Amours incestueux

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Salut, je veux seulement vous dire que cette fic comporte de l'inceste, c'est à dire que des personnes de la même famille vont s'aimer et peut-être (sûrement) plus. Alors si vous avez un problème avec ça et bien ne lisez pas. Si vous penser que ce que j'ai écrit et une abomination et bien sa me ferais plaisir de discuter de cela avec vous via réviews, tant que ça reste poli et censé. Merci. Je m'excuse habituellement je ne suis pas aussi plate dans mes avant-fics mais vu que des réviews de ce genres ce sont déjà vues et que je souhait pas me faire insulter comme c'est déjà arrivé, ben je préfère prévenir. Je vous aime toutes et tous :D :D :D :D :D :D...(sa m'arrive souvent inquiétez vous pas...)

Warning : Bon...Fic classé R pour homosexualité, inceste et sexe. Si il en a que cette perspective fait baver et bien je vous souhaite du bon temps en lisant ma toujours appréciés.

Disclamer : Pas à moi...blablabla.

Chapitres : mini-fic de deux chapitres.

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« George, je crois que je suis amoureux. »

C'est à cet instant précis que mon cœur d'adolescent se brisa.

Notre dortoir devint flou, depuis des années que je m'accrochait à un rêve, un rêve fou peut-être, mais c'était mon rêve à moi et ce rêve venait de m'exploser au visage. Mon frère, mon jumeau, mon ami, mon amour était amoureux.

La seconde même où mon frère jumeau entra dans la pièce, je vis une différence dans son expression, après tout il avait les mêmes que moi, je voyais que quelque chose n'allait pas, quelque chose de grave le tourmentait.

Qu'allais-je devenir? Comment pourrais-je vivre sans l'espoir ridicule, mais oh combien alléchant, qu'un jour je pourrais être plus que son frère, c'est de l'inceste pur et je le sais, mais je l'admet et je l'accepte, je suis complètement amoureux de mon frère. C'est le soleil de ma journée et la lanterne de mes nuits. Seul son regard, qui sait si parfaitement refléter le mien, sait me rendre vraiment heureux, grâce à lui je sais ce qu'est l'extase amoureux, la joie de se lever en sachant que je serais de nouveau avec lui. Je l'aime tellement.

Mon amour, comment pourrais-je vivre sans toi sans tes caresses timides, sans ton sourire chaleureux? Je ne suis plus rien sans toi. Je t'en supplie, Fred, regarde-moi et dit moi que c'est une blague, blottit ton corps chaud contre le mien encore un fois que je puisse sentir ton cœur battre en harmonie avec le mien, je t'aime Fred, dit moi que tu m'aimes...

Alors que mon âme pleurait à chaudes larmes, je fis un effort sur- humain et réussis à retenir mes larmes, à esquisser un sourire qui pouvait presque sembler sincère et à lui dire sur un ton de confidence :

« Ah, oui...de qui donc? »

« Ça, c'est confidentiel Georgichou... »

Et voilà, il a déjà des secrets pour moi, nous qui avons toujours tout partagé y compris nos secrets, il commence déjà à s'éloigner de moi. Mon dieu, mon dieu, mon dieu...Qui est cette pétasse que je la torture jusqu'à ce qu'elle en meurt, oh oui, oui, oui, d'une mort très lente, sanguinaire et souffrante. Oui, je l'attacherais l'affamerais et la regarderais supplier jusqu'à ce que...

Mais je fus tiré de mes pensés morbides par la voix de mon frère qui me demanda doucement :

« Ça va, tu as l'air songeur ? »

« Ce n'est rien Fred, ce n'est rien...Je vais dormir maintenant, à demain. »

Fred me regarda d'un air 'Ne me prend pas pour un con, je vois bien qu'il y quelque chose qui ne va pas' mais c'était trop tard je lui tournais déjà le dos et des larmes silencieuses coulaient sur mes joues rougies par les émotions.

Je ne dormis presque pas cette nuit-là, je m'endormi alors que le soleil se levait, écrasé par le sommeil et les émotions . Mes yeux restaient obstinément grands ouverts et les larmes coulaient sans arrêt, je jetai un sort de silence autours de mon lit pour que personne ne m'entende pleurnicher. Déjà que Fred se doutait de quelque chose, il vaudrait mieux en rester là.

