Apprentissage intensif

Eh oui, incroyable mais vrai, je ne suis pas encore morte. J'ai juste plus le temps d'écrire malgré mon envie irrépressible. Je vais donc essayer de publier de façon assez régulière cette histoire, de sorte que vous n'ayez pas envie de me tuer.

Je vous laisse lire en paix, oubliez pas de me laisser des commentaires pour que je puisse savoir ce que vous en pensez et si mon idée est bonne.


Chapitre 1 : Premier pas

POV Harry

Oh non, pas encore lui ! Je sais qu'il est le meilleur dans son domaine mais le mettre tout le temps avec moi, ça suffit ! Bon, j'avoue que notre relation s'est améliorée depuis toutes ces années, depuis que l'on travaille ensemble. Au moins trois fois par an, le Ministère nous faisait travailler en collaboration afin de résoudre certains dossiers. Drago était devenu maître de potions au Ministère et moi, j'étais devenu chef des aurors. Je dirige un groupe d'une trentaine d'aurors mais, pour toutes les préparations, c'était Drago et moi ou juste moi selon les affaires. Malheureusement, magie noire rime très souvent avec potions. Dommage qu'on ne m'ait pas prévenu de ce fait sinon je ne me serais jamais décidé pour ce métier, surtout si c'était pour travailler avec DRAGO. Enfin bref, le pire, c'est qu'on va encore devoir travailler tard. Il faut que je prévienne Ginny que je vais encore rentrer tard.

Elle va, à nouveau, me faire une scène, comme quoi je ne suis pas jamais à la maison depuis la naissance d'Albus-Severus. Elle ne laisse pas passer une journée sans faire éclater une énième dispute à propos de quelque détail insignifiant. Je prends place à mon bureau pour écrire une missive à ma femme. Mon hibou, Edgar, avance sa patte et j'y accroche le parchemin. Moins d'une demi-heure après, je reçois sa réponse. Madame a décidé de se rendre chez sa mère pour se reposer avec nos deux enfants. Elle s'offre ainsi des petites vacances revigorantes, confiant par là même la garde de nos enfants aux bons soins de Molly.

Enfin, au moins, la maison va retrouver son calme. Ça va faire du bien. Je vais sans doute proposer à Drago de nous poser chez moi plutôt que de rester au bureau. Après tout, il va falloir travailler en collaboration pendant un bon moment, autant créer d'entrée un climat agréable. Avec une bonne bouteille d'alcool, l'ambiance devrait être un peu plus chaleureuse. J'ai remarqué ça depuis notre dernière affaire commune. Une fois que Drago a bu, du bon alcool et en dose suffisante, il se détend et nos rapports s'améliorent. Dans une dizaine de minutes, il sera là. Je devrais peut-être profiter de ce laps de temps pour aller vérifier que la maison est bien vide avant de l'y inviter. Un petit coup de poudre de cheminette et le tour sera joué.


Ah, ouf, de retour avec deux minutes d'avance.

- Potter, tu es à l'heure, ça fait plaisir de voir que tu as changé depuis Poudlard.

- Salut Drago. Désolé, je suis passé faire un tour chez moi. Je voulais te proposer d'y aller puisqu'il est déjà 18 heures, plutôt que de rester au bureau.

- Excellente idée. Du moment que tu as de quoi boire et que ton môme ne pleure pas toutes les cinq minutes.

- MES enfants sont chez leur grand-mère avec ma femme. Nous aurons la maison pour tous les deux. Tu peux prévenir ta femme avec mon hibou que tu auras du retard pour rentrer si tu veux.

- Inutile, elle ne m'attend pas.

- Oh, si c'est comme ça, allons-y.


- Ça fait du bien d'avoir fini, soufflai-je.

- Ne rêve pas Potter, on est loin d'avoir fini. Mais pour ce soir, ce sera tout, il est plus d'une heure du matin.

- Tout à l'heure, tu n'as pas voulu contacter ta femme pour lui dire que tu rentrerais en retard, pourquoi ? Elle ne va pas criser quand tu arriveras.

