Auteur : San-RSX
Disclaimers : Et non ce n'est pas moi qui ai inventé Potter and Co dommage j'aurai gagné plein de sousous. Sinon pour le moment il n'y a qu'Anne et Daniel qui m'appartiennent
Notes 1: Bon de fait je suis fan des « Dracofiction. » et encore plus des « Draco, Hermione. » mais je trouve que la façon d'aborder le couple devient trop commune alors j'ai décidé de faire un peu différent je suis motivée. Ca se passe Post Poudlard avec un Draco qui voit sa condition de mangemort découverte par une moldue …
Note 2 : Petite dédicace a ma meilleure amie, chieuse en tout genre, qui a gentiment accepté de lire mon torchon et de corriger les fautes (ceci est donc une republication Vivi) donc voila, ma petit Shamel, je te dédiasse cette fisc : p
Voila sinon bonne lecture et une petite review me fera plaisir
Attentat dans Londres, une centaine de blessés graves et une cinquantaine de morts … le terrorisme ne recule plus devant rien. Quand arrêteront-ils ?...Jusqu'où iront-ils
Ces gros titres, comme tant d'autres, figuraient en première page de tous les journaux du monde, le journal télévisé allait en parler pendant quelques jours puis comme tous les autres on les oublieraient peu a peu, ces attentats étaient devenus fréquents, on qualifiait ceux-ci tantôt d'attentat à la bombe ou de voiture piégée mais bizarrement on ne trouvait jamais les fauteurs de troubles. Les terroristes qui d'habitude prenaient un malin plaisir à proclamer les attentats commis déclinaient toute responsabilité. Entre les attentats, les explosions, tous ces gens morts, les gouvernements ne savaient plus que faire, la situation était chaque jour de plus en plus critique et n'allait pas de l'avant, plus les années passaient plus les morts et l'incompréhension apparaissaient, semant le chaos parmi le monde.
Tout cela avait sérieusement commencé en 2001 lors de l'effondrement des deux tours jumelles en Amérique, après cela les attentats s'étaient multipliés ainsi que les enlèvements, la guerre, puis le mystère, certains chuchotaient que ces morts étaient paranormales, d'autres fanatiques de Dieu disaient que c'était la punition de celui-ci devant tant de dépravation dans le monde, les sectes et les églises se remplissaient d'une façon ahurissante, et maintenant, 7 ans après, un climat de peur et d'angoisse régnait, souvent les rues étaient désertes, le soir les animations dans les villes devenaient de moins en moins fréquentes, comme si un couvre-feu non proclamé mais entendu de tous avait été mis en place.
Elle, elle faisait partie de ces gens qui ne croyaient ni en Dieu ni au diable, que tout ceci intriguait sans pour autant l'empêcher de sortir, elle estimait qu'elle était jeune et que si elle devait mourir à cause d'un attentat c'est que ça devait se passer comme ca, rien de plus rien de moins.
Et puis qui allait se soucier de la disparition d'une orpheline ? On pleurerait sa mort peut-être une journée, ses amis un peu plus, et puis elle irait rejoindre dans une jolie boite de bois faite à sa taille, la terre froide, les morts et les insectes qui grouillaient en-dessous du sol.
Elle sourit vaguement à cette idée tout en passant le portail de l'orphelinat, elle était assez optimiste, elle ne mourrait pas maintenant, alors qu'il lui restait seulement deux ans à tenir dans ce bâtiment sombre, glauque, déprimant où toute la misère des enfants abandonnés se retrouvait.
« Tu sors ? »
Elle se retourna surprise, puis poussa un soupir de soulagement en voyant la silhouette familière de Daniel se découper dans la pénombre.
