Prologue.
Sirianna avait quitté l'école avec une très forte moyenne, ce qui lui avait permis très rapidement d'avoir une place dans les rangs des langues-de-plombs ainsi que chez les aurors. Elle était en effet très reconnue dans le milieu et cela avait entraîné beaucoup d'ennemis et de menace de mort. Un soir, incapable de dormir, elle se leva et alla à la cuisine, se servit un verre de jus. Elle se sentait très seule dans ce grand appartement vide. Elle attrapa son jean qu'elle enfila rapidement et se mit une veste et sortie. Elle marcha vers un parc, où elle entra et se laissa tombé sur une balançoire qui était doucement balancé par une légère brise.
Sirianna se donna une petite pousser et se laissa bercer par les mouvements du vent. Soudain le vent sembla se lever et un bruit, une genre de détonation qui sonnait familier à ses oreilles se fit entendre derrière elle. Elle posa sa main sur sa cuisse pour prendre sa baguette dans sa poche mais celle-ci n'y était pas, elle se rappela de l'avoir poser sur sa table de nuit. Elle arrêta le mouvement de va-et-vient et se leva de la balançoire et se retourna d'un coup. Devant elle, se trouvait un homme, portant une longue cape noir, un sourire machiavélique sur les lèvres et la baguette pointé vers la jeune femme.
-Vous avez eu beau, mademoiselle, traqué les mangemorts, moi vous ne m'avez jamais eu comme cible mais pourtant, vous devez vous demander ce que je vous veux… vous avez salit ma famille, et un Black ne pardonne pas.
Elle n'eu pas le temps de réagir qu'un éclair rouge la frappa et elle perdit connaissance. L'homme s'approcha du corps de la jeune femme, qu'il dévora des yeux, posant ses vieilles mains sur le jeune corps. Il se retient d'en faire plus, il la prit et transplana chez lui, dans un vieux manoir sombre.
Sirianna se réveilla, couché dans un grand lit baldaquin, aux couvertures vertes. La pièce était sombre, sans fenêtres, et il n'y avait, autre que le lit, qu'un bureau de bois dans un coin, et un cadre vide sur le mur. La porte se trouvait à côté de son lit, elle se leva et se trouva pratiquement nue, qu'en sous-vêtement. Elle tourna la poignée mais celle-ci ne bougea pas. Elle explora la pièce, une autre porte se trouvait dans un coin, elle la poussa et tomba sur une salle de bain miteuse. Elle referma la porte et chercha ses vêtements, qu'elle trouva entasser dans un coin. Elle se pencha pour les prendre et entendit la porte s'ouvrir. Elle se retourna d'un bond, tomba nez à nez avec l'homme de tout à l'heure. Elle voulu foncé dehors mais il l'arrêta, lui serrant la taille. Il la poussa sur le lit, toujours le même sourire mauvais au lèvres.