- Non, la mienne n'est pas comme Ginny.

- Ne m'en parle pas, depuis la naissance d'Albus-Severus, elle ne me lâche plus. Je ne sais plus quoi faire pour la rendre heureuse.

- Je ne suis pas sûr que Ginny puisse être heureuse un jour, avec qui que ce soit, Potter. Elle a toujours été très coriace. Tu sais qu'au collège, elle était sortie avec des serpentards ?

- Non, j'en étais resté aux griff's. Et toi, ça se passe bien depuis la naissance de Skorpius ? Avec ta femme ?

- Je n'en sais rien pour ma femme mais mon fils se porte comme un charme.

- A-t-il hérité des cheveux blonds des Malefoy ?

- Bien sûr Potter, je n'aurai qu'un seul héritier donc il se doit d'être parfait et de me ressembler. La mère importe peu, tant qu'elle est de noble naissance et qu'elle n'a pas de tares génétiques.

- Tu n'aimes pas ta femme ?

- Mon bon Potter, il n'y a que dans les familles modestes que les mariages sont d'amour. Dans les grandes familles, c'est le cadet des soucis des parents. Les miens n'ont pas fait exception. C'est bien pour ça que ma femme vient de Beauxbâtons. Nous n'avons partagé un lit que pour concevoir un héritier. De toute façon, les femmes, c'est pas mon truc. Je préfère les corps à corps plus musclés. Déjà au collège, des beaux bruns partageaient mon lit de préfet.

- Des bruns ? Je n'aurai jamais imaginé.

- Alors le fait que je fréquente des hommes ne te choque pas ?

- Il y avait des rumeurs au collège à ce sujet. Tu n'as fait que me les confirmer. Mais pourquoi brun ?

- Tu voudrais pas que je sorte avec des hommes roux du type de Weasley ou bien avec des blonds ? Je n'arrêterais pas de le comparer avec moi, l'enfer. Mais rassure-toi, ce n'est nullement en rapport avec toi ! Il ne me reste plus que les bruns, c'est tout.

- Rassure-toi, je ne pensais à rien de ce genre. On s'est assez détestés pour que jamais je ne pense que je pourrais t'intéresser.

- Exactement, Potter, ce n'est pas parce que nous travaillons ensemble quelquefois maintenant que je vais commencer à t'aduler.

- Tant mieux sans quoi, je me verrais obligé de continuer nos entrevues au bureau.

Drago se rapproche de moi, sensuellement.

- Tu aurais peur de moi ? Toi, le jeune homme qui a vaincu Voldemort serait effrayé par un jeune homme gay ?

- Non, je n'ai pas peur de toi. Comme tu le dis toi-même, je suis celui qui a vaincu Voldemort donc je n'ai rien à craindre d'un sorcier tel que toi, même si je ne néglige ni ton savoir-faire ni ton charme.

- Tu me trouves charmant ? Intéressant, Potter.

- Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, je sais reconnaître quelqu'un qui a du charme et je ne l'invente pas, j'ai juste écouté les bruits de couloir au Ministère.

- Toi, tu écoutes les rumeurs.

- Je les ai toujours écouté, surtout du temps où on était à Poudlard. Quand tout le monde me prenait pour un menteur quand je disais avoir revu Voldemort et qu'on m'accusait de fabulateur. Et donc j'ai eu vent du fait que certaines jeunes filles et certains jeunes hommes te trouvaient très à leur goût mais tu leur étais inaccessible.

- Inaccessible ? Pas tant que ça, j'avais un sacré tableau de chasse.

- Et maintenant, tu chasses où ?

- Par ci, par là. En ce moment dans une boîte de nuit gay de Londres. D'ailleurs, quand cette affaire sera finie, je te propose de t'emmener avec moi. On ira draguer tous les deux dans la boîte où travaille mon flirt du moment, si je suis toujours avec d'ici là.

