Coucou tout le monde!
je suis fier de vous présenter ma toute premiere fic yaoi !
Pour ceux qui avais deja lus ce chapitre, oui j'ai fait des modification mais j'espere que vous l'aimerez toujours
L'inspiration n'est pas de moi, mais d'une fanfic sur Uta no Prince sama
Disclamer : Zoro, Sanji et Zeff sont a Eiichiro Oda, Maxime et les autres sont a moi
Rating : M, mais pas de lemon pour ce chapitre
Sur ce, bonne lecture ^^
Dans un royaume réputée pour sa cuisine inégalable et son immense et aride désert,juste à la frontière du royaume voisin, il y avais deux peuples en guerre. Un des deux roi, Zeff Aux Pieds Rouge, qui avait déjà pris possession d'une partie du territoire ennemie, décida que c'en était assez et confia la défense des nouveaux territoire au chef de garde, pour pouvoir rentrer cher lui près de son fils, Sanji . Le retour du roi fut évidemment fêté au château, mais une fois la fête finie, Zeff appela son fils :
« - Qui a-t-il père ?
-Je vais bientôt mourir fils.
-Pardon ?!
-J'ai contracter une maladie sur le champs de bataille, et les blessures de guerres n'on rien arranger. Ecoute moi bien Sanji, tu as maintenant 21 ans, il est temps de prendre la relève.
-Père, non, j…
-Ne me coupe pas, p'tit cornichon ingrat ! J'ai une dernière chose a te demander : nous ne connaissons qu'une partie de ce désert, il nous faut maintenant, pour le royaume, le connaître entier et pouvoir y voyager en sécurité. Va voir les touareg* et créé un lien le fort possible avec l'un de ces princes du désert, il t apprendra a maîtriser n'importe quel désert et a t'en servir pour tes conquêtes
-Mais père, les Touareg sont des nomades, nous ne savons jamais où ils sont, et il rejettent totalement les grands royaumes, ce n'est pas pour rien que Touareg signifie « abandonné »**.
-Avant de dompter le desert, dompte son prince, fais donc cela mon fils, et tu deviendra un grand roi. »
Sanji envoya alors tous les messagers du royaume dans le désert pour ramener le dernier souhait du roi Zeff, mais tous revinrent seuls.
Une semaine après leur discutions, Zeff mourut et on organisa le couronnement du jeune prince, et tous les représentants des pays alliers arrivèrent avec de somptueux présents pour le nouveaux roi. Le vieux roi du pays ennemi aussi vint se présenter devant Sanji :
« -Roi Sanji, dit-il en s'inclinant, je viens aujourd'hui pour célébrer ton couronnement en t'offrant ces deux animaux de grande valeur : ce dromadaire fier comme le royaume que tu dirige maintenant, attraper il y a peu au beau milieu du désert. Cependant, je viens aussi te demander une requête : mes troupes sont épuiser et nos rations commences a manquer, c'est pourquoi je viens négocier avec toi un traiter de paix.
-Je ne vois qu'une bête ici, ne m'en avait tu pas promis deux de grandes valeurs ? Les dromadaires sont très chers par ici, et je doute que ta deuxième bête vaille plus encore. Faisons un marché, approche donc tes bêtes que je puisse juger, si ton dromadaire est aussi beau que tu me le dis et que ta deuxième bête est plus rare encore, je le prendrais comme un gage de ta sincérité et signerais le traiter.
-Ne t'en fais pas jeune roi, beaucoup t'environs tes présents, il fais partit de ses animaux sauvages convoité par beaucoup de royaume, et quoi de mieux pour un nouveau roi qu'un prince des terres arides
-M'aurais-tu offert un lion ?
-Malheureusement non jeune roi, je t'ai ramené le cavalier du dromadaire, un farouche prince du désert !
Le vieux roi ennemi avait prononcé fièrement ces derniers mots, les accompagnants d'un grand geste du bras, et trois soldats arrivèrent, tirant chacun une corde, l'une reliant à un grand dromadaire qui marchait paisiblement, les deux autres aux poignets liés d'un jeune homme qui se débattait. Il était tiré de force par les deux soldats, qui avais visiblement du mal a contenir la fougue du jeune et a l'empêcher de s'enfuir, mais ils le savaient, si l'un des deux avaient ne serait-ce qu'une seconde d'inattention, ils seraient totalement incapable de rattraper la tornade qui se déchaînait au bout des cordes. Sanji fus agréablement surpris, lui qui cherchait justement un de ces maîtres des sables, voilà qu'on lui en offrait un en guise d'animal de compagnie, et avec la monture seller qui plus est.
