Hello la compagnie ! Oui je sais ça fait trèèèès longtemps, je crois que j'étais encore une gamine à l'époque de ma dernière fiction. Depuis j'ai grandi, mes gouts ont changé mais je suis toujours accro à Fanfiction et je lis toujours autant.
Je viens aujourd'hui avec une idée qui m'a trotté dans la tête alors que j'étais en cours. En cours en aout me direz vous c'est parce que je suis en Islande pour le semestre. Bref je ne vais pas vous ennuyez avec ma vie mais tout ça pour dire que les cours en anglais des fois le cerveau s'évade et imagine des trucs.
Bref dites moi ce que vous en pensez en commentaire. Je compte sur vous, soyez indulgents pour l'écriture, et j'accepte toute proposition de Beta !
Bisous
Disclamer : J.K. Rowling la grande !
Couple : Harry/Tom
CHAPITRE 1
Bonjour ! Comment allez-vous ? Vous avez vu je suis poli. Vous pourriez le dire à mon papa ? Merci. Vous vous demander pourquoi je vous parle, et bien c'est parce que je m'ennuie. Mais sinon je vais très bien, aujourd'hui est un grand jour, on déménageait à Londres. J'avais un peu peur mais mon papa était le meilleur et il m'avait réconforté. Il doit travailler mais après il m'a promis qu'on visiterait la ville rien que tous les deux. Je suis trop content, mon papa c'est le plus gentil papa au monde, en plus c'est le roi des vampires… Vous n'aimez pas les vampires… Mais ça veut dire que vous ne m'aimez pas alors… Mais je voulais que vous deveniez mes amis…
Caleb ? Pourquoi pleures-tu ? me demanda ma tante Leya.
Elle ne sait pas que je peux vous parler donc il faut rester discret. Mais vous êtes quand même méchants.
Je m'ennuie et je me sens seul tante Yaya.
Osez dire que vous n'avez jamais donné de surnom à votre famille. Alors vous n'avez pas le droit de rire.
Mais voyons mon amour, je suis là moi. Tu n'es pas tout seul.
C'était gentil de me réconforter mais elle n'allait pas jouer avec moi pour autant. C'était une adulte, et puis même si elle jouait avec moi elle me laisserait gagner comme tous les autres, et c'es pas drôle. Vous vous êtes méchant mais je vous parle quand même car ça me fait passer le temps, seulement c'est pas avec vous que je vais m'amuser. Je n'avais pas d'amis de mon âge parce que c'est très rare un enfant vampire. Un vampire ne peut avoir des enfants qu'avec son âme sœur, et c'est très dur de le trouver. Et comme si ça ne suffisait pas je suis spécial. Oui car ma maman était une humaine, enfin plutôt une sorcière. Donc je suis un hybride, et donc précieux pour les vampires. En effet, je suis un prince mais à cause de mes origines je suis plus faible qu'un vampire normal. Cependant j'avais des pouvoirs magiques et j'avais moins d'inconvénients qu'un vampire normal. Adieu le régime sanguin ! Malheureusement à cause de tous ça les rares vampires proches de mon entourage n'osaient pas s'approcher de moi car je suis faible et le prince héritier… Donc je m'ennuie.
Quel est ton nom ?
Caleb et toi ?
Tom. dit-il en s'en allant.
Il ne pouvait pas partir comme ça. Je ramassais mon ballon puis lui courait après. J'étais rapide, donc je pus facilement me planter devant lui et lui tendre mon ballon.
Tu veux pas jouer avec moi ? Je me sens seul et je n'ai jamais joué au ballon avec quelqu'un.
Et c'était vrai c'était mon premier ballon, j'ai du faire un caprice à mon papa mais il a finalement céder et moi j'étais très heureux. Depuis je le gardais toujours près de moi.
Tom me jeta un regard dédaigneux. Oui c'est un nouveau mot que j'ai appris cette semaine en écoutant papa.
Demande à ta famille !