- Une boîte gay ? Moi ?

- A moins que tu ne préfères t'empresser de rejoindre ta femme, ta petite famille et les engueulades perpétuelles.

- Bon, d'accord, j'admets que tout cela pourra attendre une soirée. Mais pas d'entourloupe, ni de coup foireux, Malefoy. Je ne veux pas que tu me plantes tout seul parmi les gays. Je ne le suis pas et ne le serai jamais. J'aime ma femme et je ne veux pas la tromper.

- Te prends pas pour un type irrésistible, Potter. Tout le monde ne regardera que moi. Ça a beau être une boîte de nuit sorcière, ce n'est pas une raison, tu n'es plus aussi adulé qu'autrefois, Potter.

- Alors parfait, je t'accompagnerai.


Soir après soir, nous nous retrouvions chez moi. Le premier arrivé préparait les boissons et les victuailles en attendant l'autre. Certes, nous nous prenions toujours autant la tête mais l'ambiance n'avait jamais été plus détendue.

Et c'est ainsi qu'un mois plus tard, l'affaire prit fin. Elle avait été longue et minutieuse mais elle avait abouti à plus d'une dizaine d'arrestations et à la découverte d'un laboratoire de magie noire. Je me devais donc de respecter ma parole et j'étais rentré chez moi pour me préparer en attendant l'arrivée de mon chaperon. Vu que Drago sortait toujours avec Kameron, son flirt, nous nous rendrions donc en boîte de nuit. Il m'a fait me changer plus d'une dizaine de fois de vêtements avant de me trouver une tenue « potable ».

Avant de partir, nous avons descendu quelques scotches, histoire de nous mettre dans l'ambiance, enfin surtout pour moi car, malgré mon jeune âge (je n'ai que 25 ans !), je ne suis jamais sorti en discothèque. En même temps, avec deux enfants, je n'ai pas beaucoup de temps pour moi. Et, croyez-moi, après une journée avec eux, vous avez juste envie de vous vautrer dans le canapé, le soir. Les bébés, ce n'est pas facile, surtout en bas âge comme les miens.


Nous avons transplané à l'entrée à 23 heures précises. Première fois que je suis à l'heure. Drago tenait absolument à ce que l'on arrive ni trop tôt, ni trop tard. Trop tôt, cela faisait asocial selon lui et trop tard, on risquait de manquer des choses. J'ai été surpris quand j'y suis entré. Au dehors, il n'y avait rien, ni musique, ni lumière. Mais dès que l'on entre, la lumière coule à flots, des spots rouge, bleu, vert, jaune et violet se relayent sur la piste. Drago était dans son élément, il resplendissait. Sous sa cape de sorcier, il cachait un pantalon noir et une chemise de la même couleur en lin. Pour moi, il avait opté pour un pull vert émeraude et un pantalon noir. Sobre et élégant, avait-il commenté, pas assez pour me faire de l'ombre mais suffisamment pour être digne d'être vu en ma compagnie.

Honoré d'avoir le droit d'être en ta compagnie sans te faire honte, lui avais-je répondu.

Je crois que cette soirée me rappelle celles que nous organisions dans notre dortoir à Gryffondor, l'absence de filles doit y contribuer. Cependant, le reste est différent. Déjà, l'alcool coule à flots, ce qui était loin d'être le cas à Poudlard et certains s'envoient en l'air sur la piste de danse au rythme de la musique techno. Je n'ai jamais connu qu'une seule femme : la mienne. Et tout a été tellement vite à la fin de la guerre que je ne me rappelle même plus mon mariage. Je n'ai jamais vraiment eu le temps pour la connaître et la découvrir. A l'époque, nous étions très amoureux et notre séparation, pendant ma septième année de collège, tandis qu'elle était à Poudlard et moi en quête des Horcruxes avec Ron et Hermione, nous avait prouvé notre affection. Le problème, c'est que nous étions dans la phase dite de « lune de miel », nous pensions tous les deux que nous étions faits l'un pour l'autre.

