Chapitre 1.

Le visage d'Harry resta impassible lorsque cinq hiboux entrèrent dans sa chambre par la fenêtre. Habituellement, il aurait sauté de joie en se précipitant sur les rapaces pour leur arracher les lettres et colis de ses amis. Seulement, sa gaieté s'en était allé, et il restait froid, sans expression. Même l'amitié profonde qu'il entretenait avec Ron Weasley et Hermione Granger ne pouvait guérir cette douleur profonde dans son c?ur.

Sirius Black, son parrain, meilleur ami de ses parents, du moins de son père, était mort. Harry disait toujours que cela était sa faute, même si ses amis tentaient de le persuader du contraire. Sirius était parti pour sauver Harry, alors que ce-dernier pensait sauver son parrain. Et Harry s'en voulait, tout cela à cause de sa "tendance à vouloir jouer les héros".

Il se leva et alla prendre les enveloppes et colis aux hiboux. Sa chouette émit un hululement indigné et Harry alla lui faire une petite caresse pour excuse.

-Tu sais, je ne suis d'humeur à remercier personne, murmura-t-il, plus pour lui que pour sa chouette.

Cette-dernière lui lança un regard intelligent puis retourna dans sa cage alors que l'un des rapaces sortait de la petite pièce.

Harry ouvrit la première lettre, celle qu'Hedwige, sa chouette, avait tenu dans ses serres quelques secondes plus tôt. C'était une lettre d'Hermione. Harry sourit faiblement en pensant à son amie. Il ouvrit lentement la lettre. Elle contenait un lourd parchemin et une petite coupure de journal.

iCher Harry,

JOYEUX ANNIVERSAIRE ! HAPPY BIRTHDAY ! J'espère que tu vas bien, tout du moins du mieux possible. Pour ma part, je me fais dorer au soleil du sud de la France, dans une petite ville à trois kilomètres de la plage. J'ai reçu mes résultats de BUSE, mais je te laisse le suspense jusqu'à la prochaine fois que l'on se verra. Je pense que tu recevras les tiens avec ta lettre de fournitures, tout comme moi. J'espère que les Dursley ne te traitent pas trop mal, contrairement aux étés précédents. Je te souhaite de ne pas trop penser à Sirius. Mais je t'envoie ce morceau de journal, qui a appartenu à la Gazette du Sorcier, pour te remonter légèrement le moral. J'espère tout du moins que cela remettra un peu de gaieté dans ton c?ur. Sur ce, je te laisse, je pars à la plage,

Avec toute mon amitié,

Xxxxxxxx,

Hermione. /i

Harry re-lut la lettre plusieurs fois, un faible sourire apparaissant sur ses lèvres, comme chaque fois qu'il lisait l'une de ses lettres, ou une de Ron. Harry saisit le petit morceau de journal froissé. Il regarda d'abord l'image animée qui se trouvait dessus avec attention, et les larmes ne tardèrent pas à lui monter aux yeux. La photo représentait Sirius en compagnie de James Potter, de Remus Lupin et de Peter Pettigrow, l'infâme Quedver. Harry prit son courage à deux mains, redoutant les récits habituels sur son parrain, qui blâmaient toujours ce-dernier de manière peu polie, et lut la coupure de journal :

iLa photo ci-contre représente Sirius Black et ses amis, James Potter, Remus Lupin, et Peter Pettigrow. Longtemps, nous avons crut que Sirius Black avait vendu les Potter au Seigneur des Ténèbres, mais aujourd'hui, ses propos ont été démentis, tout comme ceux mettant en scène Peter Pettigrow et une douzaine de personnes, moldues et sorcières. Remus Lupin, présent sur cette photo, qui avait été le professeur loup-garou à l'école Poudlard il y a maintenant deux ans, s'est lui même administré du Véritasérum; et c'est sous l'influence de cette potion, qu'il nous a révélé toute la vérité sur Sirius Black, ne voulant "salir cet homme généreux jusque dans le repos de la Mort". L'ancien professeur nous a aussi affirmé que c'était Peter Pettigrow, aussi connu sous le nom de Quedver, qui avait vendu James et Lily Potter, non Black; et "ce rat de Peter", pour reprendre les dires de Lupin, avait fait croire à sa propre mort en se coupant le doigt et en se transformant en rat. Lorsque le directeur de l'audience, car cela s'était déroulé dans ces conditions, avait demandé pourquoi Pettigrow était un animagus, non déclaré, Dumbledore, qui se trouvait parmi les spectateurs, s'était levé, interrompant les premières explications de Lupin. Et il a emmené le loup-garou avec lui avant qu'il n'ait eut le temps de tout révéler. Mais une chose est sûre, et ne peut plus être démentie : un innocent a été envoyé à Azkaban pendant une période de douze ans, et cela sans procès. Une bavure impardonnable du ministère que nous ne sommes pas prêts d'oublier.

