Antoine Daniel cherchait un colocataire. Il s'était arrêter sur le profil de son ami de longue date, cela faisait longtemps qu' il ne l'avait pas revu. L'un calme et l'autre fou, mais comment se fait t'il qu'ils soient encore ami me direz vous ? Bah je n'en ai aucune idée. Je ne suis qu'une pauvre auteure laissez moi en paix. Son ami s'apellait Thomas et faisait lui aussi des vidéos sur internet. Il fasait partit du grabuge. Ils ne s'était pas revu depuis longtemps et cela manquait au garçon à la folle chevelure. Il l'avait donc invité dans un bar. Ils étaient rentrés complètement pétés chez Antoine. C'est ainci que Thomas Olland accepta de prendre Antoine Daniel comme colocataire.
Cela faisait trois mois (ça fait trois mois Antoine) que ces deux là vivait ensemble, mangeait ensemble, et dormait ense... NON JE DECONNE. Le petit appartement qui était situé à Toulouse avait quand même deux chambres, un salon, une cuisine et une salle de bain commune.
Un soir lorsqu'ils n'avaient rien à faire le plus jeune tout enthousiaste dit au chevelu occupé sur l'ordinateur :
-Vient on sort ce soir !
-Oh putin... fit l'autre en se retournant. sachant très bien se qui l'attendait.
-Allez ! Ça fait longtemps et puis... j'ai pas d'autre argument mais s'il te plaît. Il fit à Antoine un adorable sourire.
Antoine l'espace d'un instant dù repousser l'idée de lui faire un câlin.
-Naaaan, je vais me faire chier moi, je suis pas d'humeur.
Thomas fit la mou. Sortit une pièce de sa poche et prit un air malicieux :
-Ok, pile ou face ?
-Pfff face, vas y dit il excédé par le comportement enfantin de son colocataire.
Le plus jeune lança la pièce qui retomba dans sa main. Il regarda et sourit en direction de son ami.
-C'est pile ! Aller vas te préparé.
-Putin fit Antoine en prenant un air faussement mécontent.
-Y' aura qui au fait ? Demanda Antoine
Ils étaient au point de rendez vous et comme Thomas avait tout organisé Antoine voulait savoir s'il devait s'inquiéter ou pas.
-Tu verra bien... Ah justement, c'est eux.
Antoine vit une voiture se garer. en voyant sortir de la voiture un rafen accompagné de snoop pigeon il se frappa le front de sa paume.
-Nom de dieu tu pourrait pas inviter des gens normaux ?
-Les voilà tes gens normaux! fit le second en pointant du doigt les derniers arrivants.
En effet il vit sortir Victor le tueur d'unknown movies, Matieu Sommet aka le schizophrène de youtube et Serge le mytho: le mec le plus relou au monde.
-Heu... tout est relatif. répondit il dubitatif.
-Hey, les gars ça fait longtemps ! lança le tueur.
-Ouai ouai, alors quoi de neuf ? répondit Thomas sans pretter attention à son collocataire qui ralait dans sosn dos
-Pas grand chose j'ai dépecé une gamine hier c'était sympas...
-Ouai j'étais avec lui on s'est bien marrés, hein gamin! s'exclama Mathieu
-Perso, j'était a Los Angeles pour enregistrer un album avec Charlie Puth mais...
-Ok je ne ferai aucune remarque sur tes gous musicaux médiocre. rétorqua l'homme carton
-Mais ta gueule, t'a un carton sur la tête !
-Ha ouai, tu dit ça par ce que je suis noir.
Un ange passa.
-Non...
-Ok, c'est pas pour déranger cette conversation extrêmement gênante mais c'est qu'on avait prévus d'aller en boite.
Victor avait trouver une future victime, l'homme carton dansait seul au milieux de la foule dans laquelle Antoine pouvait voir Mathieu et Thomas se rapprocher. Le chevelu était au bar avec Serge qui lui parlait de... de quoi lui parlait il déjà ? Ils étaient tous complètement pétés... Mais où était passé ce putin de pigeon ? Attend ça sait voler ces bestiaux?
-Ouai donc je me suis retourné sur le mec et je lui dit de pas critiquer Charly Bell, par ce que c'est ma meuf, tu vois normal. Sauf que là, il me ramène toute sa clic. Moi je comprend pas, j'ai pas le temps de réagir et je me dis: putin qu'es ce que je vais faire et tout, par ce qu'ils était au moins une cinquantaine. Et là y a jean-claude van damme qui débarque avec mimie mathy. Ouai par ce que je les connais bien. Et on commence à les défoncer. Quoi t'a un problème tu veux qu'on se tape? Hein ? Tien je te tapote le front!
Antoine regardait Serge se battre avec son verre d'alcool, il était impressionné par la rapidité du discours de son ami. Ce mec avait la capacité de ne pas reprendre sa respiration l'orsqu'il parlait. Don totalement inutile pensa antoine. Il tourna la tête vers Thomas qui dansait plus loin. Mathieu se tenait près, tellement près de lui. Le garçon au bar ne supportait pas ça. Il essaya pathétiquement de se mettre debout et alla au toilettes, laissant Serge entamer une discussion sur la politique au Moyen Orien avec son verre d'alcool.
Nom de dieu mec t'est taré ou quoi ? Depuis quand tu fantasme sur ton pote ? Wow cette phrase est très étrange à se dire, je fantasme sur mon pote. Peu être que je suis gay. D'un coup comme ça, ça peu arriver ? Dit pas de connerie, t'est bourré.
Il se lavait les mains et remarqua qu'a coté de lui un garçon lui souriait. Il avait deux boutons de sa chemise défait et les joues rosis par l'alcool. Thomas se rapprocha d'Antoine lentement, dangereusement, beaucoup trop beau. Antoine, par réflexe recula jusqu'au mur, prisonnier entre un beau garçon et un mur. Il le regardait droit dans les yeux en souriant. Antoine posa ses lèvres emplis de désir sur les siennes. C'est en décollant ses lèvres qu'il vit que l'autre ne réagissait pas. Antoine baissa les yeux, les joues rougis par la honte. Thomas avait des papillons dans le ventre. Leurs visages était si proche qu'ils sentaient tous deux leurs souffles s'entremêler. Le plus petit leva le menton du beau garçon qu'il avait à sa disposition et fixa ses beaux yeux couleur noisette. Combien de temps se sont ils regardés comme ça ? Peut être 2 minutes. Thomas voulait arrêter le temps, là, cet instant précis. Il voulait qu'il dure toute une vie. Antoine coincé entre le mur et son ami ouvrit la bouche pour articuler quel que chose comme :
-Je... Je... Désolé... ses yeux affolés cherchaient quel que chose à quoi s'accrocher pendant qu'il déglutissait difficilement.
Tout se passa tellement vite. Thomas mit une main dans les cheveux fou de son ami et lui donna un langoureux baisé. Il demanda l'accès à sa langue, l'autre ne tarda pas à accepter. Antoine commençait à jouer avec les doux cheveux de son compagnon tout en passant une main sous son T-shirt.