Avec les années, je me demande si nous n'aurions pas dû prendre un peu plus notre temps, attendre d'avoir fini nos études pour nous marier. Nous aurions pu commencer par vivre ensemble, partager autre chose que nos repas et nos moments libres. Au final, nous ne partagions que les bon côtés et non les mauvais. C'est pour cela que Ron et Hermione ont un couple soudé et incassable. Grâce à notre année de pérégrination pour retrouver les morceaux d'âme de Voldemort, ils se sont vus dans les pires moments, leur amour a été mis à rude épreuve et maintenant, ils se voient sans fioriture ni superficiel. C'est une relation très saine, plus que celle que je partage avec Ginny. Ne vous méprenez pas, je l'aime, c'est juste que j'aurais aimé connaître quelqu'un d'autre dans ma vie qu'elle.

Je commençai par me rendre au bar, descendre quelques whisky pur feu, histoire de me mettre dans l'ambiance de la soirée. N'étant pas un grand habitué, je me suis dit que l'alcool m'aiderait… grave erreur.

Une heure après, enfin dans mes souvenirs, Drago avait dû me forcer mais j'étais finalement allé sur la piste pour faire bouger mon corps. Aussitôt, je me suis fait accoster par un jeune homme, brun comme l'ébène, avec des yeux bleus. Il a commencé à onduler au même rythme que le mien. Puis, voyant que je ne réagissais pas à sa présence, il s'en est allé. Je dansais, plus ou moins bien je l'avoue mais je dansais pas très souvent et encore moins avec des mecs. Je dansais donc depuis plus d'une demi-heure, un miracle pour moi, et mes partenaires se succédaient. Voyant que je ne cherchais pas à les provoquer ni à les allumer, ils partaient vers d'autres conquêtes. Seul Drago me revenait régulièrement. D'ailleurs le voilà, ondulant son corps vers moi :

- Alors, tu ne les fais pas fuir ?

- Comme tu peux le constater, je danse seul, là tout de suite mais j'arrive à trouver, merci.

- J'ai vu ça, oui, félicitations, je t'ai bien habillé.

- Oui, mon maître, je m'incline face à toi…

- Lâche-toi, Potter, laisse-toi envahir par la musique, déhanche-toi plus, laisse les autres t'approcher et… si tu veux tester des choses, n'hésite pas.

- Malfoy, j'aime ma femme, je ne veux pas la tromper.

- Je ne te dis pas de la tromper, je te propose juste de tester de nouvelles sensations. L'avantage des hommes, c'est qu'ils n'ont pas besoin d'avoir des sentiments pour embrasser et coucher. Nous réagissons à la sensation, aux émotions que nous procure l'autre. Allez, viens, je vais te désinhiber un peu.

Nous avons bu, beaucoup, beaucoup plus que je ne le fais habituellement. Ma danse s'en est d'ailleurs ressentie. J'ai réussi à me lâcher un peu plus, comme me l'avait demandé Drago. Les hommes qui m'abordent se font plus entreprenants. Après avoir ôté plusieurs fois des mains baladeuses de mes fesses, j'y renonce. Après tout, s'ils veulent apprécier mon corps, je trouve cela flatteur. Je n'ai que 25 ans ! J'aime que l'on apprécie mon corps, mon regard, mes cheveux (soyons fou !). Je ne fais quand même pas autant de sport (musculation et Quidditch, principalement) juste pour le travail. J'apprécie que l'on puisse trouver mon physique attirant et, pour une fois que je peux en profiter et l'exhiber, je teste mon potentiel.

D'ailleurs, je devrais enlever mon pull, certes, il met très en valeur mon regard mais ma chemise blanche mettra plus en avant mon torse développé. Malfoy, sors de mon corps ! Je commence à penser comme lui. Je suis hétéro, hé-té-ro… ou homo ou bi. Je ne sais plus ce que je suis. Je crois que j'ai vraiment trop bu. Ce n'était peut-être pas une si bonne idée que ça de me désinhiber. Méchant Malfoy, il veut me corrompre, ce n'est pas parce que lui trompe sa femme de façon indécente, il suffit pour cela de le regarder embrasser son « flirt » du moment.

