Bonjour / Bonsoir, ceci est ma première fic !
Albafica ne m'appartient pas (malheureusement pour moi), sur ce bonne lecture !
"On dit souvent, que les plus belles fleurs sont les plus dangereuses"
Albafica des poissons, douzième chevalier d'or, vie presque en reclus au milieu de ses roses démoniaques, des roses aussi belles que mortelles, tout comme celui qui les plantes et qui en prend soin et de ce fait il ne se mêle que rarement autres, par peur de les mettre en danger.
Le fier chevalier des poisson se sent seul dans son temple au milieu des colonnes blanches, malgré la présences de ses roses, il en ressent tout le poids, ses roses ne peuvent parler, elles ne peuvent le réchauffer par une douce étreinte, elle ne peuvent le consoler, le gronder, l'encourager, le voudrait être comme ses frères d'armes, eux au moins il peuvent connaître la douceur des bras d'une femme,contrairement à lui. Celui-ci a prié tout les jours, pour que son pouvoir ne l'empêche pas d'aimer physiquement, car depuis quelques temps le poisson s'est fait dérober son cœur par une ravissante jeune fille, il l'a suivie toute la semaine, maintenant il connaît son nom qui est Aglaé, fille de l'apothicaire du village de Rodorio, elle joviale et sociable, grande et élancé, ses cheveux long et d'un noir profond, ses yeux bleu tel un ciel sans nuages et tout les jours elle sort du village pour cueillir les plantes dont son père à besoin et elle profite pour composer de beaux bouquets pour celui-ci.
Depuis bientôt un mois notre poisson se langui et déprime, cela sa déesse la ressentie, elle s'est manifester à lui en rêve, lui disant que lui aussi a le droit d'aimer et d'être aimé, que sa promise n'aurait rien à craindre. Au matin nous retrouvons un Albafica gonfler à bloc, prêt à se jeter à l'eau, mais intérieurement mort de trouille, se confesser, il ne l'a jamais fait, il ne sait pas comment s'y prendre, on aurait dit un ado de treize ans, alors qu'il en a vingt. Le plus simple est d'aller la retrouver pendant sa cueillette, ce qu'il fit.
Il l'a trouva au milieu d'un prés s'attelant à sa tâche, il était encore caché à l'orée de la forêt, lorsqu'il entendit :
- Allez-vous encore rester dans l'ombre ou prendre le courage de me parler Chevalier Albafica ?
Il n'en revenait pas, elle venait de lui adresser la parole !
- Vous connaissez mon nom !
- Biensûr, je viens de Rodorio, je connaît l'existence des chevalier d'Athéna et vous je vous avez déjà remarqué, mais pourquoi m'épier ?
- Eh bien... (là notre cher poison est officiellement hors de l'eau et ne sait plus quoi faire !)...
- Que vous arrive-t-il ? Vous vous sentez bien ? Ou vous ne savez pas comment me parler ?
- Votre sens critique est effrayant, vous avez raison.
- Sur ?
- La dernière, je n'ai pas l'habitude de côtoyer les femmes.
- Je vais vous aider, ça vous direz de déjeuner avec moi ?
- Oooooh!
- Je le prend pour oui, aller aidez-moi à apporter tout ça à mon père et allons déjeuner !
Sans un mot de plus elle l'entraîna avec elle et lui tendit un glaïeul.
FIN
J'espère que cela vous aura plu, un petit mot ?
Djanee !