On arrêta le dromadaire à quelques mètres du trône de Sanji et on amena l'homme a peu près à la même hauteur. On pouvait voir que la bête avait encore sa selle, et plusieurs objets y étaient accrochés, et parmis eux, étaient accrocher plusieurs armes, dont trois sabres. Ladite tornade s'en saisit d'un et malgrés ses mains liées se rua en direction de Sanji, arme en main, prêt a tué. Les deux soldats qui tenaient les longes à ses poignets, bien que surpris, dégainèrent rapidement et s'interposèrent. Le premier se fit trancher facilement et se retrouva par terre se tordant de douleur, le deuxième arrêta l'arme durant quelques instant, se qui laissa le temps au général ennemis d'arriver, et alors que le deuxième soldats tombait comme le premier, le général mis toute sa force dans le coup de point qu'il envoya dans le ventre du rebelle. Le jeune prisonnier en eu le souffle couper, vacilla un peu et la prise sur son arme se relâcha légèrement, se fut largement suffisant pour que quatre autres soldats ennemis restés à coter de leur générales arrive à lui retirer son arme, le mettent a genoux et l'empêche de bouger.
Sanji éclata de rire et se tourna vers le vieux roi rester en retrait « Tu ne m'as pas mentis, cet animal sauvage est d'une rareté peu commune, peu ont assez de hargne pour s'attaquer à un roi les mains liés, tes hommes serons soigner pour ce spectacle qu'ils m'ont offerts »
Le blond alla tout de même observer de plus près son nouveau jouet, on lui dit qu'il n'avais que 19 ans, mais qu'il maîtrisait déjà parfaitement le désert, qu'il s'appelait Zoro et que c'était aussi un excellent guerrier comme il avait pus le constater, Sanji s'intéressât d'avantage encore au plus jeune.
Il était un peu plus petit que le nouveau roi et il portait un grand manteau ample en lin vert kaki, un T-shirt blanc, des bottes noires, un pantalon large marron terre et un chech tout aussi terre dont le voile était relever de manière a ce qu'uniquement les yeux soient visibles.***
On pouvait voir du plus jeune une peau balzanée, a l'odeur du sable et du soleil qui l'avaient vu grandir, et un œil aux couleurs d'une malachite verte**** qui le fixait, plein de haine, a la fois farouche et sauvage, lui promettant une mort lente et douloureuse si par malheur il arrivait a se libéré, l'autre étant scellé par une cicatrice, prouvant a tous que malgré son jeune age il restait dangereux
Sanji était fasciné par le prisonnier : il voulait pouvoir sentir cette odeur si enivrante, voir ce corps encore garder secret, toucher cette peau si attirante,comprendre l'origine de la cicatrice, mais par-dessus tout, il voulait être celui qui domptera ce regard de fauve en cage.
Il s'approcha alors du dromadaire, une grande et belle bête, forte, fier et docile, vraiment digne d'un roi. Il observa aussi les objets que personne n'avait pris la peine de retirer de la selle, ou même d'en vérifier la dangerosité au vu des armes accroché au milieu des autres objets, qui n'étaient apparemment que le strict minimum pour survivre. Il vu aussi deux sabres et le fourreau vide du troisième par lequel il avait faillit mourir, et rester par terre après que Zoro se soit fait immobiliser. Sanji retourna vers celui qui était par terre et s'en saisit, celui dont le fourreau semblait avoir été tailler dans l'ivoire, a ce moment le jeune touareg, qui avait arrêter de se débattre pendant que Sanji l'observait, recommença, mais bien plus violemment qu'a son arrivée, mais les quatre soldats l'immobilisèrent une nouvelle fois.
« -Ce sabre à l'aire de t'être très cher, dit-il en remettant le sabre dans son fourreau d'ivoire, tu a respecter notre marcher vielle homme dit-il au vieux roi, le traiter sera donc signer durant la fête. Emmenez la bête dans mon écurie et déposez les objets dans ma chambre. Quand a ce jeune chien sauvage, il doit être épuiser et ne doit pas encore connaître de vrai lit, couchez le dans le mien, je m'occuperais de lui plus tard. »
Les quartes soldats et le général suivirent une femme de chambre, la fête repris et ledit chien sauvage fut attacher les main dans le dos au lit de Sanji.
* les touareg des colonies nomades vivant dans le desert et se deplaçant à dos de chameau ou dromadaire, je vous conseil d'aller voir sur google
** information vérifiée
*** je sais, habiller comme ça, Zoro ressemble plus a un soldat Afghan qu'a autre chose mais je trouvait que ces vetements lui allaient mieux que la tenue bleu traditionnel (le chech est l'espece de turban avec lequel ils se protège le visae)
**** c'est une pierre preçieuse magnifique, aller voir sur google image
En espérant que ce chapitre vous aura plus et vous aura donné envie de continuer a lire ^^
Une petite review pour encourager l'auteur ?
Alby-chan
