Chapitre 1 :
Une rousse au longues jambes et à la peau laiteuse, qui portait un trench qui sublimé ses formes parfaites venait de verser une larme, cette larme coula, coula jusqu'à s'échouer à terre, dans un fracas silencieux, et funèbre. Elle avait pleuré 4 fois dans sa vie dont 3 fois à cause de cet intriguent et non moins sexy détective à la drôle de casquette.
Irène venait d'assister à tout Absolument tout. Sherlock, le seul homme à sa mesure été mort ! Non elle ne pouvait tout simplement pas y croire. Moriarty été un fin stratège, mais de la a … pousser l'Homme de sa vie au suicide. Toute son aventure avec le détective lui revint en mémoire, un moment en particulier, quand il avait sauvé sa vie, il avait tout déjoué pour elle, avait même réussi à duper son propre frère. Elle n'espéré qu'une seule chose, que cette fois ce soit elle qui ce fasse berner. Elle avait été ressuscité plus souvent qu'a son tour, et la seule question qu'elle se poser en ce moment tragique c'était, pourquoi, pourquoi elle n'avait pas été capable de faire quoi que ce soit, alors qu'elle assisté à la mort de l'Homme le plus intelligent de l'univers, donc le plus sexy, et dire qu'elle ne se l'été même pas fait ! Quel gâchis. C'est sur ces regrets que La Femme quelque peu chancelante abandonna sans doute pour l'éternité le corps du seul qui n'a jamais compté. Le seul hommage qu'elle pouvait lui rendre c'était de rester en vie simplement et de continué a ce comporter mal.
La Dominatrice qui avait faillit mettre l'Angleterre à ses pieds, cette nation si fière, SA nation, se retrouver aux joues de ce qu'elle avait toujours redouter et essayer de dissimuler, ses sentiments. Seul une unique personne avait su les discerner. Elle pouvait ce targuer cependant elle aussi de voir un frémissement de désir lorsque Sherlock Holmes s'adresser à elle. Oh pas du désir physique, non ce n'est pas comme cela qu'ils voyaient les choses, Irène se faisait tout ce qui était appréciable de se faire, et Sherlock prôner l'abstinence. Non la tension palpable par n'importe qu'elle être humain, été une tension sexuel de l'esprit, oui cela n'existe pas, sauf pour eux.
C'est donc le cœur briser, fusse-t-il bien cacher, qu'Irène Adler monta dans le train pour Nottingham.
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Dans son manoir, seul au milieu des lands, le vent pour seul confident et témoin, Irène laissa son esprit et sa bonne tenue de coté, elle s'assit dans l'herbe tremper et pleura.
Sa transe terminer elle se jura que jamais plus elle ne se déshonorerais de la sorte.
Elle rentra lentement dans son manoir et alla prendre un bain. Cela avait toujours été un rituel important, après chaque affaire conclu avec un ou une cliente elle prenait un bain, après son père aussi … Irène plongea la tête dans l'eau, une autre promesse qu'elle s'était faite, enterrer le passé à jamais ! Une fois laver de tout elle décida de se connecter sur Facebook. Elle aimer avoir des nouvelles du monde par l'intermédiaire de gens et de phrases futiles, cela été très factuel et pragmatique. Les gens ordinaires ne voient pas le monde autrement que par leurs propres nombrils et pas plus loin que le bout de leur nez ! Ce qu'elle vit la dégouta profondément de la race humaine, la nouvelle de la mort du détective c'était rependu comme une trainé de poudre, mais ce ne fut pas cela qui la choqua, c'est que sont nom soit trainer dans la boue. Elle ne l'accepté pas, elle en avait juger par elle même Sherlock voyais bien tout et au travers de tout le monde, (elle en avait d'ailleurs fait les frais) et là une journaliste du Sun venu de nul part (surement nymphomane d'après ce qu'Irène avait pu sonder de sa personnalité), déblatéré la soit disant « vérité sur le faux génie ». Elle savait pertinemment que Jim était derrière tout ça, mais lui aussi été mort, personne, personne, même cet imbécile de Dr Watson ne pouvait rétablir la vérité vrai sur ce qu'était Sherlock Holmes. Elle ne voyais qu'une seule solution, elle devait le faire, c'était risquer, le MI6 pourrais retrouver aisément sa trace, mais elle devait le faire ! Pour lui. Elle passa toute la nuit à constituer un dossier qui faisait office de nécrologie. Le moindre argument énoncé et énonçable contre Sherlock été démonté, Irène ce dit que tout cela n'était qu'une plaidoirie géante, et que même si elle devait se battre pour prouver qu'il était bel et bien le plus sexy, elle le ferais de bon cœur. Elle s'écroula de fatigue et prévoyait de poster tout cela le lendemain. SI Irène été d'habitude telle une chatte qui ne dormais que d'un oeuil, cette nuit la elle ne se rendit pas compte que quelqu'un été entrée par effraction. Dès l'aube après quelques heures de sommeil Irène monta dans son dressing s'habiller, quand elle découvrit plusieurs messages sur les différents miroirs de sa chambre « Jeunesse, Naissante, Suis d'un, Pas, la Mort »
Jeunesse
Naissante
Suis d'un
Pas la
Mort
« - SHERLOCK ! »
Soudain deux bras puissant lui bloquaient la taille et la bâillonna.
