Disclaimer: Les personnages et l'univers de Harry Potter ne m'appartient malheureusement pas, et oui, tout appartient à J..

Seulement quelques personnages sortent de ma petite tête , et je n'en tire heureusement aucun bénéfice, si ce n'est quelques reviews esperées S !! xD


Il se sentait seul, il était seul. Tout le monde meurt…Quelle fatalité! Ses parents, Sirius et surement d'autre encore. Pour l'heure il essayait d'oublier, mais, en vain… Il n'écrivait pas à ses amis ni au membre de l'ordre. Non, il se terrait dans sa solitude. Harry Potter dormait, ou plutôt cauchemardait : il voyait un grand manoir. Il avança vers la porte ouverte, vit un homme vêtu d'une longue cape noire. Il se battait avec un autre. Harry reconnut Voldemort.

-- AH AH !! Je vais te tuer ! Ensuite je tuerais ton cher fils et ton elfe de femme me rejoindra! Grâce à elle, je pourrais contrôler le monde et tuer tous ses bâtards ! Mais tout d'abord, ou es donc ta fille ??

-- Quelle fille ? Tu es plus fou que je ne le pensais ! Vas t-en tu ne toucheras pas à ma famille !

-- Ne me ment pas, je veux savoir ou est ta fille, celle dont personne ne connais l'existence, enfin maintenant, celle dont personne n'est sensé connaitre l'existence, et qui est, d'après mes sources, déjà puissante et qui promet de devenir une très belle femme!

-- Je ne te le dirais ja…

-- Alors sa mort ne me sera que plus... onctueuse, une fois que je t'aurais arraché l'information! Endolo...

-- Je suis là ! Dit la voix étouffée d'un petit bout de femme âgée de 8 ans.

Elle était aussi fine et élancée qu'il est possible de l'être à cette âge, et plutôt grande. Ses cheveux auburn et ondulé lui tombaient sur les épaules, elle avait les traits fin et un visage ovale, des oreilles pointues du à son statut d'elfe. Il dégageait d'elle une assurance peu commune pour son âge, on ressentait déjà d'elle une puissance impressionnante et une prestance effrayante. Le plus impressionnant était ses yeux, en amande. Vert émeraude avec des paillettes noisette. Malicieux. Pétillant malgré l'heure grave, mais laissant tout de même transparaître une grande maturité.

-- Tiens, tiens… Il a donc dit vrai! Il n'y a plus de doute possible... N'as tu pas peur de moi ?

-- Pas le moins du monde! La seule peur que j'ai est de vomir tellement votre face de serpent est hideuse!

-- Tu est insolente, mais sa me plais! Si tu me rejoins, je t'apporterais bien plus que ces gens! Dit-il en se pourléchant les babines.

-- Ravie d'avoir pu vous plaire ! C'était ironique bien sûre, plutôt mourir que de te lécher les bottes!

-- Ne fais pas ta maligne, petite garce! J'aime l'insolence, mais ne vas pas trop loin! Mais si tu ne me rejoins pas, je prendrais un malin plaisir à t'arracher les ongles, te tordre les bras et les jambes…… Oh, le doux son de tes petit cris de souris...

-- Je dois avouer que ton côté sadique m'impressione! Je te laisse une chance de t'échapper, alors vas-t'en, avant que l'envi ne me prenne de te botter les fesses! En plus, j'étais occupé, tu bouleverse mes plans, ce n'est vraiment pas gentil, et puis, c'est te donner trop d'importance ! Franchement avec ce surnom ridicule : Voldemort, non mais vraiment, voldemerde quoi !

Soudain, plusieurs « crack » retentirent, signifiant l'arrivée des mangemorts :

-- Torturer la fillette, s'exclama Voldemort, je m'occupe du père!

Sur ces paroles peu rassurantes du seigneur des ténèbres, les mangemorts s'approchèrent de la petite :

-- Alors petite comment t'appelles-tu ?

-- T'es venu la pour faire la converse ou pour me torturer ! Mais bon je peux te le dire à toi, histoire que tu t'en souvienne lorsque tu feras des cauchemards de notre prenière renontre. Mon nom est Lénaé. Retiens le bien, car tu n'es pas près de l'oublier!

-- C'est si aimablement demandé, je ne vais pas te faire languir plus longtemps ! Lança alors un des mangemorts, ENDOLORIS !

