Et voila!!C'est une idée que j'ai tiré de différentes fics mélangées qui, ensemble, donnait quelque chose qui me plaisait bien. Je vous présente donc « Harry Potter, Cornedrue et Ombre-de-Feu », ma première fic!Soyez indulgents, je suis encore une débutante!!Et dites moi ce que vous en pensez, que ce soit bon ou mauvais, grâce au petit bouton en bas a gauche! ;-) Anya(ou Kalya, comma ça vous chante!)

1er chapitre: Rêve d'attaque, fuite et émotions.

_Lucius!

_Oui, Maître?

_Tout est prêt pour l'enlèvement?

_Oui Maître! Les Mangemorts sont en train d'attendre votre signal pour aller capturer le jeune garçon.

_Tres bien, Lucius. Harry Potter va enfin être à moi!!

Il éclata d'un rire glacial.

Au même moment, dans la banlieue de Londres, un jeune garçon se réveillait en sursaut. Il plaqua ses mains sur la cicatrice en forme d'éclair qu'il portait au front, se leva, mit ses lunettes et alluma sa lampe de chevet. Puis il se dirigea vers le petit miroir posé sur sa commode.

Il y vit un jeune garçon d'une quinzaine d'années, aux cheveux en bataille et aux yeux d'un magnifique vert émeraude. Il avait beaucoup grandi pendant ce mois qu'il avait passé chez son oncle et sa tante, les Dursley, cette branche de la famille qui l'avait pris en charge après l'assassinat de ses parents. En effet, le jeune homme, de son vrai nom Harry Potter, avait été confié a la sœur de sa mère lorsque Voldemort, un puissant mage noir, il y avait quatorze ans de cela,, avait tenté de décimer toute la famille Potter. En ce jour d'Halloween 1981, le Seigneur des Ténèbres s'était rendu a Godric's Hollow, la maison de la famille, surprenant les deux adultes, James et Lily, et leur fils Harry, alors âgé de un an. Il avait d'abord tué le père, qui essayait de le retenir pendant que Lily fuyait, le bébé dans les bras. Mais l'homme les avait rattrapés. Et il avait commis une grosse erreur en commençant par tuer la jeune femme qui, sorcière de son état, avait protégé son fils grâce a tout l'amour qu'elle lui portait. C'est donc en essayant de tuer un bambin que le pire sorcier de tous les temps avait disparu, réduit a l'état d'écho ou de fantôme.

Harry avait donc vécu chez des gens qui le détestaient jusqu'a ses onze ans, a l'age où il avait appris qu'il était lui aussi un sorcier, tout comme ses parents. Il en avait été informé par une lettre d'Albus Dumbledore, le directeur de Poudlard, école de sorcellerie anglaise. Depuis ce jour merveilleux, il avait suivi ses études dans l'école, ne revenant a Londres que pour les grandes vacances.

Dans un mois et deux jours se déroulerait la rentrée des classes, moment tant attendu.

Il allait cette année rentrer en cinquième année, l'équivalent de la seconde dans le système moldu.

Mais pour l'instant, le jeune homme ne se préoccupait pas de la rentrée. Fouillant dans ses tiroirs, il en tira toutes ses affaires et les entassa dans sa malle. Les Mangemorts allaient venir, même très vite, d'après ce qu'il avait compris. Malgré l'interdiction de faire de la magie pendant les vacances d'été, il lança un sort de réduction a ses bagages et sortit de sa chambre. Soudain, il se rappela de quelque chose. Il fonça vers la chambre de son oncle et l'ouvrit a la volée:

_Oncle Dursley, réveilles-toi!!Vous devez partir, la maison va être attaquée!!

_Quoi?? Que racontes-tu, toi?

_Des sorciers viennent pour me tuer!! Vous devez fuir a moins de vouloir finir en cendres!!

L'oncle réveilla son fils et sa femme, prit quelques affaires et s'engouffra dans sa voiture, suivi par Pétunia et Dudley. La voiture partit si vite que les pneus criaient. Harry mit sa cape d'invisibilité, attrapa sa malle réduite et s'enfuit en passant par derrière le pavillon. Il couru pendant de longues minutes avant de finir sa course en s'asseyant sur un muret, et en essayant de faire passer son point de coté. Puis, agitant sa baguette, il appela le Magicobus, qui apparut quelques secondes plus tard avec de grands crissement de pneus. Harry monta et s'installa, demandant a être emmené a Pré-au-Lard, le village jouxtant l'école de Poudlard. Il avait bien sur enlevé la cape depuis longtemps, et il se reposait sur l'un des lits disposés a la place des bancs d'autobus. Quelques minutes plus tard, il arrivait au petit village ecossais. Il paya et descendit, adressant de grands signes au conducteur.

Puis il reprit sa route. Il traversa le parc bordé d'arbres de l'école, vit la lune se réfléchir sur la surface du lac argenté et arriva devant la porte principale. Mais quelqu'un y était déjà. De dos, il ne le reconnaissait pas mais la personne avait un air vaguement familier. Celle-ci, entendant des bruits de pas ,se retourna. Elle eu seulement le temps d'entendre un faible « Papa » avant qu'un jeune garçon lui tombe dans les bras, harassé par la fatigue, l'émotion et la malnutrition.