La Fontaine
Auteur : Lenvy.
Titre : La Fontaine. Chapitre 1.
Genre : Policier / Univers Alternatif.
Disclaimer : All belongs to Masashi Kishimoto, I've borrowed his characters, the time of a murder. I'll give them all back, I promise ).
Les poèmes La Fontaine de sang et Le Revenant appartiennent au génial Baudelaire, j'espère que vous auriez reconnu son style inimitable tout de même ;).
Rating : T, pas de quoi s'alarmer mais il risque d'y avoir des allusions dans les prochains chapitres à une certaine perversité qui pourrait choquer. Attention quand je parle de perversité, j'en parle au sens psychiatrique du terme ! Souvent, pour des pathologies névrotiques, il y a le sens populaire et le sens psychiatrique de la dénomination. Au sens populaire, la perversité est d'avoir toutes ses pensées tournées vers la chose. Au sens psychiatre, la perversité est le fait de considérer autrui comme un objet dénué de sentiments et émotions humaines. Le sadisme est donc un aspect de la perversité puisqu'il est possible à l'individu qui en souffre de faire du mal à autrui sans se laisser affecter par sa douleur, puisqu'il la nie. La perversité s'oppose donc à l'empathie.
Fait en écoutant : Gregorian - Blasphemous Rumors / Origine OST - With Reflection.
Note : Le problème de l'univers alternatif, c'est toujours l'évaluation de sa marge de liberté. Jusqu'où peut-on aller avec des personnages crées par autrui, qui s'épanouissent dans un monde qui leur est bien spécifique ? La transposition ne se fera jamais sans pertes et fracas...En espérant plus de pertes que de fracas s Attention dans cette fiction les personnages ont atteint l'âge adulte (histoire de prendre encore plus de risques d'en faire une transmutation monstrueuse --') L'action se passe à Londres, (oui je sais, les noms japonais jurent terriblement avec l'environnement très british FF) dans une époque légèrement postérieure à la nôtre, sans faire dans le futuriste. Bon j'arrête de vous prendre la tête et je m'éclipse, dans l'exclamation de soulagement général de l'assemblée --'. Bonne lecture.
La Fontaine...
Une aube blafarde se levait, déployant ses ailes de lumière délavée dans un ciel encore obscur. Au loin se dressait le London Eye(1), émergeant au-dessus des toits gris, sentinelle secrète aux yeux de métal ; la seule chose qui venait troubler le sommeil de la ville était le clapotis régulier de la Tamise contre la berge. Sur le rivage bétonné, des silhouettes sombres s'activaient en silence, suivant le ballet uniforme de la procédure policière. Détonnant au milieu des teintes obscures, une tâche d'un vert éclatant se tenait un peu à l'écart du groupe et contemplait la scène, attendant qu'on veuille bien venir s'occuper d'elle. Plus loin, un homme, les genoux pliés, semblait examiner une masse informe qui gisait au sol.
La paume ouverte suivit le cours d'une mèche noire et lisse, pour finalement l'emprisonner avec douceur dans un étau pâle. Sasuke resta un instant ainsi, accroupi au-dessus du corps, un ruisseau d'ébène à la main, à scruter les pupilles étrangement fendues qui fixaient aveuglément le ciel. Il soupira et relâcha sa prise qui, dans un mouvement gracieux retomba auprès d'une oreille délicatement dessinée. La dépouille sans vie, le dos contre le trottoir froid, semblait contempler une voûte céleste encore vierge de tout nuage, l'ombre d'un sourire fané sur les lèvres. L'homme, même mort, conservait un air malsain qui lui donnait envie de se détourner pour ne plus voir ce visage qui semblait le narguer. Si les pointes de ses cheveux n'avaient pas été imbibées de sang, on aurait pu croire qu'il admirait les dernières étoiles qui se frayaient un chemin jusqu'à la demi-lune. Suivant son regard figé, l'inspecteur admira un moment les astres qui se dissolvaient dans un ciel éclairci, pour ensuite ramener son attention sur le cadavre.