Il allait repartir mais je lui fis mes yeux de chien battu, les même que j'utilise sur mon papa. Il soupira, et moi je souris, j'avais gagné.
Je souris doucement en repensant à ces vieux souvenirs. Ce jour-là j'avais gagné un ami très cher mais j'avais perdu au ballon et quand Tante Leya et Père m'avaient trouvé j'étais couvert de boue.
A quoi penses-tu pour sourire ainsi mon amour.
A notre rencontre. Tu te souviens de la tête de mon père.
J'eu un éclat de rire rien qu'en y repensant alors que Tom eut un sourire dépité. Quand ma famille avait mis la main sur moi, j'avais pris un de ces savons. Mais le plus à plaindre dans l'histoire fut Tom. Quand mon père l'avait découvert il a faillit le tuer. Mais je l'ai empêché. Vous avez vu j'étais courageux pour un enfant de 9ans. Bref, mon père était en colère et malgré mes protestations et le fait que Tom n'avait rien fait de mal et que tout était de ma faut. Il l a trainé jusqu'à chez lui par la peau du cou et c'est là que j'appris que mon nouvel ami vivait dans un orphelinat et qu'il s'était enfui. Quand les portes du bâtiment s'étaient fermées derrière lui j'étais en larme et j'en voulais pour la première fois à mon père.
Et c'est là que tout à commencer, dans les jours qui suivirent je tombais gravement malade. Fièvre, vomissement, toux. Mon père ne savait pas quoi faire, étant un vampire il n'était jamais tombé malade, et cette maladie dépassait tous les rhumes que j'avais pu avoir dans mon enfance. Même le médecin ne savait pas ce que j'avais contracté, il a été renvoyé. Bientôt je fus si faible que je ne pouvais manger tout seul, j'avais peur de mourir. Mais j'ai fais une requête à mon père. Revoir Tom. Il me l'accorda et le lendemain mon seul ami était à mon chevet. Il pleurait, je lui avais demandé pourquoi après tout on ne se connaissait pas. Il m'avait répondu qu'il ne savait pas lui-même et qu'il était juste triste. Ce jour là ce fut la première fois qu'on dormit ensemble nos mains l'une dans l'autre. Quelques heures plus tard quand mon Père repassa pour ramener Tom, il nous vit parler avec animation comme si de rien était. Tom et moi on apprenait à se connaitre. Père m'avait demandé comment je me sentais et je lui avais répondu avec mon plus beau sourire que je ne m'étais jamais senti aussi bien et que je mourrai de faim. Ce fut un miracle. Mais Père bien sur ne croyait pas au miracle et était suspicieux.
Bien sur le roi des vampires a toujours raison, Tom et moi étions devenu les meilleurs amis du monde cependant j'avais appris qu'en Septembre on ne se verra plus si souvent car il partait en internat, on pourrait se voir durant les vacances de Noël mais pas avant. Je sentais que quelque chose n'irait pas. En effet peu de temps après son départ, mon état recommençait à se détériorer, plus lentement mais les même symptômes apparaissaient. Père avait fait des pieds et des mains pour retrouver Tom et ce fut début Novembre que je le vis apparaitre dans la cheminer de ma chambre. J'avais été surpris et la seule chose que je pus dire avant de m'effondré de fatigue ce fut.
-Tu es un sorcier.
-Je connais ce visage, toi tu repenses à la découverte de notre lien.
-C'est pas ma faute Tom, je ne savais pas ce qu'il se passait, Père te recherchait et je t'ai vu débarqué dans ma cheminé comme si de rien était. Mais je t'avoue avoir été soulagé de te savoir un sorcier, comme ça il n'y aurait plus de secret.
Tom me prit dans ses bras doucement. C'était la meilleur place au monde croyez moi. Ce que je venais de dire à Tom était la vérité j'avais été heureux et soulagé.