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Le soleil était déjà levé depuis et il était très haut dans le ciel lorsque je me réveillai. Je priais intérieurement, bien que ne fut pas croyant, pour que mes yeux ne soient pas trop rouges et je filai vers la salle de bain.

Je me fit couler un bon bain chaud pour me réveiller rapidement et ne pas paraître trop émoustillé lorsque j'airais parler à Fred. Il faut que je lui parle, je dois savoir, j'ai le droit de savoir! Moi qui est toujours été là pour lui, il n'a pas le droit d'avoir de secret pour moi, je n'en ai pas pour lui. À part peut-être l'amour que je lui porte, mais....euh...c'est pas la même chose, bon! Pour qui il se prend, comment pense t-il que je vais réagir?

Je sortis de mon bain et regardai Fred qui était assis sur son lit et qui attendait apparemment que je sorte de la salle de bain, il me regarda et me fit un beau sourire, mon dieu, comme il est beau ! (pas prétentieux du tout le petit George...) Puis il me dit :

« Tu sais pour ce que je t'ai dit hier, et bien j'aurais besoin de ton avis, soit sincère d'accord? » Je lui dit que c'était correct. Je pourrais enfin lui donner mon avis sur toutes ses petites cachotteries, et il enchaîna : « Si tu était à ma place que ferais- tu pour gagner son cœur? »

Oh non...me voilà recaler au poste de conseillé amoureux, de cupidon à deux sous et puis, comme si j'avais plus d'expériences que lui... Que pouvais-je dire? Je le regardai profondément dans ses yeux bleus dans l'espoir d'y voir je ne sais quoi qui pourrait démentir le fait qu'il soit amoureux, mais rien d'autre qu'une moue doucereuse typique d'un amoureux ne passa sur son visage. Peut-être devrais-je être heureux pour lui? En tout cas je tenterais de répondre à sa question le plus sincèrement possible. Je réfléchis quelques secondes et lui répondit :

« Offre-lui des gâteries, offre-lui ce quelle préfère si c'est un fille simple elle les mangera sans dégoût ni peur de grossir. Si tu ne la connaît pas informe-toi sur ce quelle préfère, elle adorera ça j'en suis sûr. »

Fred rayonna de joie après mon conseil, il semblait penser que c'était une très bonne idée. Mais moi je pensait tout à fait à autre chose en regardant dans ses yeux, le pétillement qui les animaient. Comment ai-je fais pour me retenir de lui sauter dessus pendant toutes ces années? Je doit avoir une volonté de fer, ou un cœur en or...

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Le reste de la journée se passa comme dans un rêve, je n'écoutais pas dans mon cours de potion. La question de l'indenté de l'amour secret de Fred m'obsédait totalement. Sûrement encore plus que le fait qu'il soit amoureux, je désire ce qu'il y a de mieux pour mon frère, je l'aime tellement...Non, arrête, Gorge, tu t'auto tortures, et imagine un peu ce que dirait Snape si tu te mettais à sangloter pendant un de ses cours. Je vois déjà la scène : «GEORGE WHEASLEY! Pourquoi pleurez-vous pendant un de mes cours?! Je ne vous en ai pas donné la permission ! 50 points de moins pour Gryffondor pour être une lavette!» Snape avait vraiment une âme de dominateur!

Le cerveau d'adolescent au taux de testostérone très élevé de George travailla un peu son imagination hors du commun et il se surprit à imaginer son professeur de potion affublé du costume du parfait dominateur. LE costume de cuir moulant qui laissait voir plusieurs parties de son anatomie qu'il n'auraient jamais préféré voir, même si c'était le pur fruit de son imagination. Snape faisait claquer le fouet qu'il tenait dans sa main et regardait en sa direction en lançant des regards qui se voulaient sexy, aguichants et provocateurs.