« Tu dois bien te marrer là-haut toi » murmura-t-il.
Seul le silence assourdissant de la cité endormie lui répondit, avec en arrière-plan le bruit de l'eau qui s'écoule comme pointe de sarcasme. Il se réfugia derrière son col, dans la chaleur protectrice de son manteau noir, livrant ses exhalaisons au froid mordant d'un printemps naissant. Se détachant du visage de la victime, il étudia le reste de son corps. Une plaie béante venait fissurer l'abdomen droit, et les mains, doigts desserrés et paumes vers le ciel, étendues sur le sol, semblaient vouloir empoigner le vide. Le cours des pensées de Sasuke fut interrompu par un policier qui s'immobilisa de l'autre côté du corps, en attente des ordres de son supérieur.
« Agent ? demanda-t-il en guise de salutation.
- Shiranui Genma, à vos ordres inspecteur. »
Il se leva pour faire face au policier. Entendre tant de déférence de la part d'un homme plus âgé que lui était toujours aussi incommodant, tant pour lui que pour les autres, qui avaient parfois un peu de mal à accepter que quelqu'un d'aussi jeune ait progressé si vite dans la hiérarchie, tout prodige qu'il soit. Mais l'agent attendait ses directives d'un air amical, mâchonnant ce qui ressemblait vaguement à un brin de bois acéré.
« Bien, vous enverrez le corps à Aburame Shino, c'est le médecin-légiste assigné à ma section. Dans le courant de la journée, lorsqu'il y aura un peu plus de lumière, une équipe de plongeurs devra être dépêchée ici, dans le but de vérifier si l'arme du crime n'a pas été jetée à l'eau. Une autre équipe ira aussi interroger les habitations avoisinantes, peut-être pourront nous recueillir un quelconque témoignage. »
Il fit une pause, et l'autre acquiesça d'un bref signe de tête pour montrer qu'il avait compris. Tous deux savaient que ces délégations risquaient de rentrer bredouilles, mais, songeait Genma, le moindre indice serait le bienvenu. Pour l'instant il n'y avait ni arme ni témoin, rien pour débuter une enquête. Sasuke quant à lui pensait que s'il ne trouvaient rien l'affaire serait vite classée. Il reprit.
« On a pu tirer quelque chose de celui qui a découvert le corps ?
- Non, pas grand-chose, il s'appelle Rock Lee. »
Genma désigna d'un mouvement de menton l'homme qui se tenait à l'écart, habillé d'une étrange combinaison verte émeraude.
« Quel est le topo ?
- Alors, commença l'agent en sortant un carnet de sa poche, il dit être karatéka(2) de profession, on vérifiera quand il passera faire sa déposition. Il est d'origine japonaise, et habite à Greenwich. Il aurait trouvé le corps alors qu'il se dirigeait vers Hyde Park(3) en longeant le canal.
- Hyde Park ? Pourtant, Grove Park est plus près de chez lui, pourquoi faire tout ce chemin ?
- Je sais, je lui ai posé la question, il m'a dit que c'était pour faire son jogging matinal.
- Hyde Park est mieux ? s'étonna Sasuke.
- Pour courir oui, il y a toute une aire pour ça, vous ne connaissez pas Hyde Park inspecteur ?
- Non, je n'aime pas trop fréquenter les espaces surpeuplés, répondit-il en haussant élégamment les épaules.
- En tout cas ça se tient, il dit n'avoir touché à rien et avoir appelé la police tout de suite après avoir vu la blessure, ajouta Genma, ses yeux parcourant ses notes.
- Vous vérifierez les informations et creuserez un peu ses antécédents, au cas où, mais je crains qu'il ne faille pas en attendre beaucoup. On passe aux papiers que vous avez recueillis sur le cadavre.
- Aucun papier d'identification, ni argent, rien, juste deux feuilles de papier que voici. »
L'agent sortit les papiers mis sous scellé, Sasuke les saisit avec curiosité, le premier papier était un post-it jauni sur lequel on avait griffonné quelques mots, l'autre était une feuille sur laquelle on avait visiblement inscrit plus de choses.
