Bonjour à tous !
Pairing : Kyoya / Tsuna
Disclaimer : Katekyo Hitman Reborn appartient à Akira Amano.
NDA : C'est une fanfiction que j'avais envie de faire depuis longtemps. Plutôt court comme d'habitude, mais avec plusieurs chapitres cette fois. Elle est dédié à deux personne, mon meilleur ami, avec qui j'ai trouvé l'idée. Et Aho-Ushi-Lambo, ma Bêta qui fait du super travail ! Aller lire ces écrits, c'est super. Grâce à elle, vous allez enfin pouvoir lire une fanfiction sans faute, ou du moins je l'espère !
Résumer complet : Une journée comme les autres commençait alors en cette chaude après midi d'avril. Takeshi et Hayato étaient venu rendre une petite visite surprise à notre cher dixième parrain Vongola. Autant le dire, ils squattaient comme d'habitude. Mais contrairement à d'habitude, Tsuna était énervé. Reborn l'avait forcé à faire deux fois plus de devoirs que d'habitude pour "remplir les troues dans tes lacunes", qu'il disait. Et qui dit Tsuna énervé, plus un Hayato accompagné d'un chérubin couleur vache, disait forcement que de gros problèmes allaient survenir. Mais Tsuna ne réalisait pas encore toute l'ampleur de la chose lorsqu'il vit arriver sur lui le bazooka des dix ans.
Comme dit dans le résumer, Tsuna vient de se prendre le Bazooka des 10 ans. Que va-t-il donc se passer ?
Bonne lecture à tous.
Tsuna se réveilla dans un lit douillet. Il soupira d'aise en voyant que le plafond était celui de sa chambre puis se tourna pour se rendormir, se disant que ce qu'il avait vécu n'était qu'un mauvais rêve. Pas de bazooka de dix ans, pas de flash rose, rien. Cependant, un minuscule détail attira son attention. Il ouvrit les yeux et observa un sweat à capuche vert. Il se leva, sortant du lit et alla chercher le vêtement. Il était nouveau ? Tsuna ne l'avait jamais vu mais en tout cas, il ressemblait comme deux gouttes d'eau au sien, celui qu'il aimait tant. Il reposa le vêtement et alla vers le lit. Et là, il remarqua. Sa chambre n'était plus agencée de la même façon, les murs étaient d'une autre couleur, en cooccurrence, vert. L'armoire, près de la porte, avait un miroir contrairement à dans son monde et était un peu foncé. Son lit, perpendiculaire à l'armoire était plus haut que le sien et avait des tiroirs en dessous. La table qu'il avait habituellement au milieu de sa chambre était toujours là. Tsuna ne manqua pas de le remarquer en se prenant le petit orteil dedans. Les rideaux étaient vert, enfin, pratiquement toute la chambre l'était, même s'il y avait des nuances de turquoise à certains endroits. Tout avait changé. Il s'assit sur son lit, des dizaines de questions dans la tête.
Soudain, il pensa à sa mère. Il sortit de la chambre, dévala les escaliers et arriva au plus vite dans la cuisine. Sa mère était là, et préparait le repas avec un petit sourire. Un soupir de soulagement traversa ses lèvres. La femme se tourna vers son fils et fronça les sourcils.
- Tsuna ! Qu'est ce que tu as encore fait ? Tu es resté allongé pendant plus de trois heures ! Et qui est-ce qui va m'aider, hein ? Dépêches toi ! Mets la table ! dit-elle sévèrement en le pointant avec une spatule.
Tsuna ne réagit pas. Sa mère ne lui avait jamais parlé ainsi. Que se passait-il ? Au bout de quelques minutes, il s'avança, trébucha, se rattrapa et alla mettre la table. Il fit tomber une assiette qui se brisa en mille morceaux sur la moquette. Tsuna s'empressa de les ramasser et se coupa inévitablement le doigt.
- Que tu es empoté mon pauvre Tsuna, qu'est ce que ta vieille mère va bien pouvoir faire de toi ? Ah la la la !
