Chapitre 1 de la fic jonzhedwy09
H : Coucou ! L'écriture de cette fic rassemble deux auteurs : jonz, qui n'est autre que
J : ne dévoile pas mon identité de…hum hum, prof lol
H : … ma voisine de palier, et moi, hedwige09(moi, vous me connaissez peut-être !) voilà donc une new fic qui j'-
J : hum hum !
H : enfin nous
J : ouais ouais ! Rattrape toi va !lol
H : espérons qu'elle vous plaira !
J : Elle a intérêt, on a sué la dessus…
H : Ahhhhhhh ferme-là Jonz ! Toi et tes commentaires à la noix. Je te signale que cette fic, c'est moi qui l'ai écrite au départ !Et puis, tout ce que tu vas réussir à faire, c'est faire fuir le client !
J : Le client ? On vend pas des poissons ma vieille ! On écrit des fics pour plaire a la cli— aux lecteurs !H : bon, on arête, bonne lecture a tous ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'ici ! Encore un truc : ceci n'est pas qu'un Harry/Ginny, mais aussi un Ron/Hermione.
Disclamer : RIEN n'est a nous (ca se saurait si on était JK Rowling !)
Mise au point:
Lors
de ce qui aurait dût être sa septième année
à Poudlard, Harry a retrouvé et détruit les
quatre Horcruxes qui l'empêchaient de tuer Voldemort. Et puis,
au mois de juin, la confrontation que tous les sorciers attendaient a
eu lieu. Le parc de la maison de Tom Jedusor senior a servi de champ
de bataille. Harry, après bien des difficultés a réussi
à triompher du seigneur des ténèbres. Rogue et
tous les mangemorts encore vivants ont été enfermé
à Azkaban que les Détraqueurs, après la chute de
Voldemort sont revenu garder, comme si rien n'avait changé.
Mais
tout a changé : Harry, Ron, Hermione, Ginny sont vivant, mais
il s'agit d'un miracle. De nombreuses familles ont été
déchirées, les plaies ont beaucoup de mal à
cicatriser...
Tout
avait commencé il y a presque sept ans de cela, quand ils
étaient entrés à Poudlard pour leur première
année. Harry, Ron et Hermione avaient 11, 12 ans à
l'époque. Ils en aujourd'hui 18 et 19. Au cours des sept
années passées, ils avaient appris à se
connaître et à se faire confiance.
En ce moment, les
trois amis se remettaient lentement de « la grande
bataille », au Terrier, chez Ron. Ils étaient
postés au sommet de la colline avoisinant la maison; ils
admiraient le coucher de soleil.
- C'est magnifique ici, dit tout
à coup Hermione. Vraiment ! insista-t-elle. Ce n'est pas la
première fois que je vois un coucher de soleil, mais c'est ici
que je le préfère.
- C'est vrai que c'est beau,
admis Harry en souriant.
C'était une des rares fois depuis
un an, depuis la mort de Dumbleldore que Ron et Hermione voyaient
leur ami sourire.
Au bout d'un moment, Harry finit par dire:
-
Si on rentrait ? On ne voit plus grand-chose ?
- Tu as raison. Tu
viens Ron? demanda Hermione, questionnant le jeune homme du regard.
-
Attends Hermione. Je pourrais te parler... seul ? ajouta-t-il en
regardant Harry avec hésitation.
- Oui... murmura-t-elle.
-
Je vous attends au Terrier, dit Harry en souriant, sachant
parfaitement ce que Ron voulait –enfin - avouer à Hermione.
Ron
fit semblant de regarder les dernières lueurs émanant
du soleil, comme pour se donner une contenance. Puis, sentant le
regard d'Hermione dans son dos, il se retourna vers la jeune fille.
-
Hermione...
- Oui ?
- Je... je sais que je ne suis pas vraiment
doué pour ces choses là, mais il y a quelque chose que
je voulais te dire depuis longtemps déjà.
- Quoi
donc ? demanda la jeune fille en souriant intérieurement.
-
Je... ben, tu vas peut-être me prendre pour un idiot, mais au
moins, je saurais à quoi m'en tenir.
Hermione le regardait
dans les yeux, de son regard tendre qui le faisait craquer.
-
Hermione... je t'aime.
Il le lui avait enfin dit ! Depuis le temps
qu'elle l'attendait ! Depuis le temps qu'elle attendait qu'il se
déclare, qu'il lui dise enfin ce qu'il ressentait pour elle !
Elle l'aimait aussi, depuis très longtemps, elle l'avait
accepté maintenant, mais n'avait jamais songé à
faire le premier pas, de peur qu'il ne la comprenne pas.
Alors,
elle enfouit son visage dans le cou de jeune homme et se mit à
pleurer silencieusement. Il passa ses bras autour de sa taille et
murmura :
- Hermione, ça ne va pas ?
- Oh ! Si tu
savais ! Je n'ai jamais été aussi heureuse de toute ma
vie ! dit-elle en tournant la tête pour le regarder dans les
yeux.
- C'est vrai ? Tu penses vraiment ce que tu dis ?
- Oh oui ! Je n'ai jamais osé te l'avouer, mais, je t'aime, de tout mon cœur, depuis si longtemps.
Mais je ne sais pas pourquoi, j'attendais que tu fasses le premier pas.
-
J'aurais dû me déclarer bien avant alors ! dit
Ron avec un sourire timide.
À nouveau, ils se regardèrent
dans les yeux, s'observant, non plus comme des amis, mais comme de
vrais amoureux.
