voilà ma première contribution, peut être un peu court mais je pense que c'est suffisant, je suis relativement fière de moi, même si je pense pouvoir encore m'amélioré. Merci a Htray de m'avoir corriger les fautes

L'eau coule abondamment sur mes épaules, cela me déstresse, j'oublie tout, le boulot, la dispute avec mon petit ami qui vient de se passer, tout. Je décide pour évacuer toutes les tensions présentes dans mon corps de me caresser lentement, langoureusement, je passe ma main sur mes seins, que je tords légèrement, jusqu'à ressentir une légère douleur bienfaitrice. Mon autre main glisse sur mon ventre, mes cuisses, je ressens des frissons dans tout mon corps. Mon antre surchauffé, dégouline de cyprine. Je délaisse ma poitrine pour venir jouer avec mon clitoris, mon petit bouton de bonheur, je le masse tranquillement mais durement, des gémissements sortent de ma bouche.
Une sensation de froid me donne la chair de poule, je sens une présence dans mon dos et vois apparaître des mains sur mes seins esseulés, je sens son membre dur dans mon dos. Je me retourne pour l'embrasser, aucune parole n'est échangée mais je sais que notre dispute est oubliée. Sa langue joue tendrement avec la mienne, ses mains empaument mes fesses et leur fait subir une délicieuse torture. Sa tête descend vers ma féminité, je sens un premier coup de langue, puis un deuxième, c'est tellement bon que je ferme les yeux, ses doigts s'ajoutent à la fête. Je sens que ma petite mort est très proche. Sa langue s'insère en moi et je jouis en criant le nom de mon amant. Il me retient de justesse avant que je ne tombe, lâchée par mes jambes. Alors que je ne suis pas encore remise de mon orgasme, je peux apprécier son membre viril qui rentre brusquement en moi, ce n'est certes pas doux, mais une certaine tendresse ressort de ses gestes. À mesure de ses va-et-vient tantôt lents et frustrants, tantôt dans un rythme soutenu, mes gémissements et ses grognements de plaisir envahissent la salle de bain. Dans un énième mouvement nous hurlons notre orgasme. Il se retire de moi et je peux voir sa semence couler le long de mes cuisses, et être petit à petit nettoyée par les jets d'eau. Nous nous embrassons encore une fois et je murmure « Edward, je t'aime »