Je sais, je suis impossible! J'écris déjà 3 fictions en même temps
(totalement Serpentard – La toile du temps – Marée noire) et bientôt plus
puisque la suite de la vengeance du chien noir va bientôt arriver (Yahoo
^^) et j'arrive à peine à me débrouiller et à publier régulièrement, mais
quand j'ai des idées pour de nouvelles histoires, j'hésite pas et je fonce!
Donc voilà une nouvelle histoire... j'espère que vous aimerez et que je recevrai beaucoup de review! Je sais que l'idée n'est pas des plus originale, mais je tenais à faire une histoire comme ça! Bref, laissez moi vos commentaires, j'accepte les critiques sans problèmes du moment qu'on explique pourquoi!
Bonne lecture ^^
u b Prologue /b /u
Harry fixait en silence le mur blanc qui se trouvait à dix centimètres de sa tête. L'adolescent était couché sur son lit depuis deux bonnes heures, en silence, ne faisant que regarder le mur vide, plongé dans ses pensées.
Au rez-de-chaussée, les Dursley mangeaient. Harry ne les avait pas rejoint, ce qui était devenu une habitude depuis quelques temps. Il ne mangeait quasiment pas, et lorsqu'il mangeait c'était deux bouchées avant de s'interrompre, pris de nausées.
Il avait maigri, les vêtements déjà larges de Dudley ressemblaient à présent des parachutes dans lesquels Harry se serait roulé. Il n'en avait d'ailleurs pas changé depuis quelques temps. Pétunia aurait bien fait une remarque, mais Harry ne quittait que très rarement sa chambre, et lorsqu'il en sortait il faisait tout pour ne pas être vu.
Jamais les Dursleys n'avaient cherché à saisir le pourquoi du comment de son comportement, au plus grand soulagement de Harry qui se voyait mal expliqué la mort de son parrain... S'il y avait bien une chose dont il ne voulait pas parler, c'était cela... et pourtant, les images maudites de sa mort tournaient constamment dans l'esprit du jeune garçon, le souvenir de l'homme qui fut son parrain revenants sans cesse à la charge, ne lui laissant que peu de répit.
Harry cligna des yeux plusieurs fois, ceux-ci lui faisant mal, avant d'entendre un léger bruit à la fenêtre. Il se retourna péniblement et y jeta un coup d'œil, pour y voir Hedwige.
La chouette était restée longtemps au Square Grimmaud sous l'ordre de son maître qui voulait être au calme, chose impossible avec un animal dans sa chambre. Remus lui avait tout d'abord envoyé une lettre en demandant pourquoi, avant de renoncer face au silence de l'adolescent.
Harry se leva et ouvrit à sa chouette qui lui tendit la patte calmement. Le survivant en détacha le parchemin et se mit à le lire, ses yeux scrutant chaque mot comme s'il avait du mal à lire, ce qui n'était pas loin de la vérité. Lorsqu'il eut fini de lire la lettre, il fut pris d'étourdissements et s'assit sur le lit, laissant tomber la lettre.
- Je... ne veux... pas, dit-il en se tenant la tête, faiblement.
Il semblait bien trop faible pour tenir, même en position assise. Il y avait si longtemps qu'il n'avait pas eu un repas normal et qu'il était resté couché que le fait de se mettre debout le vidait de toute énergie. Pourtant, il lui fallait réagir.
En lui-même, Harry avait pris sa décision... il devait prendre des forces, et rapidement. Il lui restait une semaine pour reprendre une apparence correcte, et cela commençait à l'instant.
Le jeune homme se leva alors, cherchant péniblement à rester debout, avant de se diriger lentement vers l'armoire où il prit des vêtements, et vers porte qu'il ouvrit. Il traversa lentement le couloir tandis qu'il entendait sa tante, son oncle et son cousin finir de manger. Il entra dans la salle de bains et commença à y faire couler de l'eau chaude tout en se déshabillant.
****
Lorsque Harry ressortit de la salle de bains, il portait des vêtements propres, s'était coupé les cheveux et rasé le duvet blond qui commençait à pousser sur son menton. L'eau chaude avait réveillé ses membres endoloris et lui avait redonné assez d'énergie pour qu'il puisse tenir les quelques heures qu'il restait avant de se coucher.
Sachant tout à fait que son oncle et sa tante ne lui permettraient pas de manger plus tard qu'eux, Harry retourna à sa chambre et sortit de dessous le parquet une part de gâteau des Weasley. Il mangea lentement, se forçant même à ne pas reposer le bout, et but un peu d'eau dans la bouteille qui se trouvait à côté de son lit.
