Riry, Sevy et le labello à la cerise.

Ndl : Pas tuer mwa ! C'est pas ma faute j'ai cette idée depuis plus de deux semaines et il fallait absolument que je la publie ! C'était vital ! Et puis les Sev/Ry c'est à la mode alors je test pour voir si j'arrive avec ce couple.

Disclaimer : Bien sur les personnages ne sont pas à moi ! Pensez-vous ! Mdr ! Je ne ferais pas que écrire dans ce cas ! Et le labello ça appartient au magasin où je l'ai acheté ! Et l'histoire par contre ça sort de mon cerveau à mwa !

Warning : Fic en R c'est pas pour rien ! Ou pour les ptits innocents : conte interdit aux moins de 17 ans !

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Hymne de Poudlard.

(Comment on s'fait chier en perm et qu'on écrit un slash devant pleins de non connaisseurs !).

Poudlard, Poudlard, Pou du Lard du Poudlard,

Apprends- nous ce qu'il faut savoir,

Que l'on soit jeune ou vieux ou chauve

Ou qu'on ait les jambes en guimauve,

On veut avoir la tête bien pleine

Jusqu'à en avoir la migraine

Car pour l'instant c'est du jus d'âne,

Qui mijote dans nos crânes,

Oblige-nous à tout étudier,

Répète-nous c'qu'on a oublié,

Fais de ton mieux, qu'on se surpasse

Jusqu'à c'que nos cerveaux crient grâce.

Mais Poudlard c'que tu sais pas,

C'est qui y a un ptit gars,

Qui supporte point l'hiver,

Et son froid polaire.

Sa jolie bouche d'adolescent,

Qui en a fait frémir plus d'cent,

De gerçures et de crevasses elle fut comblée,

Au grand dam de son propriétaire adoré,

Qui décida de s'acheter pour se consoler,

Un joli baume de senteur et de couleur…

Voulez-vous vraiment le savoir ?

Bien à vos risques et périls,

Un baume de senteur et de couleur cerise,

Pour survivre à la bise de l'hiver,

Mais certainement pas à celle de ses congénères.

Poudlard 11h50 min et 10 s.

Aiiiiiihhh !

Aiaiaiiiiihh !

AAIIHH !

'' CLAP''

Hu ?

Harry pour l'amour du ciel, cesse dont de geindre ou je t'égorges vivant !

Hermione Granger, préfète en chef et superbe jeune femme de 18 ans sérieuse, appliquée, pire que Rowena Serdaigle en personne, était en ce moment même assise dans l'un des nombreux fauteuils de la salle commune des gryffondors en train de piquer une crise de folie devant les yeux de ses camarades éberlués.

Heu, Herm en général quand on veut égorgé quelqu'un on le fait toujours quand il est vivant…

LA FERME !

Ha…heu…

Ron Weasley, préfet tout simple, beau jeune homme de 18 ans lui aussi, actuellement en train de se faire rosser par la jeune femme alors qu'il tentait courageusement de prendre la défence de son meilleur ami.

Puis si t'essayes de l'égorger il pourra toujours riposter par un sort de son cru, comme il la fait avec Voldemort.

Là, c'est Neville Longdubat qui venait de prendre la défense du dit ''survivant'' mais comme il venait de le dire ''survivant'' n'est plus puisque Voldemort n'existe plus.

Vu l'état dans lequel sont ses lèvres il ne pourrait même pas ouvrir la bouche, puis si tu considères que transformé Voldy en rat d'égout pour qu'il se fasse mangé vivant par son serpent c'est une mort digne d'un sorcier et bien dit ça à Lui, rétorqua la gryffondor en pointant du doigt le canapé tourné vers la cheminée.

On y vient, Harry Potter élève en septième et dernière année à Poudlard avec ses amis, exterminateur de Voldemort qui comme venait de le dire Hermione et Neville, était mort d'une façon plus que digne.