« - Surprise » son souffle chaud la fit frissonner de plaisir, certes il avait des attrait moraux, mais ses attraits physique n'en été pas moins dédaignable ! Il la retourna contre lui, et l'azur et l'océan se trouvèrent à nouveau réunis ! Leurs corps s'emboîtaient à la perfection a travers leurs vêtements, Irène se mit à penser à ce que ça donnerais si ils été nus. Sherlock glissa sa main jusqu'à la sienne, ou La Femme tenait un Baréta qu'elle avait à peine eu le temps de sortir de son porte-jarretelle. Elle le lâcha sans aucunes méfiances.
« - Allons dîner, je meurs de faim »
Irène cru qu'elle n'entendrait jamais cette phrase sortir de sa bouche. Elle commença a déboutonné sensuellement sa chemise et glissa ses ongles rouge sang à travers le torse parfaitement musclé et d'un blanc immaculé, de Sherlock.
« - Ce n'est pas de ce genre de dîner dont je parle, un peu de patience mademoiselle Adler » elle lui fit la mou et se rapprocha de son oreille « Dommage » lui susurra-t-elle, tout en faisant glisser sa main jusqu'à l'entre jambe du détective. Elle le regarda fixement et dit : « Pupilles dilatés ». Elle lui mordit le lobe et le laissa ainsi. Son brillantissime cerveau mis peu de temps à ce remettre de cette petit interlude, cependant son corps le trahissait encore.
« -Bien, si vous avez si faim allons dîner » dit Irène depuis son immense garde robe. Il la rejoignit, pris le premier sac de voyage qu'il trouva et commença à prendre quelques robes d'Irène, toutes plus subjectives les une que les autres, puis ils ouvrit la commode ou elle mettait sa lingerie, une collection conséquente y était soigneusement rangé, Sherlock avait une fois de plus trouver son double féminin, quand lui faisait un classement de ses chaussettes, elle faisait de même avec ses dessous, qui soit dit en passant ne le laisser pas de marbre, il les renifla, pour essayer une fois de plus de percer les mystère de La Femme, il était en train de détaillé une petite culotte lorsque Irène lui demanda ce qu'il était en train de faire.
« - Surprise, nous dinerons dans approximativement 2h30 » il finit le baguage d'Irène.
« - Seriez vous prête a me suivre dans l'ultime conclusion de la plus grosse enquête de ma carrière ? Et par la même occasion éviter sans doute une troisième guerre mondiale ? »
« - Amené de manière si … pragmatique, comment refuser une tel offre ? et puis je ne vois pas de raison de refuser … » elle enroula sa jambe autour de Sherlock
«- Juste toi et moi, seul contre le reste du monde, rien de plus banal ! Je ne pense pas me tromper en disant que tu es sociopathe, de haut niveau je dirais », il se pencha vers son cou, et un soupir presque orgasmique sortit de sa bouche « - Enfin … quelqu'un qui me comprends »
« - Sherlock toi et moi, nous sommes pareil. Pourquoi perdait tu ton temps avec se stupide Docteur ? Nous pouvons accomplir de grandes choses ensemble ! » Son ton était roque, elle avait une irrésistible envie de le mettre a terre et de lui faire demander grâce pour tout ce qu'il lui a fait subir.
