Note de l'auteur: Cette fanfiction date de trèèès longtemps. Je l'ai commencé il y a trois ans. Le style d'écriture, et la longueur des chapitres va varier en fonction de l'avancement des chapitres. Le rating s'expliquera au environ du 10ème chapitre, la petite perverse que je suis fera un chapitre sur les différentes avancées des relations des 3 ou 4 couples. Je vous laisse lire, à très vite !
PROLOGUE.
Quand tout nous échappe...
Je rentrais à la maison après une journée bien chargée. Je travaillais en tant que journaliste sportive, et j'avais fait un long article sur la star de Quiddich du moment. J'avais quand même réussis à me libérer plus tôt que d'habitude, c'est donc, contente de pourvoir faire une surprise à Kustos que je poussais la porte d'entrée.
-Bonsoir chéri ! Comment vas-tu ?
Pas de réponse. Je partis chercher mes chaussons dans ma chambre, mais lorsque j'entrais dans cette dernière, deux bosses étaient formés sous les couettes. Je me tenais à la bordure de la porte pour ne pas tomber.
-Kustos ?
Deux têtes ressortirent des couettes. Kustos m'avait trompée. Avec une fille, que je n'avais jamais vue.
-Kustos ? Non, tu ne m'as pas fait ça ? Jure-moi que je me trompe !
Ils cherchèrent leurs vêtements rapidement et se rhabillèrent à la vitesse de l'éclair. Je m'adossais contre un mur et glissais le long pour atterrir au sol. Je me mis à pleurer pendant que l'intruse courrait dehors.
-Dans Notre lit ! Je croyais que tu m'aimais, qu'on était bien ensemble ! Tu m'avais dit qu'on aurait des enfants, qu'on serait toujours là pour l'autre. Dans notre lit ! Celui où on a eu notre première fois ! Celui où tout s'est passé !
-Amb' je suis désolé...Je ne voulais pas, mais...
-Quoi, on t'a obligé à me tromper ? La tentation était trop forte ? Appelle-moi conne pendant que tu y es. De tout façon, c'est fini, je ne veux plus jamais te revoir, sors d'ici, prends tes affaires et ne reviens plus jamais, c'est clair ? Retourne chez ta blondasse !
-Laisse-moi quelques jours, le temps que tu digère tout ça !
-Je t'ai dit de dégager ! Cette maison est à moi, et de toute façon, je pars, on m'a proposé un travail en Angleterre et je vais accepter !
-Alors laisse-moi la maison ?
-Dégage connard !
Il prit une valise et remplit cette dernière avec ses vêtements. Je n'avais pas bougé, j'étais restée contre le mur.
-Je t'aime Amber. Tu vas me manquer.
Mes pleurs augmentèrent lorsqu'il prononça ces paroles. La porte claqua et je cherchais mon portable dans mes poches. Je le sortais et appela ma responsable.
-Allo ? J'accepte le poste en Angleterre. Je pars de suite en me transplantant.
-Je suis heureuse que tu acceptes enfin. Ta carrière va monter en flèche. Tu logeras au Chaudron Baveur, au chemin de traverse. A Londres. Ça te va ?
-Parfait. Merci.
A mon tour, je vidais mon armoire et rassemblait le tout dans mon sac. Je cherchais dans le salon quelques bibelots et les mit dans un autre sac. J'embarquais mes clés, sortit ma baguette et formula un sort qui empêcherait Kustos de pénétrer dans la maison. Je passais chez ma mère rapidement pour lui dire au revoir.
-Je t'avais dit de ne pas faire confiance aux moldus ma chérie. Je t'aime, reviens moi vite.
-C'est promis.
Je la laissais et partis vers un endroit plus calme que le centre-ville d'Athènes pour me transplaner.
Je jouais avec une de mes bagues avant de recevoir un appel. Kustos. J'appuyais sur le rouge. Mais il recommença à m'appeler des dizaines de fois. Lassée, je répondais:
-Tu m'aime ? Demanda-t-il.
-Oui.
-Peux-tu me donner une seconde chance ? Je te promets que je ne te décevrais pas.
J'observais la bague que j'avais au doigt. C'était une promesse de fidélité que l'on avait faite ensemble. Elle me sembla tout d'un coup, si lourde que je ne pouvais la supporter sur mon doigt. Avec difficulté, je retirais la bague pour mieux l'observer. A l'intérieur était gravé: K& A Αμούρσκαγια ομπλάστ {Amour, en grec} Cette bague était en or massif et avait un rubis dessus. Elle était comme un porte-bonheur avait, mais aujourd'hui, elle me rappelait le souvenir douloureux de la tromperie de Kustos.
-Tu te souviens de la bague de fidélité ?
-Bien sûr.
-Alors pourquoi m'avoir trompée ? C'est toi qui voulais que je porte cette bague. Tu as dit que tu ne supporterais pas me voir avec quelqu'un qu'autre ! Comment as-tu pu me faire ce que tu n'aurais pas supporté que je fasse. Tu m'imagine en train de batifoler avec un autre homme pendant que tu es au travail ? Eh bien non, je n'aurais jamais osé !Je t'aimais et tu m'as détruite.
-Je ne sais pas.
- Quel réponse...
-Répond à ma question. Peux-tu me donner une seconde chance ?
-Non.
Et je raccrochais le téléphone, coupant court à la conversation Je continuais à pleurer, en silence avant de me transplaner vers un autre pays inconnu: l'Angleterre.
