Mini-fanfiction née d'un très gros délire, avec un pairing à ne pas mettre entre toutes les mains.

Nous étions lors d'un bel après-midi d'été, dans la dixième division de l'armée de la cour. Plus précisément, dans le bureau commun au Capitaine et à sa Lieutenante, lieu dans lequel régnait actuellement le calme le plus absolu, signe que Matsumoto n'était pas présente.

Hitsugaya Toshiro était à son bureau, occupé à remplir les nombreux formulaires que sa subordonnée avait –encore- oublié de compléter. Depuis le temps, il avait arrêté de maugréer et s'était habitué à régler les choses les plus importantes à sa place. Même, il avait abandonné l'idée de changer de lieutenant, et parallèlement, celle de sortir prendre l'air aujourd'hui.

Concentré comme il l'était, il ne remarqua pas la porte qui s'ouvrait, ni la personne entrant dans le bureau. C'est une voix malicieuse qui attira son attention :

— J'ai vu Matsumoto-san au bar avec ses amis, alors… J'ai pensé que tu aurais peut-être du temps à me consacrer.

— Tu vois bien que je travaille, répondit le Capitaine, en tentant de retenir un sourire.

— C'est exact. Cependant…

Une main étrangère vint enlever le pinceau que tenait celle de Toshiro.

— Je te propose des activités beaucoup plus amusantes que celle-ci. Alors, qu'en dis-tu… Shiro-chan ?

Cédant à la tentation, mais n'accordant pas à son interlocuteur le plaisir de le voir de réagir au surnom, le Capitaine rangea ses papiers pour plus tard, tandis que son visiteur le rejoignait de l'autre côté du bureau.

— Entre toi et elle, jamais cette paperasse ne se remplira, soupira-t-il, faussement découragé. Est-ce que… Personne ne t'a suivi, tu en es sûr, Mayuri-chan ?

Ce fût au tour du scientifique de rire. Deux mois déjà, que durait cette petite comédie. Et dire que Rangiku s'était mis en tête de lui trouver une petite amie, sans se douter qu'il avait trouvé chaussure à son pied… Ailleurs.

Après l'avoir une énième fois rassuré, il embrassa le Capitaine prodige.

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Quelque part en France, une auteur de fanfiction se réveilla en hurlant de toute la force de ses poumons. Elle cligna plusieurs fois des yeux, pour se convaincre de la disparition de ces images mentales cauchemardesques. Finalement, elle se recoucha en maudissant sa correctrice et ses idées plus que tordues…

Une dédicace à Naemir, qui est dans mes favoris, et qui est aussi celle qui se réveille en hurlant (elle a réellement hurlé à la lecture), allez lire ses fic's à elle, elles sont mieux (Et puis c'est moi qui les corrige ^^) ! Je ne dis pas non à d'éventuels commentaires, même pour m'incendier.