« - Je sais. Serais tu jalouse ? Car depuis notre rencontre je n'ai eu qu'une obsession, transpercer ton mystère, pourquoi ? Pourquoi je n'arrive pas à sonder le moindre indice sur ta personnalité, tes habitudes, normalement tout transparait, chez un être humain, ordinaire ! Mais tu n'es pas ordinaire, tu es … moi ! »
« - Je t'obsède donc à se point ? Alors pourquoi avoir attendu si longtemps pour revenir vers moi, et surtout pourquoi m'as tu humilier à se point ? Pour me faire souffrir ? Parce que ton amour fraternel et patriotique t'y a obligé peut être ? » il la plaqua contre le mur.
« - Parce que c'était un jeu, si tu as un besoin maladif de jouer sache, que moi non plus je n'en suis pas exempté, quand je me suis rendu compte que ce n'étais un jeu ni pour toi ni pour moi, j'ai du faire face à la nouvelle la plus effrayante à laquelle je n'ai jamais été confronter. Je me suis rendu compte que j'étais vulnérable, que j'avais maintenant un point faible, et il fallait que ce point faible, je le détruise, avant qu'il ne me détruise moi ! »
« - et ce point faible quel est il ? »
« - Le même que le tient, malheureusement nous sommes humain quoi que nous puissions dire, ou faire, peut de personnes sont capable de le remarquer puisque nous sommes des habilles dissimulateurs, cependant à mon grand regret je me suis aperçu qu'un cœur battait dans nos poitrines, et que le comble était, qu'ils battent a l'unisson. » Il avait dit tout cela de manière extrêmement rapide, dans l'espoir peut être qu'Irène ne comprenne pas, mais elle n'en avait pas raté une miette.
Encore bloquer entre le mur et Sherlock elle dit cette fois tendrement, puisque tout les deux était maintenant mis à nu, qu'il n'y avait plus de faux semblant
« - mon point faible c'est toi, alors nous avons le choix, nous détruire, ou nous unir. »
« - C'est bien cela qui m'effraie puisque j'ai pris la dangereuse décision de … d'avoir … des … sentiments »
Le mot été enfin lâché, il été la lancinant, pèsent attendant d'exploser au moment ou cela ferais le plus mal. Un mot, un seul et toute la délicatesse de situation était résumer, comment était il possible que deux être doté d'une intelligence surhumaine puisse être mis à terre pour une simple question de sentiments ?!
Irène et Sherlock semblait épuisés par le dilemme qu'il venaient de résoudre. Sans un mot Sherlock pris le baguage d'Irène puis le sien, la pris par la taille et avança d'un pas décidé. Il mit son manteau, couvera les épaules de La Femme d'une élégante capuche de fourrure. Et … il lui prit la main. Elle était prête, en toute connaissance de cause, à le suivre… partout !
Ils prirent le train jusqu'à Londres. Arriver là bas Irène posa la question qui lui brûler les lèvres.
« - Où vat on ? »
« -Je me demandais combien de temps tu tiendrais, un repas au Ritz, est ce que cela te conviendrais ? »
« - Oh mon Dieu nous allons en France ?! Paris ! Rien de très original mais c'est une valeur sur ! Monsieur Holmes vous avez un dont certain pour parvenir a vos fins avec le gente féminine ! »
« - Et vous un goût certain pour le luxe qui vous perdra Mlle. Adler ! »
2 heures plus tard le «couple» était installé confortablement et Sherlock, commander dans un français parfait, tous les plats préférés d'Irène.
« - Si comme tu le dit tu n'arrive pas à déduire la moindre chose de moi, comment se fait il que tu ai commandé exactement tous mes plats préférés ? »
« - tu as de merveilleux goût culinaire ma chère ! Et laisse moi te dire que nous avons apparemment les mêmes ! »
« - Et quand passons nous au dessert ? »
« - J'ai peur que tu sois déçu, après tout ce temps… »
« - Mais l'attente ne rendra que plus intense la joie de la découverte. Déçu ? de toi … mmh non» dit elle en faisant lentement remonter son pied le long de sa jambe puis entre ses jambe. « mais surprise, oui ! »