C'était Rita Skeeter,
Reporter à la Gazette du Sorcier. /i

Harry laissa une larme couler le long de sa joue gauche, mais un sourire triste s'était installé sur son visage. Il était rassuré que Sirius ne soit plus considéré comme un assassin. Il replia la lettre d'Hermione et le morceau de journal et les remit dans l'enveloppe, puis il prit le paquet que sa meilleure amie lui avait envoyé. Il déchira le paquet cadeau (NA : à la barbare! LOL, n'oubliez pas les reviews ! quitte à vous le dire, autant le faire au milieu de l'histoire ^^, faut pas comprendre. C'est juste que mes autres fics sont très peu reviewées par rapport au nombre de lectures) et admira son cadeau : un livre sur l'éclair de feu, le balai qu'il possédait, ses possibilités, et ce que l'un sorcier confirmé peut lui rajouter comme option (vitesse, frein plus performant etc..). Harry sourit largement, pour la première fois depuis un mois, et reposa le livre sur son éclair de feu, se promettant de se documenter plus tard, le lendemain.

Harry ouvrit une lettre, celle de Hagrid, son grand (dans tous les sens du terme) ami, garde chasse et professeur à Poudlard, l'école de sorcellerie. Harry prit le parchmin jauni entre ses mains, et lut le petit mot :

iCher Harry, je ne peux t'écrire une longue lettre, je me contenterai donc de te souhaiter un : JOYEUX ANNIVERSAIRE venant du fond du c?ur. J'espère que tu peux te réjouir en ces périodes difficiles, amicalement, Hagrid./i

Harry esquissa un sourire, touché que son ami ait pensé à lui. Harry ouvrit le paquet que Hagrid lui envoyait. Dans la boîte, il trouva une petite boîte, et cela le fit sourire. Il ouvrit la petite boîte et, à sa plus grande stupéfaction, en sortit une petite bestiole de couleur vert émeraude, au corps poilu, au nez pointu, aux yeux globuleux, à la face écrabouillée, et à la silhouette d'un petit homme. Harry le regarda avec stupéfaction quelques secondes avant d'apercevoir un bout de parchemin dans le fond de la petite boîte.

iHarry, ce petit homme est un Varvil (NA : moi et les noms originaux, ça fait 2). C'est une bestiole très liée à son maître, et qui l'adore, mais qui ne le montre pas toujours d'une façon très sympathique. Je te laisserai découvrir par toi-même ce Varvil, je te souhaite bonne chance en passant, et je te ferait remarquer qu'il porte une petite sacoche avec, dedans, plusieurs livres très intéressants. Ils portent sur les Varvil, et différents animaux fantastiques. C'est en cela que ce Varvil est spécial, mais ne t'inquiète pas, c'est moi qui les ait rajouté! Je te laisse faire connaissance avec lui, Hagrid./i

Harry regarda le petit homme avec appréhension, et lui murmura :

-Alors comme ça, t'es un Varvil ?

-Ouais ça te dérange ? Répondit une petite voix grognant.

-Non, pas particulièrement! Hagrid m'a dit que tu avais des livres sur ceux de ton espèce, dit Harry en chuchotant toujours, de peur de brusquer le petit être. C'est vrai ?

-Ouais, répondit le Varvil vert émeraude en défaisant la lanière de son petit sac de cuir et en en sortant un petit livre.

Le Varvil saisit aussi une paire de lunettes dans son sac, et les mit sur son nez pointu.