« Wah, alors même Scotland Yard est sur le coup ?
L'arrivée bruyante d'un énergumène peu discret remit à plus tard son introspection, et il se tourna vers le nouveau venu en glissant les pièces à conviction dans une poche intérieure de son manteau. Il s'agissait d'un jeune homme aux cheveux blonds et aux grands yeux bleus qui s'écarquillaient en observant les différents groupes de police s'affairer autour de lui. Nonchalant, il conservait ses mains les poches d'une veste élimée, dont la couleur originale devait être cobalt mais qui tirait aujourd'hui vers un indigo fade et informe. Son visage souriant était marqué par d'étranges empreintes qui ressemblaient à de fines moustaches et une légère barbe de quelques jours venait consteller ses joues et son menton. Son regard balaya l'endroit, et vint s'arrêter avec un air amusé sur Sasuke.
- Monsieur, vous n'avez rien à faire ici, quittez la berge immédiatement, l'interpella froidement celui-ci.
- Oh, Uchiha, t'excites pas comme ça mon vieux, moi aussi elle m'intéresse cette affaire. »
Sasuke se raidit, il n'aimait pas que de parfaits inconnus l'abordent en connaissant son identité alors qu'il ignorait tout de la leur, ça le mettait dans une position de faiblesse. Un peu déstabilisé, il tenta de prendre le contrôle de la conversation pour en apprendre plus. Toujours être dans la condition de celui qui pose les questions, pas l'inverse.
« Et vous êtes ?
- Uzumaki Naruto, répondit-il avec un grand sourire, détective privé. C'est toi l'inspecteur chargé de cette affaire ?
- Je ne me souviens pas vous avoir donné la permission de me tutoyer.
- Je ne crois pas en avoir besoin, Sasuke. »
Ils restèrent un instant à se défier en silence, le premier sur ses gardes, l'autre avec une lueur amusée dans le regard. L'inspecteur expira lentement, tentant de prendre un air impassible et détaché, alors que cet abruti venait sans aucun tact empiéter sur son territoire d'investigation en s'adressant à lui comme s'ils étaient deux bons amis. Il n'aimait pas la familiarité, et il était temps de remettre l'intrus à sa place.
« Privé hein ? Je ne vois toujours pas ce que vous faites ici.
- On va dire que cette affaire est plus ou moins liée à mon enquête actuelle, dit-il sur d'un ton vague.
- Il va falloir me donner plus de détails pour justifier votre présence ici. Et puis-je savoir comment me connaissez-vous ?
- Kakashi m'avait déjà parlé du brillant Uchiha, l'espoir du Yard, mais je ne savais pas que tu avais été promu inspecteur, félicitations. »
Il ne répondit pas, réfléchissant. Alors comme ça il connaissait personnellement son supérieur, le chef de Scotland Yard, Hatake Kakashi. Son regard erra un peu sur le personnage qui se tenait en face de lui, s'attardant sur les marques faciales. Ses vêtements étaient assez miteux, et il ne ressemblait pas du tout à un enquêteur, privé ou pas. Et pourtant -les yeux de Sasuke remontèrent, passant de la veste râpée aux iris bleutés- on pouvait lire dans son regard l'intérêt éveillé et l'attention observatrice que possédaient ceux pour qui la pratique de l'investigation était familière. Il soupira, la venue d'un limier indépendant risquait de compliquer les choses, mais autant essayer de tirer profit de la situation.
« Vous ne m'avez toujours pas dit ce que vous êtes venu faire ici.
- Disons que j'ai été engagé… par quelqu'un qui semblait savoir que ce meurtre allait se produire, dit-il d'un air gêné, jetant un œil à la flaque grenat derrière Sasuke.
L'inspecteur en resta stupéfait, bordel, qu'est-ce que tout ceci signifiait ? Genma, resté discrètement à proximité, sursauta, puis esquissa un sourire, l'enquête prenait un tour vraiment intéressant. Sasuke, lui, semblait complètement déconcerté.