Malgré le caractère érotico-traumatisant de cette image, elle m'arracha quand même mon premier sourire de la journée et me remonta le moral, bien qu'imperceptiblement. Snape aurait au moins fait quelque chose de bien dans sa vie, bien que ça soit tout à fait inconsciemment.

Je n'avais pas faim, mais pour ne pas encore plus inquiéter mes amis, qui se doutaient déjà que quelque chose n'allait pas, je décidai de quand même me rendre au dîner (ou déjeuner, ça dépend de quel coter de l'Atlantique vous vous trouvez...en tout cas c'est celui qu'on mange vers midi).

Une ambiance spéciale régnait dans la salle. Un peu comme si tout le monde chuchotait des secrets à tout le monde. Une ambiance de mystère.

Mes yeux ne cherchèrent pas très longtemps avant de trouver la cause de cette ambiance de confidence, toutes les tables débordaient littéralement de chocolat. Comme j'allais m'asseoir, Dumbledore pris la parole :

« Bon midi chers élèves!, dit-il avec sa fougue habituelle. Vous remarquerez que les tables croulent sous les gâteries chocolatées ce midi. Et bien c'est l'œuvre d'un élève, Fred Wheasley, qui a grâcement supplié les elfes de maisons de mettre sur la table des Gryffondors des guimauves enrobées de chocolat. Et bien on dirait que les elfes trouvaient cela injuste que les Gryffondors bénéficient d'un traitement de faveur alors il en on mis sur toutes les tables...Mis à part celle des professeur bien sur... » Une expression semblable à celle d'un enfant gâté dont les parents ne veulent pas acheter de bonbon au goût de fraise synthétique passa sur le visage ridé et habituellement sage de Dumbledore, mais disparu aussi rapidement qu'il était arrivé.

Il enchaîna :

« donc si vous voyez un professeur vous fixé drôlement donnez leurs en avant qu'il ne vous morde. Sur ce, bon appétit. » Une salve de rire et d'applaudissement accueillit ce mini-discours.

Tout les élèves s'étaient levés et regardaient dans la direction de mon frère, dont le visage explorait toutes les teinte de rouges possibles et imaginables. Allait-il regretter d'avoir suivit mon conseil, mon dieu j'espère que non. Mais je devais bien m'avouer une chose : Il l'aimait cette fille pour risquer une humiliation. Il avait beau être reconnu comme un clown, tout comme moi d'ailleurs, il avait quand même sa fierté masculine(donc sur- dimensionnée...) et il y tenait.

Mon cerveau parti sur une série de pensés et de conclusions. Premièrement, Fred avait demandé que les chocolats soient posés sur la table des Gryffondors , la chanceuse était donc une Gryffondor. C'était déjà ça. Deuxièmement elle avait bon goût, moi aussi j'adorait les guimauves enrobées de chocolat.

Donc, c'était simple, pour trouver l'élue il me faudrait chercher la fille à la table des Gryffondors qui aurait l'air d'apprécier le plus les gâteries chocolatées...ouais facile à dire. J'avais beau regarder, il me semblait que tout le monde se jetait sur les cochonneries sucrées. En tout cas...Deuxième alternative, regarder vers qui le regard de Fred se portait.

Je détourné mon regard vers mon amour de frère et vis qu'il ne regardait personne en particulier. Mais au bout de quelques minutes, Fred, se sentant sûrement observé, tourna son regard d'azur vers moi. Il me sourit. Comme à chaque fois qu'il me laissait entrevoir ses dents blanches au travers de ses lèvres pleines et bien dessinées, un frisson partant de mes fesses et remontant ma colonne jusqu'à mon cuir chevelu me parcouru. En suite il me fit un petit clin d'œil complice et je dut détourner la tête de peur qu'il ne me voit rougir.

Après avoir manger, je remontai jusqu'à la salle commune puis jusqu'à notre dortoir. Je n'irai pas à mon cours. Ni à celui d'après, d'ailleurs. Je ne le pouvait pas. Dans mon esprit il n'y avait que Fred, ses yeux, sa bouche, son sourire. Tous si semblables aux miens.

Il m'obsédait...

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À suivre...tatadadammmmmmmmmmmeeeeeeeeeeuh(petite musique de suspense)