Comme précédemment, Tom resta près de moi durant mon sommeil et le lendemain je pouvais remonter à cheval tellement j'allais mieux. Mon ami et moi avions eu une discussion sur certaine chose qu'on s'était caché durant l'été comme le fait que je sois un prince hybride vampire sorcier et que lui soit un sorcier. L'internat était en fait Poudlard, école où j'irai malgré les réticences de ma famille quand j'aurai 11ans. Après tout c'était les seuls qui pouvaient m'apprendre à gérer mes pouvoirs. Et ce fut durant cette longue discussion que mon Père avait débarqué, d'abord surpris de voir Tom à mes cotés mais ça renforçait ses doutes.
-Vous êtes des âmes sœur. Avait-il lancé.
On ne sut pas quoi répondre. En tout cas, un sentiment de plénitude m'avait envahit, comme si j'avais toujours su que Tom et moi on était des âmes sœur. On s'était regardé avec le même sourire aux lèvres. Et c'est là que mon père nous parla à Tom et à moi du lien d'âme sœur. Bon j'en savais une grande partie mais Tom apprit que les relations homosexuelles ne sont pas horribles quand on est des âmes sœur. Mœurs de l'époque. De plus il apprit pas mal de chose sur les vampires et notre relation spéciale. Même moi j'appris que les premiers temps les séparations seraient dur surtout pour la femme ou le soumis. Croyez moi c'est très étrange quand vous parler de possible relation sexuelle avec votre père à 9ans. Bien sur il n'était pas entré dans les détails, mais il nous avait dit que vu notre âge on n'aurai pas besoin de se lier, sexuellement parlant, de suite. Cependant il devait parler avec le directeur de Poudlard afin que Tom puisse venir les week ends afin que moi, son soumis ne souffre pas.
-Ouh toi, vu tes rougissements tu repenses à la discussion avec ton père. Me taquina-t-il.
-Te moque pas, imagine toi à ma place, apprendre par ton propre père que tu es un soumis et que tu devras te lier sexuellement dans quelques années.
-Pas faux mais c'est du passé, arrêtes d'y penser. Concentrons-nous sur le présent. Je te rappelle que Dumbledord nous menace toujours.
Adieu les souvenirs niais, mon visage reprit une mine sérieuse alors qu'on se penchait sur des plans d'attaques, attaques auxquelles je n'aurai bien sur pas le droit d'y participer.
Vous avez été méchant quand j'étais petit mais je vous devais quand même quelques explications. En effet, les trois premières années de ma relation avec Tom se passait bien, seul les vampires proches de mon père et le directeur de Poudlard était au courant. Notre lien s'était renforcé à notre plus grande joie. Cependant tout changea lors de mon entré au collège, comme Tom je reçus ma lettre en Juin pour mes onze ans et en septembre j'étais en route pour Poudlard. Je fus répartis à Serpentard dans la même maison que mon ami et futur amour. Notre lien fut vite découvert, pas qu'on voulait le cacher, mais à cause de cela mon titre aussi. Au le collège n'était pas au courant, seul le professeur de métamorphose et d'après Tom il était dangereux. Il ne cherchait que le pouvoir et par mes origines j'étais puissant. Petit à petit, les autres maisons ont commencé à devenir cruelles avec nous. A cette époque il existait déjà la guerre des maisons mais là ça dépassait bien plus que la petite querelle de jeunesse. Des attaques vicieuses au détour d'un couloir. Rapidement Tom et moi avons remarqué que les plus graves attaques étaient dirigées vers nos amis proches. Et c'est ce qui était étrange car souvent ces amis étaient des héritiers de grande maison et ils savaient se défendre. Ce qui veut dire qu'un adulte aidait les élèves à nous attaquer.