Je ne me souviens pas d'avoir jamais embrassé de façon aussi passionnée ma femme. Je l'aime, ça c'est une certitude mais n'ayant pas eu de vrais modèles d'amour (mon oncle et ma tante ne peuvent pas être considérés comme des modèles, quand je vois ce qu'est devenu Dudley), je me montre assez réservé. Les seules personnes que je connaisse qui forment un couple, à l'époque de mon adolescence, étaient les parents de Ginny mais, en traditionnels anglais, ils ne montraient que très rarement leur affection en public.

A voir tous ces hommes autour de moi, à voir leur façon de s'embrasser sans se cacher, à les voir toucher le corps de personnes qu'ils ne connaissent pas, leur façon de créer une certaine intimité avec des inconnus, tout cela m'intrigue et me fascine. Un autre homme vient se coller à moi, dans mon dos, il pose ses mains sur mes hanches, me faisant rythmer mes mouvements aux siens. Il prend les devants, c'est bizarre, se sentir en position « dominée », à la place de la fille en quelque sorte. De plus, je suis carrément entouré de deux hommes, dansant assez collé-serré.

Celui qui me fait face me ressemble beaucoup, en plus jeune, certes mais il est brun, aux yeux bleus. Pour le reste de son physique, il a un corps juvénile, pas encore adulte. Je me pose des questions, si j'étais homosexuel, est-ce que ce corps pourrait me plaire ? Est-ce que ce corps, plus jeune seulement de quelques années, au torse sans doute imberbe et bien musclé pourrait me plaire ? Quelle est la première chose qui doit plaire sur un homme ? Qu'est-ce qui plaît aux hommes ? En même temps, qu'est-ce qui me plaisait chez Cho et Ginny ? Bonne question. Qui mériterait une réflexion intense totalement impossible vu que je suis un peu… bourré.

Le jeune homme, dont j'ignore toujours le nom, me rapproche dangereusement de son corps, son corps qui réagit vivement à ma présence. Je sens sa virilité durcie contre ma jambe. Cette sensation est étrange, c'est… curieux, pas spécialement dérangeant, je ne suis juste pas habitué. Mais serais-je capable de m'y habituer ? Pfff, quand est-ce qu'il s'arrête ce cerveau ? Je me concentre sur le regard de mon partenaire, ce sont deux yeux, certes moins maquillés que ceux des femmes mais tout aussi beaux, les couleurs ne sont pas moins lumineuses.

Je descends mon regard sur son visage, je passe vite sur son nez, il n'a rien de différent des autres, peut-être un peu plus large, plus masculin. Je m'approche maintenant de sa bouche, son odeur d'alcool m'asphyxie un peu cependant la curiosité l'emporte. Les doigts de ma main droite viennent effleurer le velours de ses lèvres. Elles sont humides et brillantes. C'est… attirant… hypnotisant… Sans m'en rendre compte, je les effleure… de mes lèvres. Le contact est… étrangement… normal. Je veux dire, il n'y a pas de différence entre embrasser une femme ou un homme. Bon, j'avoue, l'homme que j'embrasse a la peau douce. Il n'est ni barbu ni moustachu, sans quoi je pense que cela ne m'aurait pas fait le même effet. Je n'approfondis pas le baiser même si le jeune homme essaie.

J'ai la tête qui tourne, l'alcool attaque mon discernement, ma logique, ma raison… je… mais qu'est-ce que je fais ? Je me détache du jeune homme et le regarde de façon hébétée. Qu'est-ce que j'ai fait ? Mais qu'est-ce que j'ai fait ? Premier soir dans la vie sociale de Malfoy et j'embrasse déjà une autre personne que ma femme… je me dégoûte.


Je reviens le plus vite possible avec la suite, merci de me lire.