-Alors, alors. Marmonna-t-il en plissant son front recouvert de poils. Ah oui, c'est là! C'est juste un passage que j'aimerais te citer : "les Varvils, une espèce très peu connue et d'une intelligence rare", ils parlent de moi je te signale, "peuvent changer de forme et de couleur à volonté. Ils peuvent aussi se montrer très agressifs envers leur maître si ce-dernier se moque d'eux ou leur parle de quelque façon malpolie."

Le Varvil enleva ses lunettes avec un air intelligent, et referma son livre. Il les remit tous deux dans son sac, et dit :

-C'était juste pour te dire que je suis d'une intelligence rare et que je peux me montrer très agressif envers toi quand tu m'embêtes, s'écria la petite bestiole.

Harry le prit par la peau du coup et l'éleva à la hauteur de son visage. Il sourit et posa le Varvil dans le creux de sa main.

-Tu as un nom ? Lui demanda-t-il en le fixant avec une lueur d'amusement dans les yeux.

-Euh. Non. Je n'en ai pas! Mais tu peux en choisir un ! Mais je suis pas un chien, et je te prie de pas m'appeler "Chouchou", "Roudioudiou" ou encor.

-Non, ne t'inquiète pas, le coupa Harry en souriant de toutes ses dents devant le comique de la créature. Tu sais que je t'aime bien, toi ? Demanda Harry en gazouillant comme un bébé avant d'éclater de rire.

-C'est bon, pas la peine de se moquer!

-Je ne me moque pas, je te dis juste que je t'apprécie! Riposta Harry. Je vais t'appeler. Tu es un mâle ou une femelle ?

-Je suis une femelle, répondit fièrement le Varvil.

-Très bien. Je vais t'appeler Cérès, comme la déesse équivalent à Déméter, la déesse du blé et de la culture.

-Oui, commandant, s'exclama Cérès en faisant comme les soldats de Hitler.

Harry reposa Cérès, qui faisait à peu près 6 centimètres de hauteur, et lui demanda d'une voix sérieuse :

-Tu ne voudrais pas changer d'apparence ? Tu as plus l'air d'une bestiole qu'autre chose, là.

-Je suppose que je dois prendre ça pour un compliment, répondit Cérès avec une moue amusée indistincte derrière ses poils verts. Cela veut au moins dire que tu ne me prends pas pour une bestiole. Si tu veux, je peux te montrer mon apparence normale, mais il me faut des vêtements! Tu n'en as pas, de fille, de préférence ?

-Euh. Non. Mais j'ai des vêtements qui ne me vont plus. Seulement ils font 10 fois ta taille. Répondit Harry.

-Quoi ? Oh, ce n'est pas grave ! J'ai quand même quelques pouvoirs magiques, faut pas croire.

Harry sourit avec amusement et alla chercher dans son armoire un sweat- shirt et un pantalon usés. Il les apporta à Cérès avec un tee-shirt bleu électrique.

-Je demanderai à Hermione pour les sous-vêtements, expliqua-t-il à son Varvil.

-C'est qui, elle ? Ta petite amie ?

Harry la foudroya du regard et répondit d'un ton sec :

-Non, c'est ma meilleure amie.

-Oh. Maintenant, retourne-toi, s'il te plaît.

Harry leva les yeux au ciel avec amusement et se retourna. Il profita de ce moment pour ouvrit la lettre de Ron, et lut :

iSalut Harry ! JOYEUX ANNIVERSAIRE ! Je sais que cela fait très original, mais je n'ai trouvé que ça. Je suis à la maison, le nouveau QG de l'Ordre du Ph?nix ! Ils ne peuvent plus prendre le Square Grimmaud car ce n'était pas leur propriété, si tu vois ce que je veux dire, et que donc, maintenant que le propriétaire est mort/i (l'écriture tremblait légèrement à cet endroit- là) i, nous n'avons plus l'autorisation d'y aller, le ministère refuse. Même si Voldemort est de retour, je te ferais remarquer que j'ai écrit son nom, ils refusent! Bref. Que dire de plus ? Ah oui, Ginny a rompu avec son petit-ami. Je te dis bien sûr cela sans arrière pensée! Non, pour tout te dire, je crois qu'elle en pince toujours pour toi. /i

Harry leva les yeux au ciel avec amusement, une nouvelle fois, et s'apprêtait à continuer sa lecture lorsqu'une voix agréable de jeune fille retentit derrière lui :

-Je suis prête !