La petite ne broncha même pas, alors un autre lui lança le sort maudit. Puis un autre, elle commençait à laisser transparaître sa douleur, sans pour autant se défaire de son petit sourire ironique. Au bout du 4ème sort, elle tomba à genou les larmes roulant sur ses joues délicates et le visage crispé de douleur retenue. Les mangemorts bien que très surpris par sa résistance au sort interdit, ne souhaitaient q'une chose : qu'elle se torde de douleur sur le sol, qu 'elle hurle sa douleur…

Le combat faisait rage entre voldemort et l'autre homme, mais, lorsque ce dernier se retourna pour voir dans quel état était sa fille, un sort vert et un autre rouge – sûrement un sort perdu – le percuta.

En voyant cette scène, le visage de Lénaé se transforma, ce n'était plus une fillette de 8 ans qui se trouvait la, non, c'était bien le corps de Lénaé, mais il irradiait de puissance. Elle leva la main et les mangemorts furent comme soufflé par un vent imaginaire.

Elle alla vers son père, alors que voldemort montait les marches de l'escalier.

-- Papa, papa… Je t'en supplie ne me laisse pas…. Ne m'abandonne pas… PAPAAAAAAAAAA… Papa ne me laisse pas papa!! Tu n'es pas mort papa, non ne t'inquiète pas, Je vais te sauver, tu me fais confiance, hein papa ? Je reviens tout de suite… tien bon Papa…!

N'attendant aucune réponse, elle s'élança dans le hall, ne regardant même pas les mangemorts stupéfaits et souleva la statue représentant une nymphe. Elle entra dans la pièce qui venait de se dévoiler et en sortit quelques instants plus tard, une boucle d'oreille à la main.

-- Tu vois, je suis la…je n'ais pas été longue papa! Répond s'il-te-plaît, répond moi papa!!

N'entendant pas de réponse, après plusieurs instants, elle s'effondra en larme en entendant sa mère hurler à l'étage.

Se ressaisissant, elle posa la boucle sur la poitrine de son père et dit tout en actionnant le portoloin:

-- Tu verras papa, tu vas arriver chez maman, ils vont prendre soin de toi là-bas. Mais avant que son corps ne disparaisse, elle prit soin de le dupliqué.

Ne perdant pas de temps, elle se dirigea vers l'endroit ou elle avait entendu sa mère crier.

Cette dernière, sur le point de se faire tuée, prononçait une formule qu'elle avait apprit quelques semaine plutôt, dans son domaine.

-- Melindraïs sampanoüs émirélationnéos somarius qualaraïsa...

Un halo blancs les illumina, elle, son frère et sa mère avant que le même sort qui avait auparavant touché son père ne touche sa mère.

Voldemort, qui n'avait rien remarqué, ni l'arrivée de Lénaé, ni entendu le sort lancé par sa mère, lança pour la troisième fois de cette journée, le sort de la mort, en direction du petit frère de cette première. Avant qu'elle n'ait put réagir le sort vert toucha son frère…

Malheureusement pour le Mage noir, le sort rebondit sur le petit garçon et se retourna contre lui.

Etonnée, Lénaé vit le sort atteindre Voldemort et le réduire à néant.

Tous ce qu'elle sentit, fut une légère brise qui la transpersa de part en part et fit courir un frisson désagréable le long de son corps, lorsque le Lord Noir, devenu rien, une âme errante, la traversa après avoir traversé son frère.

Soudain, la maison commença à brûler. La fillette sortit enfin de sa transe et chercha le portoloin caché dans cette pièce. Le trouvant, elle le posa vite sur le corps de sa mère qui disparut. Elle créa une réplique de sa mère, prit son frère, sauta les dernières marches de l'escalier qui menaçait de s'effondrer, traversa le hall, sans remarquer que les mangemorts avait disparu, et sortit enfin à l'air libre.

Elle respira une grande bouffée d'air frais en berçant son frère, qui s'arrêta doucement de pleurer.

Soudain, elle sentie une main sur son épaule. Lentement, elle se retourna, et reconnue alors les traits de sa grand-mère. Cette dernière lui arracha son petit frère des bras, le posa sur le sol, pris Lénaé par le bras et disparut avec la fillette qui n'eut pas le temps de réagir. La dernière chose qu'elle entendit fut les pleures de son jeune frère, Harry…


Un cri déchira le silence paisible de Privet Drive :

Harry venait de se réveiller…

Très loin de là une jeune femme se réveilla en sueur, se rappelant le cauchemar qui hantait ses nuits depuis longtemps, le cauchemar qui racontait une partie de sa vie…