A cause de ça je ne pus finir ma scolarité, dès que Tom eut passé ses Aspics je ne pouvais plus aller à Poudlard car il n'y avait plus personne pour me protéger. C'est à ce moment là que j'appris que mon Père et Tom s'étaient liguer ensemble. Il ne voulait pas qu'il m'arrive quelque chose, et pour cela j'étais toujours protéger et loin des attaques qui avaient finis par quitter les murs de l'école. Non seulement y'avait la menace de Grindewald mais en plus les anciens élèves de Poudlard nous attaquaient en dehors des murs de l'école. Heureusement que nos amis étaient intelligents et que ces attaquants sans l'aide de Dumbledord étaient terriblement stupides et médiocres. Cependant cette petite guéguerre s'était vite transformée alors que Tom entrait dans le monde politique et qu'il fit entendre notre voix à nous les créatures magiques et qu'il essayait de faire prendre conscience du problème de la magie par rapport aux moldus. Qu'on ne pouvait pas continuer à délaisser la magie pour convenir aux croyances moldus. On n'avait pas de soucis par rapport aux nés moldus, mais il devait d'initier aux traditions sorcière pour faire vraiment parti de ce monde. Mais ce n'était pas le cas.
Bref nous étions retourné dans le monde moldu, chez mon père et on envisageait des contre attaque, après tout on ne pouvait pas se laisser faire. Nos amis venaient nous rendre visite et je riais bien devant leur mine déconfite de se retrouver dans le monde moldu. Personnellement je n'avais pas d'aprioris sur la question. Tom en avait quelques uns mais il savait que pour ma sécurité il n'y avait pas meilleur endroit. Dans un monde dépourvus de magie, et surtout un monde où les vampires de mon père pouvaient me protéger. Mais il fallait l'avouer ça me tapait sur le système que les deux hommes les plus importants de ma vie me pensaient aussi faible qu'un nouveau né. Heureusement que je pouvais être là pour la mise en place de stratégie, sinon je ne répondais plus de rien.
Et voilà comment nous étions entrés en guerre contre Dumbledord. Et ce dernier commençait à devenir un puissant personnage et était devenu une menace. Trois années s'étaient écoulé depuis et demain c'était mon anniversaire.
Ce soir là nous allions nous coucher tard, en effet on avait mis en place un plan de bataille pour contrer les attaques en traitre de Dumbledord et sa clique, nous avions finis les derniers préparatifs et demain on m'avait promis ma journée donc il fallait tous finir aujourd'hui.
Quand je sortis de ma douche, l'air dans la chambre avait complètement changé j'étais toujours en train de me sécher les cheveux avec une serviette mais mes yeux ne pouvaient plus quitter Tom qui était torse nu devant moi et qui surtout me lançait un regard indescriptible. Tous ce que je pouvais dire était que ce regard embrasait mon corps et mon cœur.
-Joyeux anniversaire mon amour.
J'eus à peine le temps de tourner la tête pour regarder l'horloge que Tom était devant moi à l'attaque de ma bouche. Et je sus ce qui allait arriver, et j'en avais envie. Terriblement. Le dernier lien. Oh pas qu'on est rien fait jusqu'à présent, on s'était déjà découvert mutuellement mais jamais jusqu'au bout. Quelque chose nous en empêchait. Mais cette chose avait disparu aujourd'hui. Je souris et me laissais entrainer par mon âme sœur.
Le lendemain matin je me réveillais avec le sourire aux lèvres et mon compagnon collé dans mon dos. La nuit c'était terriblement bien déroulé, la magie qui nous avait traversé avait été tellement puissante que j'avais l'impression de pouvoir la toucher. Tous les habitants du manoir avaient du la ressentir.
Et je n'avais pas tort. Au petit déjeuner lorsque je vis mon père et ma tante ils avaient l'air tout émoustillé et m'avaient jeté un regard noir. Je ne pus m'empêcher de rire. Rien ne pourrait détruire ma bonne humeur aujourd'hui.
Je forçais mes amis les plus proches, les Princes, les Malfoys et les Lestranges à m'accompagner moi et Tom dans un salon de thé moldus qui faisaient des petits gâteaux à tomber par terre. Bien sur, on ne put sortir sans deux gardes du corps vampires et nos baguettes. L'après midi se déroula parfaitement malgré Abraxas qui ne s'empêchait de commenter les gens qui entraient dans le salon. Rien de très étrange donc. Ce fut sur le chemin du retour que tout bascula.