« Oui je sors je ne supporte plus d'être enfermée.. »
Elle poussa un soupir las avant de passer sa main dans ses courts cheveux blonds foncés pour repousser une petite mèche qui était venue lui chatouiller le nez et esquissa un sourire mystérieux
« Et puis, Londres est plus amusant la nuit, trêve de plaisanterie, tu viens avec moi ? »
Daniel haussa les épaules comme si cela lui était égal et se mit à marcher a côté d'elle en silence, on aurait presque pu croire que ça le dérangeait, pourtant il n'en était rien, il aimait la compagnie d'Anne autant que le silence et la nuit, lui-même était silencieux, ne parlant que part nécessité et ne souriant jamais, il faisait passer ses émotions par d'autres moyens.
Anne ne se formalisa pas du silence de son ami, car après cinq ans de vie commune, elle avait appris à le connaitre et savait que même s'il paraissait toujours mécontent il n'en était rien.
« Où est-ce que tu vas cette fois ? »
Elle tourna sur elle-même un sourire avenant collé aux lèvres et esquissa un pas de danse.
« Au Northstreet Pub, il parait qu'il y a un groupe génial ce soir et je meurs d'envie d'aller les écouter. »
Il hocha la tête d'un air approbateur et enfonça ses mains gantées de cuir dans les poches de son jean déchiré. C'était un des plus vieux pubs de Londres autrefois fort réputé, il avait été repris par un propriétaire négligeant ou simplement en manque d'argent, si bien qu'à présent il était devenu miteux et les gens les plus louches se rencontraient souvent là-bas.
Il y a quelques années, même il n'y a pas si longtemps que ça, les gens de moins de 21 ans ne pouvaient entrer dans les pubs mais maintenant à cause des attentats et de la peur régnant parmi les adultes, les patrons avaient été obligés, pour ne pas sombrer dans la faillite, de laisser le passage aux jeunes, c'était eux-même qui fournissaient les faux papiers bien qu'ils en avaient rarement besoin, la police ne faisait même plus de descente de peur d'une attaque, la nuit appartenait à présent aux moins de trente ans.
Elle resserra son pull autour de son cou, se maudissant de ne pas avoir emporté une écharpe pour se protéger du froid mordant de ce début décembre, elle se frictionna les mains en soufflant dessus dans l'espoir de les réchauffer mais seules des vapeurs d'air froid sortaient de sa bouche aux lèvres craquelées par le gel. Daniel sortit vivement ses mains gantées de ses poches et, s'emparant de celles de son amie, il retira ses gants et les lui mis.
Elle les retira aussitôt sachant combien il lui était pénible d'être sans gants. En effet la peau des mains de Daniel était décharnée, brulée à plusieurs endroits et n'ayant pas reçu les soins nécessaires, elles n'avaient pu être soignées correctement. A présent sa peau toujours a vif était gantée pour en cacher la laideur et la douleur, elle les lui rendit avec un sourire.
« Ne t'inquiète pas je n'ai pas si froid, si c'est insupportable je te les piquerais... »
Il hocha la tête d'un air entendu et remit les gants avec un soulagement, même si ses mains avaient été sur le point de geler elle n'aurait jamais demandé à prendre les gants de Daniel, heureusement ils n'étaient plus fort loin, l'orphelinat était situé dans un coin paumé de Londres, et pour aller dans le centre ils ne devaient faire que quatre petits kilomètres à pieds, les bus ne roulaient jamais au delà de 8h00 du soir mais ça ne les dérangeait pas outre mesure, sauf quand il pleuvait.
Ils arrivèrent enfin dans le rues du Northstreet, la plupart des cafés de la rue étaient ouverts mais ne semblaient pas remplis. A mesure qu'ils avançaient une musique se fit entendre de plus en plus intense et quand ils poussèrent la porte du café un dernier accord de guitare venait de mourir tandis que les jeunes en délire qui constituaient la plupart de la clientèle acclamaient les musiciens sur scène. Daniel eut une moue désapprobatrice devant la foule aussi excitée, le café était bondé et le chauffage devait être mis au maximum car la plupart des gens était en t-shirt et une chaleur moite et étouffante régnait dans le salle. Anne, qui n'avait plus du tout froid, enleva son pull et le laissa choir sur une chaise où se trouvait déjà tout un amas de vêtements sans se soucier de savoir si elle le retrouvera ou non.