- Je ne vous crois pas, répondit-il sur un ton sourd, et d'ailleurs, qui est cette personne ?
- Alors ça… j'aimerais bien le savoir, héhé.
Le délégué du Yard fixa d'un air furieux le détective qui se grattait l'arrière du crâne d'un air embarrassé, ricanant bêtement.
- Vous voulez dire que vous avez accepté une enquête sur un homicide à venir de quelqu'un dont vous ignorez l'identité ?
- Oh ça va, les temps sont durs et c'était bien rémunéré, j'ai juste reçu quelques appels anonymes et un gros chèque dans ma boîte aux lettres.
- Et quels étaient les détails de l'affaire ?
- Ca… Je te le dirai pas. »
Naruto tira la langue à un Sasuke consterné. Bon sang, qu'est-ce qui le retenait de frapper cet imbécile ?
- Ou alors contre quelques informations et un bon café noir, celui du Yard est délicieux, ajouta le privé.
- Hors de question.
- Bon, et bien tu ne sauras rien, tant pis.
L'inspecteur poussa un juron. La perspective d'avoir à endurer la présence du blond au Q.G en plus d'avoir à partager ses informations ET son café ne l'enchantait pas vraiment. Mais d'un autre côté, il devait absolument connaître l'identité de cette personne qui possédait des données lui donnant à penser qu'un assassinat allait arriver.
- C'est d'accord, répondit-il en soupirant. Quelles informations ?
L'autre le regarda d'un air ravi et un sourire vainqueur naquit sur ses lèvres, ce qui irrita profondément Sasuke qui avait la désagréable impression que non seulement la situation lui échappait complètement, mais qu'en plus c'était l'autre abruti qui menait la danse.
- Génial, je sens qu'on va faire une super équipe tous les deux.
- Oh, t'emballes pas Uzumaki, j'ai jamais dit que je travaillerai avec toi !
- Tu vois ? Tu commences déjà à me tutoyer.
L'Uchiha se tourna vers le fleuve en grommelant un vague 'fais chier' puis ferma les yeux pour essayer de retrouver son calme. Ce qu'il pouvait lui taper sur les nerfs, l'autre là ! Il décida d'en revenir aux négociations, histoire d'en finir au plus vite.
- Je répète, quelles informations ?
- Les feuilles de papier dans ton manteau, j'aimerais les consulter avec toi.
Il le regarda, surpris. Alors il avait vu les feuilles ? D'ailleurs, elles lui étaient temporairement sorties de la tête. Enfilant ses gants noirs, il défit avec précaution les scellés, sortit la première feuille et la déplia. Il lut à haute voix.
« 26, Brixton Road.
- Oh…Ca se situe dans un quartier assez démuni de Londres, non ?
- Oui, c'est ça. Le papier est ancien, la victime aura sûrement écrit cette adresse pour retrouver quelqu'un il y a quelques temps et aura oublié que le post-it était dans sa poche. On va commencer par là… Pourquoi souriez-vous ?
- Les appels de la personne qui m'a chargé de l'enquête, ils provenaient d'une cabine de ce secteur.
Ils se regardèrent en silence, considérant l'importance de cette information. Avec ça, il leur serait facile de retracer cet individu, et, par la même occasion en apprendre plus sur la victime.
- Bon, on passe à la deuxième feuille ? demanda Naruto, impatient.
- Hum.
Le ton de Sasuke s'était quelque peu adouci. Peut-être que l'aide de l'autre excité lui serait précieuse, finalement. Il fallait absolument retrouver la personne qui avait prévu le crime, et vite. Avec délicatesse, il replaça le petit rectangle de papier dans un nouveau scellé, puis se saisit du deuxième document, qu'il lut aussi à haute voix.
- «Il me semble parfois que mon sang coule à flots,
Ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots.
Je l'entends bien qui coule avec un long murmure,
Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure. »
- Hein ?
- Attends, il y a une note.
Naruto ne lui fit pas remarquer qu'il venait de le tutoyer pour la deuxième fois, trop occupé à se concentrer sur la phrase que Sasuke lisait.