Harry se retourna, et eut la surprise de se retrouver face à face avec une jeune fille haute de six centimètres, les cheveux dégringolant en cascade sur ses épaules. Elle portait un minuscule tee-shirt bleu électrique, de la même taille que ceux d'une Barbie, un pantalon usé au niveau des genoux, et, par-dessus le tee-shirt bleu, un sweat-shirt rouge. Cérès tourna sur elle-même pour laisser Harry l'admirer, puis elle le regarda droit dans les yeux.

-J'ai besoin de chaussettes, de chaussures, d'un élastique pour les cheveux, de sous-vêtements, et d'un pantalon moins long. En fait, j'aurai apprécié avoir des vêtements plus féminins. Mais passons, il me faudrait aussi une petite douche, je suis d'une nature très propre, et même un petit fauteuil.

Harry sourit, puis répondit :

-On verra ça à Poudlard. A part si Dudley jouait aux Barbies, dit-il en balayant la pièce du regard. Mais je ne pense pas. Et je. demanderai à Hermione pour les sous-vêtements, et aussi pour la douche et le fauteuil, de Barbie. Il faudra ensorceler la douche. A moins que je demande à Ginny, dit Harry, analysant la situation du même coup.

-Hum. Tu lis quoi ? Demanda Cérès. Ah, une lettre, identifia-t-elle en voyant le bout de parchemin usé. Monte-moi sur ton épaule, Harry.

-Tu connais mon nom ? S'étonna Harry.

-Bien sûr, Hagrid m'a tout dit sur toi. En plus, c'est marqué sur la lettre.

-Je vois. Répondit Harry en prenant Cérès par le haut de son sweat-shirt et la mettant sur son épaule.

Cérès s'assit en tailleur, et, une fois qu'elle fut tranquille, Harry continua sa lecture :

ije crois qu'elle en pince toujours pour toi. Papa a eu une promotion, il a refusé, alors il n'a eu qu'une augmentation! Devine pourquoi cet élan de bonté de la part du ministère !??? Simplement pour qu'il ferme sa bouche sur Voldemort.

Bref, je voulais te demander si tu pouvais venir chez moi du 10 jusqu'à la rentrée !??? Réponds vite. Amitiés,

Ron. /i

Harry regarda au verso de la lettre, et vit un petit mot écrit avec une écriture brouillonne. Il lut :

iCher Harry, je te souhaite un joyeux anniversaire, et j'espère que tu pourras venir à la maison au mois d'août. Fred et Georges m'ont confié qu'ils voulaient essayé quelques nouveaux produits sur toi. Prends bien soin de toi,

Ginny. /i

Harry sourit, content que Ginny pense à lui. Il sentit un petit pincement au niveau du c?ur, mais il n'y prêta guère attention, ouvrant le paquet que son meilleur ami lui avait envoyé. A l'intérieur se trouvaient quatre petits paquets : un cadeau de Ron, un cadeau des jumeaux, un autre de Ginny, et enfin un de la mère Weasley. Harry ouvrit ses cadeaux. Celui de Ron contenait une montre de mage, et Harry constata qu'elle était incomplète. Il décida de la régler plus tard, et la posa avec admiration et reconnaissance sur son bureau. Un petit mot de Ron accompagnait ce fabuleux présent :

iHarry, je devrais te priver de cadeau pendant plusieurs années, celui-là m'ayant coûte plus que tu ne peux l'imaginer! Il faut que tu ajoutes dessus plein de choses, que je n'aie pas le temps de t'expliquer dans cette lettre. On verar ça quand tu seras chez nous (car, tu vas bien sûr venir!). Ron./i

Harry se dit qu'il allait d'abord en parler au professeur Dumbledore, même s'il éprouvait de la rancune à l'égard de son directeur.