Ron se pencha vers Hermione et ses lèvres
se déposèrent doucement sur celles de la jeune fille. À
ce contact tout nouveau, Hermione se sentit fondre de plaisir. Elle
passa ses bras autour de cou de Ron, de peur que ses lèvres ne
se détachent des siennes. Il enlaça la jeune fille et
la serra très fort dans ses bras. Il ne voulait pas qu'elle
s'éloigne de lui, pas après lui avoir avoué son
amour resté secret pour elle durant tant d'années.
Ce
ne fut que beaucoup plus tard qu'il rentrèrent au Terrier,
amoureux à présent, et non plus amis comme quand ils
l'avaient quitté plus tôt dans la soirée.
Harry était rentré au Terrier, laissant Ron et Hermione seuls. Epuisé, il s'assit -ou plutôt s'avachit- dans un fauteuil devant la cheminée. Depuis la mort de Dumbledore, un peu plus d'un an plus tôt, il était resté très souvent seul, à réfléchir. Il s'était interdit d'aller parler ou même d'écrire à Ginny pour lui raconter ce qu'il avait sur le cœur. Il savait pourtant que c'était la meilleure solution de parler à quelqu'un qu'il aimait, qui l'aimait et le comprenait.
À la fin de l'année précédente, la jeune fille avait accepté sa décision bien qu'elle soit de plus en plus triste au fil des jours. Sa famille la voyait souvent seule, les yeux dans le vague, certainement en train de se repasser les tendres moments qu'elle avait passés avec Harry, avant qu'il parte à la recherche de ces maudits Horcruxes. Elle dépérissait. Sa mère s'inquiétait pour elle ; souvent, Mrs Weasley tentait de parler avec sa fille, mais peine perdue, la jeune fille demeurait murée dans son mutisme. Sa joie et sa fraîcheur de vivre avaient laissé place à une morne résolution.
Soudain, quelqu'un entra dans le salon. Harry, aux aguets, se redressa brusquement. Une mince silhouette tâtonna un instant, tendit une main et…
BADABOUM ! … Elle se prit les pieds dans un enchevêtrement de robes et de capes qui traînaient sur le sol.-
Lumos ! marmona Harry.
Il avança vers la silhouette
étalée de tout son long, la baguette pointée en
avant. Mais quand il aperçut la chevelure rousse qui émergea
de sous une cape, il s'exclama :
- Ginny ! Mais qu'est-ce tu
fiches ici ?
- J'imagine que je pourrais te retourner la question,
grogna la jeune fille. J'étais dehors, si tu veux tout savoir
!
- Attends, je vais t'aider.
Il s'agenouilla près
d'elle et l'aida à se relever Mais quand elle essaya de poser
un pied à terre, elle hurla en se rattrapant de justesse dans
les bras de Harry :
- AAAAAh !
- Hé! Ginny ! Ça
va pas ?
- Je ne sais pas, J'ai du me tordre la cheville.
-
Viens, je vais t'aider.
Il l'aida à clopiner jusqu'au
fauteuil où il était assis quelques instants plus tôt
et s'assit en face d'elle. Gêné il détourna son
regard de la jeune fille. Mais sentant qu'il ne pourrait l'éviter
plus longtemps, il leva les yeux vers elle. Elle le dévorait
du regard. Se fut elle qui baissa les yeux à son tour.
-
Ginny… commença le jeune homme.
- Oui ?
- Je voulais
te dire…
- Quoi ? souffla-t-elle.
- Je… je regrette que ça
se soit passé comme ça entre… entre nous.
- Ce
n'est rien. Enfin… elle sourit tristement. Tu as fais ce que tu
avais à faire. Ne t'excuse pas.
- Mais Ginny, j'ai
l'impression que tu ne vas plus très bien.
- Peut-être…
je suis triste.
Entendant cela, même s'il le savait, Harry
se leva et alla s'asseoir à côté d'elle,
glissant un bras autour de ses épaules.
- Je sais que tu es
triste. Et… et moi aussi. Je t'aime vraiment tu sais, mais…
-
Je comprends. Mais tu sais Harry, j'ai beaucoup réfléchi,
toute seule. Maintenant que Tu-Sais-Qui, est mort, rien ne t'empêche
d'aimer maintenant.
Elle approchait dangereusement son visage
du sien.
- Harry, de toute façon, je ne pourrai jamais
t'oublier. Je t'aimerai toujours.
- Ah Ginny…
Il enfouit
sa tête dans ses cheveux, elle pleurait. Un murmure lui échappa
:
- Harry…
Elle tourna la tête, sentit sa bouche sur
sa joue, laissa glisser ses lèvres sur celles du jeune homme.
Harry, oubliant tout ce qui les avait séparés un an
durant, l'embrassa sans retenue.
- Ginny…
Longtemps plus
tard, quand leurs lèvres se furent enfin séparées,
Harry se leva, monta silencieusement l'escalier, Ginny boitillant
derrière lui, sa main dans la sienne. Ils s'arrêtèrent
devant la porte de la chambre des filles et Harry se tourna vers
elle. Il lui caressa doucement la joue du bout des doigts et chuchota
:
- À ton avis, ils sont où Ron et Hermione ?
-
Dans la chambre des garçons, je les ai vus monter tout à
l'heure.
- Ils sont dans la… Hé ! Mais où je
vais dormir moi s'ils sont tous les deux ?
- Qu'est-ce que tu
peux être bête parfois ! murmura la jeune fille, un léger
sourire aux lèvres, une lueur de malice dans le regard. Viens
!
Elle poussa la porte de la pièce et l'entraîna à
l'intérieur.