Elle se passa une main sur le visage, prenant une pose théâtrale. Mais le petit brun était encore sous le choc et terriblement mal que sa propre mère lui dise des choses aussi blessantes. Il se doutait que ceci avait un rapport avec l'accident de cet après midi, mais pourquoi le bazooka ne l'avait-il pas envoyé dix ans dans le futur ? Et où se trouvait-il donc maintenant ? Il n'en savait rien, et ceci le fit soupirer.
Ils passèrent à table. Pas de Lambo pour mettre le bazar, pas de I-pin pour le gronder et le poursuivre, pas de Reborn pour faire une réflexion désagréable, pas de Bianchi pour proposer de la nourriture indigeste, pas de Takeshi ni de Gokudera qui s'invitaient à l'improvise. Rien de tout ça ce soir. Juste le bruit de l'horloge et des couverts qui s'entrechoquaient dans un bruit strident et très désagréable qui brisait le silence affreusement pesant.
Une fois le calvaire terminé, et Tsuna remonté dans sa chambre, ce dernier put réfléchir plus amplement à la question qui le taraudait. Où était-il ? L'hypothèse d'être dans le futur était forcément fausse, sa mère n'aurait pas autant changé. Il avait alors pensé à un autre monde. Byakuran pouvait bien interagir avec ses doubles des autres mondes, peut-être que le bazooka des dix ans pouvait inverser deux personnes de deux dimensions différentes ! Cependant, le vrai problème n'était pas de savoir où il se trouvait, mais comment retourner chez lui. Il soupira, se disant que ses amis s'efforçaient déjà de le faire revenir. Mais…et s'ils n'y arrivaient pas ? Tsuna serait piégé à tout jamais dans une vie qui n'est pas la sienne ! Cruel destin.
Le petit brun fut pris de sueurs froides, tellement qu'il n'en dormit pas de la nuit. Le lendemain, son réveill sonna. Tsuna se lev, il regarda dans son armoire et prit les premiers vêtements qui lui venaient, pour la plupart verts. Il se dit que son double devait beaucoup aimer cette couleur, au moins autant que lui aimait le orange. Il descendit, et n'eut pas le temps de prendre un petit-déjeuner, il partit après avoir fait un bisou sur la joue de sa mère et lui avoir dit au revoir – vieux réflexe. La surprise se lisait sur son visage, mais elle ne dit rien.
Tsuna se dépêcha d'arriver à l'école, mais les grilles se fermaient devant lui. Des pleurs d'agonies franchirent ses lèvres alors qu'il pensait qu'il allait se faire mordre à mort par Hibari. Or, étant dans un autre monde, Tsuna ne se fit pas mordre à mort, et en plus de ceci, les portes s'ouvrirent devant lui. Il se pressa pour entrer et fut surpris quand l'autre trembla à son passage. Il le regarda, et ce dernier détourna la tête. Tsuna haussa les épaules et se dirigea vers sa classe.
Ce fut seulement au moment où il entra dans la pièce qu'il comprit une chose essentielle. Son univers avait changé, sa classe aussi ! Mais il ne s'attendait vraiment pas à voir ce qu'il avait sous les yeux. Reborn sous sa forme adulte, avec des lunettes, tremblait comme une feuille face à une classe d'élèves surexcités, dans un coin, Takeshi semblait exclu de tous, dans un autre Gokudera se faisait martyriser par, encore plus surprenant, Kyoko. Mais lorsque Tsuna arriva, tous se turent. Reborn essaya tant bien que mal de prendre de l'autorité.
- Ts-Tsunayoshi ! Encore – encore en retard ! Allez à votre place et qu'on ne-ne vous entende pas ! balbutia-il.
- Aye Sensei...
Tsuna alla à sa place sans broncher. Il comprit que Reborn devait être ce genre de prof qu'on ne respecte pas. Enfin, juste dans cette dimension. Une lueur d'espoir brilla dans les yeux du petit brun : si seulement le Reborn de son monde était un peu plus comme celui-là !