Bien. Harry Potter jeune homme courageux n'est ce pas ? Bien disons beau jeune homme, très beau même, des yeux verts incroyables, des cheveux d'un noir ébène et toujours coiffés avec négligence, une peau bronzée et satinée comme c'est pas permit. Oui. Harry Potter était définitivement beau.

Mais bon là ce n'est que le visage, car le reste…

Actuellement 1.85m, après son ami rouquin en faisant 1.90m et avant son amie la bosseuse (pas dans ce sens !) qui en faisait elle 1.70m. Donc, nous disions 1.85m pour 70 kilos de muscles et d'os. Mais cependant un corps ni trop musclé ni trop maigre, un torse fin, ventre plat où se dessinait légèrement les abdominaux, de longues jambes fuselées et imberbes attention !

Mais un truc faisait tâche.

La bouche.

Oh, belle bouche malgré tout ! Pleine, bien ourlée pour la lèvre inférieure. Mais assez peu résistante aux morsures de l'hiver.

Ce qui donne à présent une bouche crevassée et couverte de gerçures, rouge sur les contours.

En premier lieu cela ne l'aurait dérangé en rien. Mais ça faisait mal.

Très mal. Horriblement mal.

Le jeune homme se retourna vers ses acolytes et leur lança un regard plus noir que les yeux de Serpentard en personne qui en crevait presque de jalousie sous les yeux de ses trois autres amis.

Mais au moment ou Godric s'apprêter à demander à l'auteur débile comment on faisait pour claquer une seconde fois Harry se leva et monta dans le dortoir des garçons de dernière année.

Un grand silence s'installa dans la salle commune ponctué par les gratouillements de la plume d'Hermione qui était plus qu'heureuse de reprendre son travail. On entendit distinctement le gryffondor aux yeux verts redescendre habillé d'une épaisse cape, de l'écharpe rouge et or qui lui remonté jusqu'au nez, et de gants.

Où vas-tu ? demanda Ginny la Curieuse.

Harry ne pouvant pas parlé sous peine de s'écarteler les lèvres comme un gros barbare mima l'acte de mettre du rouge à lèvre.

Te maquillé ! re-demanda Ginny la Conne interloquée.

Mais nan, il va s'acheter du stick pour sa bouche ! répliqua Colin.

Le brun adressa un regard d'infinie gratitude au châtain et se sauvât en tourbillonnant de la cape. Il traversa les nombreux couloirs pour enfin arriver à la sortie du château.

M. Potter ?

Oh non…

Le Potter en personne se retourna vers l'austère M.Snape qui le fixait de ses prunelles noires.

Auriez-vous l'amabilité de me dire où vous vous rendez ?

Le jeune homme montra ses lèvres et remima l'action qui l'avait montré à Ginny en espérant que l'homme devant lui comprendrait.

Par Serpentard, Potter vous êtes tombé bien bas au point de vouloir vous maquiller.

Et merde…

Harry eu un regard agacé et montra ses lèvres abîmées au directeur de sa maison ennemie.

Les yeux du maître des potions brillèrent d'une lueur de compréhension. Il regarda l'adolescent de haut en bas puis s'en alla.

Soupirant, Harry remit son écharpe et sortit en remerciant la règle qui permettait de laisser les septièmes années sortir quand ils le voulaient pendant le week-end.

Aussitôt sorti, le jeune s'immobilisa les yeux écarquillés. Il faisait un froid impensable et le vent glacial ne s'était pas calmé. Il s'avança courageusement vers les marches et les descendit en prenant soins de ne pas se rétamer par terre. Il posa enfin le pied sur l'herbe qui était recouverte de la poudre blanche et commença ça loooongue marche vers Prés-au-Lard.

Malgré le froid et malgré sa haine pour le vent d'hiver, Harry ne pu s'empêcher d'admirer les rues du village. Les maisons à l'allure rustique s'alignaient de façon irrégulière, couvertes de neiges. Des gens marchaient prudemment pour éviter de tomber ou de faire tomber. Les magasins, bars et restaurants étaient décorés de manière plus que chaleureuse pour Noël, accueillant leurs clients d'une sonnette qui stresse quand vous ne voulez pas vous faire remarquer.