Alors qu'on rentrait au manoir où une grande fête nous attendait pour fêter ma majorité. J'avais eu beau expliquer à Père que la majorité sorcier était à 17ans pour lui ça resterai 18ans. De toute façon je m'en fichais et je lui laissais le plaisir de croire que je venais juste de devenir majeur. Et quand un prince devient majeur cela signifie grand bal. Bal où toute la haute société, Vampire, Sorcier ou Moldus étaient invité. Mais bon je n'avais pas à m'en faire je connaissais mon rôle.
Mais alors qu'on s'approchait du manoir, je crus voir Dumbledord au détour d'une ruelle. Je ne pus m'empêcher de le suivre. Que faisait-il là ? Dans le monde moldu ? Et c'est là que vous devriez me dire que je n'aurai pas du me jeter au devant du danger. En effet j'arrivai devant la ruelle avec mes gardes vampires en premiers, et oui origines oblige, je restais toujours plus rapide quand je le voulais que mes amis. Cependant je le regrettai bien vite, dans la ruelle il y avait bien Dumbledord mais il souriait et était derrière un homme qui paraissait fou. Alors que les vampires allèrent pour se jeter sur le sorcier, l'humain dégaina une arme et tira à plusieurs reprises n'importe où en essayant de viser mes gardiens. Quand Tom et mes amis nous rejoignirent, je vis Dumbledord disparaitre et l'humain être vidé de son sang. Comme si des balles allaient arrêter des vampires…
Mes chers amis, avez-vous deviné ce qui venait de se produire ? Personne ne semblait le remarquer même pas Tom qui me prenait dans ses bras pour me protéger au cas où un autre homme débarquerait. Mais je ne pouvais continuer à faire semblant. Mes jambes me lâchèrent.
-Caleb ? S'inquiéta Tom.
Je souris, malgré son charisme, mon Tom serait toujours l'innocent garçon qui avait craqué devant un enfant qui lui tendait un ballon pour jouer. Je lui caressais la joue.
-Désolé, mais il va falloir continuer la guerre seul mon amour.
C'est là qu'il comprit, je le vis dans son regard et il vit ma blessure à l'abdomen.
-Non, non, non, non ! Caleb reste avec moi ! Vous autres allez chercher son père ! Abraxas, Eileen, Jonas lancé tous les sorts de guérisons que vous connaissez.
-Tom tu sais à travers le lien qu'il est trop tard.
-Non ! Je ne te laisserai pas partir. cria-t-il comme pour montrer à la terre entière qu'il ne me laissera pas tomber.
- Promets-moi de protéger les sorciers et d'aider mon père à diriger les vampires s'il s'effondre. Embrasse-moi ! Ajoutais-je.
Ce fut un baiser saler alors que je sentais les efforts vain de mes amis. Mais ce fut quand même un agréable souvenir car j'étais avec mon âme sœur et je sentais cette chaleur m'envelopper doucement et cette voix. Je 'entendais comme un murmure mais je savais qu'elle appartenait à ma mère, mère qui avait périt peut après ma naissance d'une grave maladie sorcière. Elle me chuchotait des paroles tendres, et alors que je pensais qu'elle allait m'emmener avec elle. Je la vis secouer la tête en souriant et prononcer ces quelques mots qui changeraient ma vie à jamais.
-Mon tout petit. Ton heure n'est pas encore venue, à ta naissance je t'ai aimé, si fort que la magie m'a fait un cadeau. Elle connait ton destin et t'accompagnera dans cette nouvelle vie qui commence. Tu ne te souviendras de rien à moins que tu voies ton âme sœur. Sois fort mon amour car la magie va te donner une deuxième vie, mais celle-ci sera remplie d'embuche mais je t'accompagnerai. Sache que je serai toujours avec toi dans ton cœur. Je t'aime mon fils.