Elle ajusta son débardeur et s'enfonça dans la foule en signifiant à Daniel qu'elle allait essayer de trouver une table et qu'il n'allait qu'à aller chercher à boire pendant ce temps-là.
Il acquiesça d'un signe de tête et partit vers le bar relevant les mèches de ses longs cheveux noirs se balançant sur ses épaules au rythme de ses pas, il s'accouda à celui-ci poussant un soupir de soulagement, il n'aimait pas se sentir à l'étroit et le bar n'était pas encore très fréquenté à cette heure, il pouvait souffler un instant avant d'aller rejoindre Anne, il n'aimait pas la laisser seule dans ce genre d'endroit, insouciante et férue de l'aventure comme elle était elle risquait bien de tomber sur tout et n'importe quoi ...
« Vous désirez ? »
Il voulut répondre mais une voix trainante et nasillarde répondit à sa place :
« Un whisky et un Gancia et sans glaçons le Gancia. »
Tandis qu'il se tournait vers la personne, un jeune homme à la peau pâle et aux cheveux blonds clairs, un peu plus long que la normale et dont les mèches retombaient avec élégance sur son visage, cachant son regard gris-bleu acier -il devait surement plaire a ces dames- il haussa les épaules, désinvolte, bien que désagréable en apparence il ne voyait pas l'intérêt de se disputer avec lui pour des broutilles, se disputer signifiait parler et le silence était souvent préférable à la parole.
Il revint près d'Anne quelques minutes plus tard, deux bières brunes à la main, il s'affala sur sa chaise jetant un œil morne à la salle avant de reporter son attention sur la scène, les musiciens allaient bientôt commencer à jouer. Quand le brouhaha incessant de la salle fit enfin place au silence, les musiciens commencèrent à jouer, Daniel apprécia le silence qui régnait mais celui-ci fut de courte durée car les gens se remirent à hurler et Anne se leva pour se joindre à eux.
Draco se massa douloureusement les tempes, une moue désapprobatrice sur le visage, les yeux fermés d'exaspération tandis que sa compagne le priait d'une voix geignarde de bien vouloir l'accompagner sur la piste de danse, mais pourquoi faire ?le fait de s'afficher avec Parkinson même au milieu de moldus était déjà assez humiliant sans devoir avec ça aller se trémousser sur une piste de danse où les gens se collaient les uns aux autres dans l'espoir de se fondre l'un dans l'autre, non, non jamais on ne le verrait lui, digne héritier des Malefoy, se trémousser parmi les moldus ou même se trémousser tout court, de toute manière il n'était pas là pour ça …
A présent Pansy le tirait, ses gros doigts boudinés s'accrochant à son bras et laissant des marques rougeâtres sur sa peau pâle, il eut un soupir exaspéré tandis qu'il essayait de trouver son calme pour ne pas lui lancer un Avada Kedevra à l'instant, Voldemort n'aimait guère que l'on tue ses équipiers même si ceux-ci se révélaient bêtes à manger du foin, les toutous les plus dociles servent toujours comme il avait l'habitude de lui dire.
Il la prit le bras et la tira violemment vers lui dans un prétendu geste d'affection mais qui n'était rien d'autre que de la colère intense, quand on disait que Pansy était bête à manger du foin, ce n'était guère une métaphore, celle-ci ne comprenant pas où son compagnon voulait en venir ferma les yeux en avançant les lèvres dangereusement vers lui pensant que le jour tant attendu où Draco l'embrasserait était enfin arrivé, hélas pour elle, il n'arriverait pas, elle devrait se contenter d'en rêver. Il contempla un instant avec un dégout évident les lèvres de Pansy et enfonça ses ongles dans la chair graisseuse et moite de la jeune fille, elle réouvrit les yeux et eut une exclamation de surprise et de douleur.