C'est ce qui arriva à Harry lorsqu'il pénétra chez un apothicaire qui se situait dans un coin du village. L'intérieur faisait penser aux nombreux magasins de potions du Chemin de Traverse. Un comptoir au fond, éclairer d'une lanterne, était entouré d'étagères où étaient disposé diverses marchandises. De la poudre de licorne, du venin de serpents pour la fabrication d'antidotes, des fioles contenant des larmes de phénix, et plein d'autres remèdes efficaces.

Puis-je vous aidez ?

Harry fit un saut digne d'un basilic…euh non peut être pas…bref il fit un saut pour se retourner vers la voix.

Il se retrouva face à une femme d'environ 70 ans toute ridée les cheveux gris argentés coiffés en un chignon, elle portait une robe violette foncée en velours avec un châle autour du cou.

Euh…aaiihh !

Ayant à peine ouvert la bouche Harry grimaça aussitôt, il avait complètement oublier la raison de sa venue. Mais aspect positif il n'aurait pas à faire le clown devant la vieille qui avait apparemment compris. Elle disparue quelques instants pour revenir avec en main une boite de petite taille, couleur rouge foncée. L'apothicaire enleva le couvercle pour montrer une texture de couleur cerise, c'est seulement lorsqu'il regarda l'inscription sur le couvercle que Harry vit que c'était effectivement fait à base de cerise.

Cette pommade soulagera votre bouche en quelques jours, n'hésitez pas à vous en tartiner. En plus elle sent bon et n'a pas mauvais goût, rajouta la vieille peau.

Harry saisit le remède miracle puis paya la femme avec les 3 gallions. En se disant que ça avait intérêt de fonctionner pour ce prix là.

Il sortit de la boutique et refit le chemin inverse avec une seule hâte. Celle de se remettre au chaud lui et sa bouche.

Harry ! Te revoilà enfin !

Hermione qui semblait s'être détendue sauta au cou de son ami suivit de Ron qui se contenta d'adresser un sourire au brun. Ils remarquèrent tous les deux la boite qu'il tenait entre ses mains gantées.

La jeune femme la lui arracha des mains et l'ouvrit avec empressement.

Mmmmh ! Ca sent trop bon ! s'exclama t'elle.

Elle s'assit sur une chaise et laissa Harry enlever ses vêtements de sortie. Celui-ci prit ensuite le baume et s'en étala sur les lèvres. Il baissa la tête pour voir Hermione le regarder les yeux ronds et vitreux, ainsi que Ron.

Oulà…

Il leva ensuite la tête et remarqua que les autres qui avaient alors suivit la scène le regarder également les yeux brillants.

Ouuulalalaaa…

Il fit demi-tour pour se regarder dans un miroir, il resta alors sans voix.

Sa bouche était à présent d'un rouge cerise bien sur. Il fallait s'y attendre n'est ce pas ?

N'est ce pas ? Elle devait être rouge certes, mais pas comme ça.

Elle était rouge comme si un amant impétueux venait de passer l'heure à l'embrasser. Ses lèvres étaient d'un rouge discret mais voyant à la fois. Cela contrasté superbement avec ses prunelles vertes intenses et ses joues rougies par le froid.

Il les toucha légèrement pour porter ses doigts en bouche, les geste était en lui-même incroyablement érotique, et il senti alors le goût caractéristique de la cerise.

Il se retourna vers ses amis qui se remettaient peu à peu du choc. Si le survivant devait garder ça sur les lèvres il n'allait certainement pas survivre longtemps dans ce cas.

Il était comme toujours dans la merde.

Pour changer.

Heureusement que Voldy n'était plus là tiens…

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Mdr ! Me suis éclaté à le faire ce chap ! A bientôt ! Bisous à tous, et n'oubliez pas, reviews !