Cependant, il ne comprenait pas pourquoi des chuchotements s'étaient élevés lorsqu'il avait parlé avec lui et obéi. Et puis même, il n'admettait pas que, même dans un autre univers, Takeshi soit exclu et impopulaire, Hayato soit un souffre douleur et Kyoko une petite peste. Il alla s'asseoir à côté du brun, et les chuchotements redoublèrent. Reborn essaya de les apaiser, mais rien à faire. Tsuna se tourna vers son ami, qui était visiblement très surpris de le voir là. De toute évidence, se dit Tsuna, ils n'étaient pas amis dans cette dimension. Mais ça allait changer !
- Ca va ?
- Me frappes pas s'il te plait, je te donnerais mon argent, tout ce que tu veux, mais me frappes pas, supplia-il les yeux presque larmoyants et se mettant en position de défense.
Ceci finit d'achever Tsuna. En fait, même son double était à l'opposé de lui. Il devait être populaire, ou du moins connu de tous, et une brute épaisse pour que Takeshi ait peur comme ça. Cela lui fit mal au cœur et il sourit au brun.
- Non, non, je ne veux pas te frapper, ni te prendre quoi que ce soit. Rejoins-moi sur le toit à la pause de midi, avec Gokudera. dit-il en donnant un coup de tête vers l'autre jeune homme.
Takeshi hocha la tête et ne répondit rien. Il essaya vainement de se concentrer sur le cours. La matinée se passa exactement pareil. Les profs, d'habitude si méchants avec Tsuna, lui léchaient les bottes si l'on peut dire. Les profs gentils étaient devenus de véritables sadiques, au plus grand damne de Tsuna qui ne regarderait sûrement plus les originaux de la même façon. De plus, le petit brun n'avait pas croisé Hibari et trouvait ça très curieux. Cependant, midi venu, il alla sur le toit pour retrouver Gokudera et Takeshi. Ces deux derniers ne mirent pas longtemps à arriver, ne voulant pas contrarier "Monsieur Sawada". Tsuna leur sourit et ils prirent peur.
- N'ayez pas peur, je veux simplement vous parler, asseyez-vous.
Les deux s'exécutèrent sans protestations et s'assirent en face de Tsuna. Ils se demandaient pourquoi le petit brun les avait fait venir ici.
- Et bien... Comment dire... dit-il sans vraiment trouver ses mots. J'ai échangé de place avec un double... Je viens d'une autre dimension et je ne suis pas le Tsunayoshi Sawada que vous connaissez... Dans mon monde, nous sommes tous les trois les meilleurs amis. Dans mon monde, Gokudera est une "racaille" impulsive et crainte. Dans mon monde, Takeshi est un joueur de baseball populaire et toujours très souriant.
Un ange passa, Gokudera mit son front au sol, parlant d'une voix claire, l'air vraiment désolé.
- Excusez-moi de vous dire ça Monsieur mais votre blague n'est pas marrante !
Tsuna grimaça. Il fallait s'y attendre, lui non plus n'aurait pas cru quelqu'un qui lui aurait dit ceci – quoique, dans le monde fou où il vivait habituellement…
- Mais je vous assure que c'est vrai ! Vous devez me croire ! soupira-t-il lourdement.
- On te croit, dirent-ils après s'être jaugé du regard et avoir hoché la tête.
- Génial ! Vous pouvez me raconter comment se comporte mon double et qui il est ? s'enthousiasma le petit brun.
- Et bien... commença Gokudera, Vous êtes détesté par plein de gens, mais beaucoup vous adorent aussi. Tout le monde vous craint et vous respecte ici.
- Je vois... et quelles sont les personnes avec qui j'ai l'habitude d'être ? l'interrogea Tsuna.
- Hibari Kyoya, déjà. dit Takeshi, C'est votre petit-ami.