« Mais enfin Dray, chéri. »
Il enfonça un peu plus fort ses ongles, ce qui eut pour effet de faire taire Pansy qui se retrouva contrainte à pousser des petits gémissements pitoyables, telle une souris qu'un chat attrape dans sa gueule.
« Je ne suis pas ton Dray chéri, ne t'avise plus de m'appeler comme ca et maintenant va te trouver quelqu'un avec qui te trémousser un peu, on commence dans une demi-heure. »
Il lui lâcha le bras et se désintéressa d'elle tandis qu'elle baissait les yeux et se frottait le bras où la marque de la main de Draco était restéé enfoncée, s'en allant d'une démarche qui se voulait gracieuse et sensuelle mais qui n'avait pour effet que de la faire ressembler à un pingouin qui essaye de faire de la danse classique sur la banquise. Ndb: j'adore cette phrase
Il soupira de soulagement quand elle s'éloigna et renversa sa tête en arrière, fermant les yeux et essayant de faire abstraction de la musique de sauvage qui régnait dans la salle, pour lui il n'y avait rien de pire que sa situation actuelle, un vieux pub miteux entouré de jeunes moldus déchainés et une musique assourdissante essentiellement composée de cris rauques et de sons violents qui lui vrillaient les tympans, il n'était pas mécontent de devoir détruire cet endroit, c'était une insulte à la musique, il rêvait de retourner chez lui et d'écouter Mozart dans sa chambre sans qu'aucune personne ne vienne le déranger.
Il jeta un coup d'œil à sa montre tout en soupirant, seulement cinq minutes de passées, encore une demi-heure à tenir. Qu'allait-il pouvoir faire pendant une demi-heure dans un endroit pareil ?
Il fut sorti de sa torpeur par un coup sur le ventre. Une jeune fille venait de tomber sur lui assez violement, lui enfonçant son coude dans l'estomac, il n'eut pas le temps de l'engueuler qu'elle fut tirée par une espèce de colosse d'un bon mètre nonante qui ne semblait pas de la meilleure humeur qui soit...
« Espèce de sale pute, t'a renversé mon coca, tu vas devoir me dédommager maintenant »
La jeune fille qui ne devait guère avoir plus de 18 ans se débattait comme elle pouvait mais le colosse lui enserrait les poignets et l'empêchait de bouger, ce qui n'empêchait pas la demoiselle de lui répondre avec verve, ce qui était hautement déconseillé quand on s'attaquait à plus fort et plus grand que soit !
« Mais dégage gros con j'ai rien renversé t'es tellement con que tu ne sais pas tenir un verre voilà ce qui s'est passé ! »
En temps normal les videurs seraient déjà intervenus mais il y avait bien trop de monde pour que l'on puisse distinguer quoique ce soit.
Le colosse rougit de fureur et lâcha un des bras de la jeune fille levant sa main et s'apprêtant à la frapper violemment au visage.
Sans qu'aucun des deux ne comprennent vraiment ce qui étaient arrivé ils se retrouvèrent séparés.
« Non ça va pas j'allais la remettre à sa place cette pute... »
Merlin! Il n'imaginait pas qu'il existe encore des gens au vocabulaire aussi limité c'était désespérant, il s'abstient de commentaire. Il jeta un regard glacial au colosse:
« Je m'en occupe.. »
L'homme aurait bien voulu répliqué mais la lueur qui brillait dans les yeux du garçon l'en dissuada, il haussa les épaules, frustré, et fit volte-face. Il se tourna vers la fille, exaspérée à l'avance de la reconnaissance qu'elle aurait pour lui, mais il n'en fut rien, plutôt que de lui adresser un sourire rempli de reconnaissance elle le gifla assez fort et lui déclara d'une voix vénéneuse:
« Pour qui est-ce que tu te prends! Je pouvais très bien me débrouiller toute seule alors tache de ne plus intervenir. »
Il frotta sa joue, un sourire forcé et douloureux au visage, ne pas la tuer maintenant, elle mourrait dans l'explosion avec les autres, il fallait juste attendre encore un peu …
Il la détailla attentivement tandis qu'elle continuait son monologue, elle était assez jolie, fine et apparemment musclée, elle avait la peau joliment mate et sa taille ne devait guère excéder les 1m65, elle avait des cheveux assez courts, blond clair, qui contrastait avec sa peau comme s'ils avaient été décolorés par le chlore, mais ce qu'il y avait de plus surprenant chez elle c'était ses yeux d'un vert envoutant, tellement clairs qu'ils en paraissaient transparents.