Puis, il s'installa à son bureau et, après avoir ramassé le parchemin qu'il avait reçu, il le retourna et inscrivit une courte réponse au dos, avant de l'attacher à la patte d'Hedwige qui s'envola par la fenêtre.
****
La semaine s'écoula bien trop rapidement au goût de Harry qui se forçaient à manger pour avoir assez d'énergie. Lorsque le dernier jour vint, il avait repris un air normal mais était toujours aussi maigres, sa famille ne le laissant pas manger assez pour être repu.
Le matin du 26 juillet, Harry se leva tôt pour faire son sac. La lettre d'Hermione avait été brève mais rassurante, et celle-ci passait en boucle dans la tête du Survivant.
Nous viendrons te chercher à 11h, tiens toi prêt... Marmonna le garçon aux lunettes tout en jetant ses capes dans son sac.
Il prit également les quelques vêtements moldus qu'il possédait, des anciens de Dudley, bien trop large et encore plus ces derniers temps. Tout passait, objets moldus comme sorciers, et il fourrait le tout rapidement dans son sac, sans prendre le temps de ranger précautionneusement.
Lorsqu'il fut dix heures et demi, Harry descendit avec sa valise et alla dans le salon où se trouvaient son oncle et sa tante.
Oncle Vernon, des sorciers passent me prendre dans quelques minutes dehors... Je vais déjà devant la maison pour qu'ils ne vous dérangent pas... A l'année prochaine !
Après que son oncle lui ai jeté un regard meurtrier, et que sa tante ait pali à la mention de sorciers, il sortit de la pièce et ouvrit la porte d'entrée silencieusement. Après avoir regardé de tous les côtés, le jeune homme sortit et referma la porte derrière lui.
****
Vernon Dursley grogna lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit. Il se leva sous le regard de sa femme et alla ouvrir, pensant récupérer le courrier.
Mais l'homme qui se tenait l'instant d'après devant lui le fit sursauter et reculer brusquement. Ce dernier lui sourit et entra.
Bonjour, vous devez me reconnaître, je suis Remus Lupin. Je viens chercher Harry, vous pouvez l'appeler ?
****
hi hi je suis sadique, c'est sûr... j'espère que vous aimez le début de cette nouvelle fiction que je lance... laissez moi des reviews pour me donner votre avis, ça m'est précieux ! merci d'avance à tous ceux qui le feront, et joyeuses Pâques à tous !
Siria, la fille de l'ombre...
Donc voilà une nouvelle histoire... j'espère que vous aimerez et que je recevrai beaucoup de review! Je sais que l'idée n'est pas des plus originale, mais je tenais à faire une histoire comme ça! Bref, laissez moi vos commentaires, j'accepte les critiques sans problèmes du moment qu'on explique pourquoi!
Bonne lecture ^^
u b Prologue /b /u
Harry fixait en silence le mur blanc qui se trouvait à dix centimètres de sa tête. L'adolescent était couché sur son lit depuis deux bonnes heures, en silence, ne faisant que regarder le mur vide, plongé dans ses pensées.
Au rez-de-chaussée, les Dursley mangeaient. Harry ne les avait pas rejoint, ce qui était devenu une habitude depuis quelques temps. Il ne mangeait quasiment pas, et lorsqu'il mangeait c'était deux bouchées avant de s'interrompre, pris de nausées.
Il avait maigri, les vêtements déjà larges de Dudley ressemblaient à présent des parachutes dans lesquels Harry se serait roulé. Il n'en avait d'ailleurs pas changé depuis quelques temps. Pétunia aurait bien fait une remarque, mais Harry ne quittait que très rarement sa chambre, et lorsqu'il en sortait il faisait tout pour ne pas être vu.
Jamais les Dursleys n'avaient cherché à saisir le pourquoi du comment de son comportement, au plus grand soulagement de Harry qui se voyait mal expliqué la mort de son parrain... S'il y avait bien une chose dont il ne voulait pas parler, c'était cela... et pourtant, les images maudites de sa mort tournaient constamment dans l'esprit du jeune garçon, le souvenir de l'homme qui fut son parrain revenants sans cesse à la charge, ne lui laissant que peu de répit.
Harry cligna des yeux plusieurs fois, ceux-ci lui faisant mal, avant d'entendre un léger bruit à la fenêtre. Il se retourna péniblement et y jeta un coup d'œil, pour y voir Hedwige.
La chouette était restée longtemps au Square Grimmaud sous l'ordre de son maître qui voulait être au calme, chose impossible avec un animal dans sa chambre. Remus lui avait tout d'abord envoyé une lettre en demandant pourquoi, avant de renoncer face au silence de l'adolescent.
