Je me suis permis de publiée ce poème. J'ai effectuée quelques modification à l'oeuvre original.

Tout ce qui a été modifié est en gras.

Ce poème m'a vraiment touchée et j'ai eu l'idée de l'adapter à Bleach. Mais cela n'enlève en rien de sa force et de sa beauté.

Elle fut écrit en 1746 par le poète et satiriste Tobias SMOLETTE peu de temps après la bataille de Culloden. Il exprime la rage des Ecossais devant le traitement fait aux prisonniers Jacobites.

Bonne lecture !!!

Soul Socity infortuné !

Toi, dont l'énergie spirituelle rayonne

Les corps de tes valeureux fils

Jonchent ton sol ensanglantés

Tes toits jadis hospitaliers

Offraient leur abris aux combattants

Désormais vestiges fumants

Ils servent de hideux trophées

Ceux qui possèdent voient au loin

Tous leurs biens détruit par le guerre

Pensant à la chair de leur chair

Ils sont accablés de chagrin

Le Rugongaï où l'on meut de faim

Étaient leurs destin

Les cris des enfants en bas âge

Des femme violée, sont bien vain.

A quoi bon avoir en tout lieu,

Acquis, au fil de tant de siècle,

Une gloire, une renommée,

Qui brille encore de tous ses feux ?

Ton courages altier est brisé,

On le voit ployer sous le joug,

Les traîtres n'en venaient à bout

Rage et rancœur l'ont terrassés.

La muse agreste et les doux chant

N'empliront plus nos jours de joie.

Finis les rires d'autrefois.

Les charmantes veillées d'antan;

Il est chant que chant de peine,

Alternés de pleurs éperdu.

Et les mânes des disparus

Hantent la nuit, nos mornes pleines.

Cause funeste et jour fatal,

Maudit à jamais, d'âge en âge !

Où s'affrontaient même lignages

Le fils du père était rival.

Lorsque la lutte nous cessâmes

Il en fallait plus au vainqueur

Le vaincu connaîtrait l'horreur

Du feu ardent et de sa lame.

La mère, en cet instant ultime

Erre éperdue parmi les ruines

Le vent souffle sur leurs pauvres visages

Ses pauvres enfants crient famines

Privée d'amis, de pain, d'abri.

Et, gisant sous le ciel de bruine,

Meurt, en pleurant ses chers petit.

Tant que le sang coule en mes veines

Que ma mémoire n'obéit

L'outrage fait à ma patrie

Emplit mon coeur filiale de haine

Face à l'adversaire acharné

Mon chant clame ma sympathie

Toi, dont l'énergie spirituelle rayonne

Soul Socity infortuné !

J'espère que cela vous a plu !