Elle s'était approchée de lui voulant lui dire quelque chose qui n'était certainement pas au gout de Draco lorsqu'une main gantée se posa sur son épaule, elle se retourna, sa colère disparaissant, et fit un signe de tête entendu à celui-ci sans même qu'il eut prononcé un seul mot, elle fit volte-face, l'ayant apparemment déjà oublié, le garçon se tourna vers lui, la moitié de son visage était cachée mais on n'en voyait pas moins son œil droit, il le fixa un instant d'un regard qui paraissait morne puis suivit la fille vers la sortie, laissant pour la première fois de sa vie un Malefoy médusé par des moldus. Il serra les poings rageusement, lui, un sang pur, se laisser dominer par des vulgaires moldus! Il grimaça puis haussa les épaules, il mourrait ici comme les autres, il y veillerait …
A partir de ce moment-là le temps se mit à passer très vite, il retrouva Pansy qui se réjouissait de jouer un peu avec ces moldus, ils sortirent du café qui était toujours plein avec la même musique que Draco trouvait si agressante qui en sortait. Il sourit, bientôt, tout cela disparaitrait …
Pansy lui jeta un regard inquisiteur:
« On y va ? »
Un sourire machiavélique apparut sur les lèvres de Draco tandis que l'excitation de la tuerie l'envahissait, il regarda Pansy comme si c'était la première fois qu'il la voyait et répéta après elle:
« Oui, on y va. »
Les sorts jaillirent à une vitesse impressionnante de leurs baguettes, on eut dit qu'un feu d'artifice était apparut, des flammes commençaient à venir lécher la façade du bâtiment, tandis qu'à l'intérieur l'odieuse musique avait été remplacée par les cris des moldus mourant de peur.
Ils regardèrent avec délice les moldus courant dans tous les sens, et ceux qui s'éloignaient un peu trop des flammes étaient tués par un Draco euphorique, bientôt Pansy en eut assez de regarder, pour une fois il eut un regard indulgent et dit:
« Je te laisse t'occuper d'eux, je suis de bonne humeur, tue-les tous. »
Elle sourit aux anges et descendit de son perchoir tandis que les cris augmentaient, Draco détourna le regard, s'étirant lentement, et il s'arrêta en plein milieu de son geste, au loin, la fille blonde le regardait, pas apeurée, ni même effarée, sur son visage se lisait plutôt une sorte de fascination morbide et une certaine curiosité.
Le garçon qui l'accompagnait ne semblait pas l'avoir remarqué lui, il tira sa compagne, l'éloignant des flammes, Draco aurait du les tuer mais il en était incapable, une moldue, une moldue connaissait son existence …
Anne se retourna une dernière fois, regardant le jeune homme blond du bar, il portait à présent une longue cape noire qui flottait au gré du vent et son visage pâle était illuminé par la flamme qui venait lécher le toit sur lequel il était perché, sans même l'inquiéter. Elle croisa son regard un instant, elle aurait voulu que Daniel la lâche pour qu'elle puisse aller voir ça de plus près et comprendre …
Mais Daniel la tira, il n'avait rien remarqué...
Elle regarda une dernière fois en direction du toit. Il avait disparu. Qui était-il ? A quoi rimait tout cela ?