Tsuna devint tout pâle, à tel point que les deux autres garçons s'inquiétèrent pour lui. Puis il passa du blanc au noir, imaginant les pires tortures que son gardien du nuage pourrait lui faire subir s'il apprenait ça. Et enfin, il devint tout rouge, se disant qu'il devrait jouer un peu la comédie avec le Hibari de ce monde. Dans un sens, cette pensée le mettait mal à l'aise mais l'enchantait aussi. Il était amoureux du chef du comité de discipline depuis quelques temps déjà, mais jamais il n'oserait avouer cet amour à son gardien. Et là, par le plus grand des hasards, il se retrouvait en couple avec lui. Cependant, Tsuna savait bien que le propriétaire d'Hibird ne serait pas le même que dans son monde et qu'il verrait tout de suite le subterfuge. Tsuna devait très vite rentrer, sinon il allait causer de gros problèmes à son double.
- Quoi d'autre ?
- Vous aimez martyriser le prof d'italien, Monsieur Reborn, c'est pourquoi on a tous été très surpris de votre réaction ce matin.
Tsuna crut mourir à cette déclaration, de rire ou de peur ? Il ne savait pas vraiment lui-même. Ca aussi il ne le dirait jamais au concerné de son monde. Sinon il imaginait le pire du pire pour sa future personne. Il devint un peu plus pâle en imaginant Reborn lui "apprendre le respect" et lui faire faire un entrainement de spartiate alors que la mama préparerait de bons petit plats pour I-pin et Lambo. Lambo ? Mais oui ! Le bazooka des dix ans, il devait absolument le retrouver.
- Et Lambo Bovino ?! Vous le connaissez ?
- Jamais entendu parler... dirent les deux autres en chœur.
Où pouvait bien se trouver Lambo ? De toute évidence, Reborn n'était plus un tueur à gage, et de ce fait, Lambo ne devait plus en être un également. Mais où se cacherait ce petit monstre alors ? Tsuna réfléchit à s'en faire griller les neurones, et pourtant, ne trouva pas. Il soupira lourdement, commençant à paniquer. Mais qu'allait-il devenir ? Allait-il rester ici pour toujours ? Non ! Il ne voulait pas ! Il voulait ses amis près de lui !
- Monsieur Sawada, vous allez bien ?
- Appelez-moi juste Tsuna, et non je ne vais pas bien ! Comment ça pourrait aller bien alors que je suis piégé dans un monde qui n'est pas le mien ! Rahh ! dit-il en se prenant la tête dans les mains, désespérant désespérant un peu plus chaque minute.
Soudain, la porte s'ouvrit pour laisser place à un beau jeune homme. Il portait une simple chemise blanche, rentrée dans son pantalon évidemment et à son bras, le brassard du comité de discipline. Tsuna prit peur, mais réalisa qu'il n'avait rien à craindre d'Hibari puisqu'il était son petit-ami. Il regarda l'autre sortir ses tonfas et s'avancer avec une aura noire vers eux. Takeshi et Gokudera s'écartèrent.
- Je vais te mordre à mort, herbivore !
- HIIIIII !
Tsuna eu tout juste le temps de s'écarter et d'éviter le coup ravageur du brun. Le plus petit se tourna alors vers Takeshi, proche de lui, pour lui demander si tout ceci était normal.
- Et bien... non, Kyoya n'agit jamais ainsi d'habitude...
Le Vongola ne comprit pas tout de suite ce qui se passait, mais forcé de constater qu'Hibari voulait se battre, il lui accorda son combat. Ce dernier ne dura pas longtemps : deux minutes ? Cinq ? Tsuna ne saurait vraiment dire. Une fois le brun calmé, celui-ci s'assit sur le toit, face à la mauviette et à l'impopulaire.
- Expliquez-moi ce qu'il se passe herbivores avant que je ne vous morde à mort vous aussi.
- Et bien... commença Takeshi.
- C'est que... continua Gokudera.
- Hibari ? s'étouffa le châtain. Tu es LE Hibari Kyoya que je connais ?
- Tu en connais plusieurs peut-être ?
- Takeshi, est-ce qu'il y a un comité de discipline ici ?
- Un quoi ?
- Non de toute évidence... ça veut dire que... dit Tsuna en regardant l'homme aux tonfas, il était le Hibari de son monde.
