère que cela vous fera rire, en attendant bonne lecture!

Hetalia appartient à son mangaka, les films sur lesquels se basent cette fic appartiennent à leur possesseur américain, selon toute logique.


- Vous racontez n'importe quoi!

Alfred F. Jones était furieux. De quel droit les autres nations se permettaient de critiquer son art cinématographique!

Les autres nations de l'ONU étaient toutes installées dans la salle de repos annexée à leur salle de réunion. Alors que plusieurs s'occupaient intelligemment (lecture, jeux de sociétés style échecs ou bien discussions intelligentes), un petit groupe avait commencé à discuter des invraisemblances dans les films américains. Ce qui avait commencé comme une banale discussion était devenu un débat puis un jugement d'Alfred qui tentait de se défendre bec et ongles.

- Il n'y a pas une seule invraisemblance dans mes films!

- Oh arrête stupid America! Tout le monde sait que tu es incapable de raconter une histoire sans tourner au ridicule!

- Faux!

- Vrai! Et je vais te le prouver!

- J'attends de voir!

Aussitôt, une lueur de folie s'illumina dans le regard vert de l'anglais qui sortit sa baguette magique plus vite que Japan sortait son appareil photo et lança un sortilège sur la salle de détente, la transformant en salle de cinéma. Il traça ensuite, à l'aide de Norvège, un cercle bien mystérieux.

- On peut savoir ce que tu fais, Arthur?

- Ce cercle va permettre à l'un d'entre nous de rentrer à l'intérieur du film critiqué, comme ça il devient personnage de l'histoire et peu agir de manière rationnelle et ainsi montrer à quel point j'ai raison et à quel point America est incohérent. Satisfait, Francis?

- Chouette! Par quel film on commence?

- J'adore le cinéma, veee!

Beaucoup d'autres nations acquiescèrent et s'installèrent sur les sièges. Alfred lui, restait debout devant l'écran encore blanc et ripostait par des insultes. England, qui ne l'écoutait plus fit apparaître alors un grand nombre de grands box offices américains.

- Bien, chères nations, le vote sur le premier film peut commencer!


Dans le prochain chapitre: 2012.