Harry se leva et ouvrit à sa chouette qui lui tendit la patte calmement. Le survivant en détacha le parchemin et se mit à le lire, ses yeux scrutant chaque mot comme s'il avait du mal à lire, ce qui n'était pas loin de la vérité. Lorsqu'il eut fini de lire la lettre, il fut pris d'étourdissements et s'assit sur le lit, laissant tomber la lettre.
- Je... ne veux... pas, dit-il en se tenant la tête, faiblement.
Il semblait bien trop faible pour tenir, même en position assise. Il y avait si longtemps qu'il n'avait pas eu un repas normal et qu'il était resté couché que le fait de se mettre debout le vidait de toute énergie. Pourtant, il lui fallait réagir.
En lui-même, Harry avait pris sa décision... il devait prendre des forces, et rapidement. Il lui restait une semaine pour reprendre une apparence correcte, et cela commençait à l'instant.
Le jeune homme se leva alors, cherchant péniblement à rester debout, avant de se diriger lentement vers l'armoire où il prit des vêtements, et vers porte qu'il ouvrit. Il traversa lentement le couloir tandis qu'il entendait sa tante, son oncle et son cousin finir de manger. Il entra dans la salle de bains et commença à y faire couler de l'eau chaude tout en se déshabillant.
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Lorsque Harry ressortit de la salle de bains, il portait des vêtements propres, s'était coupé les cheveux et rasé le duvet blond qui commençait à pousser sur son menton. L'eau chaude avait réveillé ses membres endoloris et lui avait redonné assez d'énergie pour qu'il puisse tenir les quelques heures qu'il restait avant de se coucher.
Sachant tout à fait que son oncle et sa tante ne lui permettraient pas de manger plus tard qu'eux, Harry retourna à sa chambre et sortit de dessous le parquet une part de gâteau des Weasley. Il mangea lentement, se forçant même à ne pas reposer le bout, et but un peu d'eau dans la bouteille qui se trouvait à côté de son lit.
Puis, il s'installa à son bureau et, après avoir ramassé le parchemin qu'il avait reçu, il le retourna et inscrivit une courte réponse au dos, avant de l'attacher à la patte d'Hedwige qui s'envola par la fenêtre.
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La semaine s'écoula bien trop rapidement au goût de Harry qui se forçaient à manger pour avoir assez d'énergie. Lorsque le dernier jour vint, il avait repris un air normal mais était toujours aussi maigres, sa famille ne le laissant pas manger assez pour être repu.
Le matin du 26 juillet, Harry se leva tôt pour faire son sac. La lettre d'Hermione avait été brève mais rassurante, et celle-ci passait en boucle dans la tête du Survivant.
Nous viendrons te chercher à 11h, tiens toi prêt... Marmonna le garçon aux lunettes tout en jetant ses capes dans son sac.
Il prit également les quelques vêtements moldus qu'il possédait, des anciens de Dudley, bien trop large et encore plus ces derniers temps. Tout passait, objets moldus comme sorciers, et il fourrait le tout rapidement dans son sac, sans prendre le temps de ranger précautionneusement.
Lorsqu'il fut dix heures et demi, Harry descendit avec sa valise et alla dans le salon où se trouvaient son oncle et sa tante.
Oncle Vernon, des sorciers passent me prendre dans quelques minutes dehors... Je vais déjà devant la maison pour qu'ils ne vous dérangent pas... A l'année prochaine !
Après que son oncle lui ai jeté un regard meurtrier, et que sa tante ait pali à la mention de sorciers, il sortit de la pièce et ouvrit la porte d'entrée silencieusement. Après avoir regardé de tous les côtés, le jeune homme sortit et referma la porte derrière lui.
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Vernon Dursley grogna lorsque la sonnette de la porte d'entrée retentit. Il se leva sous le regard de sa femme et alla ouvrir, pensant récupérer le courrier.
Mais l'homme qui se tenait l'instant d'après devant lui le fit sursauter et reculer brusquement. Ce dernier lui sourit et entra.
Bonjour, vous devez me reconnaître, je suis Remus Lupin. Je viens chercher Harry, vous pouvez l'appeler ?
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hi hi je suis sadique, c'est sûr... j'espère que vous aimez le début de cette nouvelle fiction que je lance... laissez moi des reviews pour me donner votre avis, ça m'est précieux ! merci d'avance à tous ceux qui le feront, et joyeuses Pâques à tous !
Siria, la fille de l'ombre...