- Hibari, nous ne sommes pas dans notre monde. Ici c'est différent, les gens que nous connaissons n'agissent pas de la même façon.
Sous une impulsion, le brun le frappa de nouveau. Il avait besoin de se défouler et le plus petit était parfait pour ça. Le brun avait bien remarqué que les gens agissaient bizarrement. Il avait dû mordre à mort Kusakabe parce qu'il ne lui avait pas montré le respect qu'il aurait dû. Ceci en plus d'un bon nombre d'herbivores qu'il avait dû corriger parce qu'ils ne l'écoutaient pas lorsqu'il parlait, à croire qu'ils se multipliaient entre eux.
Après ça, Hibari fut un peu plus conciliant et écouta Tsuna. Ce dernier expliqua la situation en détail, tandis que le brun lui fit part de ses mésaventures lorsqu'il s'était prit le bazooka des dix ans. La sonnerie retentit, et étant ce qu'il était, Hibari força le reste du petit groupe à retourner en classe. Le reste de la journée se passa tranquillement et se finit bien vite. Tsuna sortit de cours avec Gokudera et Takeshi, riant avec eux au grand étonnement de tous. Ensuite, arrivé devant la porte du collège, le Vongola décida d'attendre son gardien tandis que les deux autres garçons partaient ensembles pour rejoindre leur maison. Tsuna avait beaucoup apprit, comme quoi ils étaient en couple, ce qui l'avait bien fait rire. Il leur avait alors expliqué pourquoi il avait rit, en l'occurrence, la relation qu'avaient les deux là de son monde. Ils avaient aussi rit en l'apprenant.
Pour une raison qu'il ignorait, ou du moins parce qu'il ne voulait pas se l'avouer, il n'avait aucune envie de retourner chez lui. En partie à cause de sa mère qui était radicalement différente. Il vit arriver le garçon de son monde et se dirigea vers lui au petit trot.
- Hibari ! Je... je voulais te demander si... si tu accepterais de ... m'héberger... dit-il en fermant fortement les yeux, s'attendant à un coup de la part du brun.
- C'est d'accord. répondit ledit brun en continuant son chemin l'air de rien.
Tsuna était aux anges, il le suivit, un immense sourire aux lèvres. Pouvoir être avec le chef du comité de discipline sans qu'il vous tape était quelque chose, dormir chez lui en était une autre ! Mais Tsuna savait bien que son gardien avait accepté uniquement à cause de la situation, bien que ça ne lui ressemble pas vraiment. Après tout, Hibari avait toujours fait tout ce qu'il voulait, peu importe la situation dans laquelle il se trouvait.
Une fois arrivé chez le brun, Tsuna observa attentivement la maison style typiquement japonais et sourit tendrement. Ceci aussi ça ressemblait bien à Hibari. A l'intérieur, son hôte indiqua à Tsuna où il allait dormir, puis ils mangèrent et regardèrent la télévision. Enfin, le propriétaire des lieux regardait et Tsuna était trop stressé pour penser à autre chose qu'à la respiration calme du brun qui se trouvait à côté de lui. Aux moindres mouvements du garçon, le châtain se reculait. Après ça, Hibari alla se coucher tranquillement. Il éteignit la lumière et laissa Tsuna tout seul en baillant lourdement.
Le plus petit se réinstalla dans le canapé inconfortable et soupira. Depuis bientôt une heure il repassait en boucle les informations dans sa tête. Il était coincé avec Hibari dans un autre monde où tout était différent. De plus Lambo était introuvable. Il soupira encore une fois et se re-retourna. Puis il pensa à sa mère, si gentille, et aussi un peu à Reborn et à tous ces gens qu'il n'allait pas revoir avant un petit bout de temps. Il voulait retourner chez lui le plus vite possible. Il ferma doucement les yeux, se disant que ses amis trouveraient un moyen de le faire revenir dans leur monde, avec Hibari évidemment.
NDA : Dans le prochain chapitre, nous verrons comment Tsuna et Kyoya fond pour "survivre" dans ce monde.
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