- «Tu ne reviendras pas de ton sang empoisonné, ton règne d'effroi est terminé. »
- Qu'est-ce que ça signifie ?
- C'est simple, je crois que l'assassin vient de signer son forfait.
Un silence suivit ses paroles, Naruto réfléchissait intensément, alors que Sasuke se sentait totalement désemparé. Alors qu'il pensait qu'il bouclerait cette affaire rapidement, faute d'indices, des informations qu'il n'avait pas anticipées lui tombaient dessus, et, parallèlement, un autre investigateur venait s'incruster dans son enquête. Les choses risquaient d'être plus compliquées qu'il ne l'avait cru. Et ces vers, cette note, faisaient douloureusement écho à des mots qu'il ne connaissaient que trop bien.
- Ces vers, je les connais.
- Ah ? fit Naruto en relevant la tête, attentif aux paroles de l'inspecteur.
- Oui, ils sont extraits de La Fontaine de Sang, un poème de Baudelaire.
- Baudelaire ? Ca me dit quelque chose…
- Un poète français, très célèbre, un des plus grands génies de son siècle. Mon frère…aimait beaucoup ses poèmes, ajouta-t-il après un temps.
- Ah, oui, je me souviens maintenant, « Les Fleurs du Mal » c'est ça ?
- Oui, et je pense que la note fait référence à un autre poème, de Baudelaire aussi.
Naruto se redressa, alerte, attendant avec empressement que Sasuke poursuive, alors que celui-ci avait fermé les yeux, tentant de se remémorer ces phrases que scandait si souvent Itachi. Puis, les paupières toujours closes, il récita le poème de mémoire.
- «Comme les anges à l'œil fauve,
Je reviendrai dans ton alcôve
Et vers toi glisserai sans bruit
Avec les ombres de la nuit,
Et je te donnerai,
Des baisers froids comme la lune
Et des caresses de serpent
Autour d'une fosse rampant.
Quand viendra le matin livide,
Tu trouveras ma place vide,
Où jusqu'au soir il fera froid.
Comme d'autres par la tendresse,
Sur ta vie et sur ta jeunesse,
Moi, je veux régner par l'effroi. »
Naruto conserva le silence, impressionné, pendant que l'Uchiha rouvrait doucement les yeux, quittant le monde un instant retrouvé de ses souvenirs.
- Je crois qu'il s'agit du poème « Le Revenant », murmura-t-il.
- C'est beau, mais morbide. Adapté à la situation hein ?
- Qu'en penses-tu ? demanda Sasuke.
- Moi, rien. J'y réfléchirai après.
- Après quoi ?
- Tu m'avais pas promis un café ? »
\Fin du Chapitre 1/
(1) La célèbre grande roue, qui offre un panorama imprenable sur la ville à plus de 135 mètres, aussi connue sous le nom de Millennium Wheel, la grande roue du millénaire. Pour la petite histoire, il paraîtrait que le surnom d'œil de Londres aurait été donné par les aviateurs qui voient nettement la roue poindre au-dessus des bâtiments en passant à proximité de Londres, notamment lorsqu'ils atterrissent ou décollent des aéroports de London Heathrow ou de London Gatwick, situés dans la banlieue londonienne.
(2) Si j'ai bien compris, la karaté aurait été importé de Chine, de chez les moines Shaolin, pour être développé et perfectionné à Okinawa, île de l'archipel Ryūkyū, pour finalement s'implanter au Japon. J'ai choisi cet art martial et pas un autre, parce que je trouve qu'il correspond bien à notre resplendissant fauve de jade )
(3) Le plus grand parc du centre de Londres, faisait partie des huit parcs royaux de la ville, dans le quartier de Westminster, qui abrite aussi le Parlement et Scotland Yard.
Alors, cette transposition ? Réussie ? Consternante ? Fade ? Vous accrochez à l'enquête où vous n'y croyez pas une seule seconde ? En tout cas, merci d'avoir lu.