Harry ouvrit le cadeau de Ginny, et son c?ur rata un battement : Ginny lui avait envoyé un cadre avec une photo. Ginny, Hermione, Harry et Ron souriaient en faisant de grands signes de la main. On distinguait derrière les murs délabrés de la chambre qu'Harry avait occupée durant l'été passé. Les trois personnes qu'il aimait à présent le plus au monde, il ne se l'avouait pas encore complètement, étaient présentes sur cette photo. Harry sourit et mit la photo sur sa table de nuit, avant d'ouvrir le cadeau de Mrs Weasley contenant les habituelles gâteries. Fred et Georges avaient offert à Harry des bonbons de leur invention, et Harry se promit de ne pas y toucher avant de savoir ce qu'ils étaient et en quoi ils étaient fabriqués.

Harry prit une autre lettre sous le regard attentif de Cérès et l'ouvrit. C'était une lettre officielle du ministère :

iCher Mr Potter, Nous vous envoyons par hibou express des guides de défense élémentaire des personnes et des biens. Faites en bon usage, nous vous faisons confiance, et en ces temps difficiles, nous vous donnons le droit d'utiliser la magie en dehors de voter école Poudlard. Avec mes salutations distinguées, Cornélius Fudge, Ministre de la Magie. /i

Harry regarda dans le paquet et en sortit plusieurs volumes, ayant pour titres "Guide de défense élémentaire", "Sortilèges de défense" et "que la magie soit avec vous". Harry se dit qu'il les étudierait le lendemain matin, en même temps que son manuel sur l'éclair de feu. Puis Harry ouvrit la dernière lettre, et son c?ur se mit à battre la chamade dans sa poitrine. Il ouvrit le morceau de parchemin avec des gestes fébriles, et lut :

iCher Mr Potter,

J'ai l'honneur de vous envoyer vos résultats aux BUSE. Ceratins de vos jury, notamment celui de défense contre les forces du mal, m'a informé qu'ils avaient été agréablement surpris par vos démonstrations en pratique. Mais sans plus tarder, je vais vous donner vos résultats :

Astronomie : Écrit : 15/20, très bien. Pratique : 13/20, bien.

Botanique : Théorie : 14/20, bien. Pratique : 16/20, excellent.

Divination :11/20, passable.

DCFM : Théorie : 18/20, Optimal. Pratique : 19,5/20, Optimal. (NA : Je rappelle que son jury lui a mit un point de plus pour son Patronus, il a 18,5 à l'origine.)

Sortilèges : Théorie : 17,5/20, effort exceptionnel. Pratique : 18/20, Optimal.

HDM : 13, passable.

Métamorphose : Théorie : 18,5, Optimal. Pratique : 17, Effort Exceptionnel.

Potions : Théorie : 18,5/20, Optimal. Pratique : 17,5, Effort exceptionnel.

SCM : Écrit : 17/20, effort exceptionnel. Pratique : 18/20, Optimal.

Mes félicitations, Mr Potter, vous pouvez envisager une carrière d'auror, mais sachez que vos résultats en potion ont bien failli vous faire échouer, estimez vous heureux d'avoir un Optimal sur les deux épreuves! Mais je vous rappelle que pour passer à l'école des aurors, il y a deux épreuves, ne vous relâchez pas, et travaillez dur.

Avec mes salutations distinguées,

Minerva McGonagall,

Directrice-adjointe. /i

Harry sourit largement en relisant plusieurs fois sa lettre. Il avait un total de 6 Optimal, sur 16 épreuves, et 4 efforts exceptionnels.

iVous pouvez envisager une carrière d'auror/i.

Harry, un sourire jusqu'aux oreilles, reposa sa lettre, après avoir remit le parchemin dedans, jeta un coup d'?il à ses fournitures scolaires puis il rangea toutes ses lettres dans sa malle. Il alla s'accouder à sa petite fenêtre, et Cérès, qui s'était accrochée aux cheveux d'Harry pour ne pas tomber pendant ses mouvements brusques, s'exclama :

-On voit bien Sirius, ce soir.

Les yeux d'Harry furent voiler par des larmes qu'il essayait de contenir. Il avait réussi à oublier Sirius quelques minutes, mais son souvenir le hanterait toujours, résidant dans cette étoile lumineuse et éclatante.

-En effet, on voit très bien Sirius, répondit Harry avec des sanglots étouffés.

FIN DU PREMIER CHAPITRE ! Allez, laissez moi des reviews pour me dire ce que vous en pensez, et pour savoir si je dois continuer. A+ tout le monde !