Prologue.

POV Bella.

Bonjours, je m'appelle Isabella mais je préfère que l'on m'appelle Bella, donc pour vous aussi se sera Bella. Je m'appelle Bella, j'ai 17 ans depuis quelques mois, j'ai un frère qui s'appelle Emmet qui a 21 ans qui est éducateur sportif et qui sort avec sa fiancée Rosalie depuis maintenant 3 ans, celle ci est éducatrice pour jeunes enfants et j'ai une sœur jumelle qui s'appelle Alaïs. Je m'appelle Bella et je vit dans l'Arizona avec ma mère et son mari, ma sœur jumelle habite avec Charlie depuis 1 an et mon frère avec Rosalie à Seattle. Je m'appelle Bella et j'ai un petit ami depuis maintenant 5 mois qui s'appelle Jacob, sa fait longtemps qu'on se connait mais nous nous sommes mis ensemble lorsque je suis venue voir Charlie -mon père- pendant les vacances d'octobre, je ne sais toujours pas pourquoi j'ai fait sa d'ailleurs, puisque je ne l'aime que d'un amour fraternel, je pensais que se serai une relation à longue distance enfin jusqu'à ce qu'on m'apprenne que je vais devoir déménager à Forks pour que ma chère mère puisse suivre son mari. Je m'appelle Bella j'ai un passé lourd. Je m'appelle Bella et je vais déménager.

« Bella ma chéri tu es prète ? on va pas tarder à y aller. »

« Oui maman, j'ai juste a prendre de quoi m'occuper dans l'avion et se sera bon. »

« D'accord ma chéri. On peu descendre tes valises ? »

« Oui. Je vous rejoint à la voiture. »

Et ma mère descendis avec mes valises et moi je regardais ma chambre, vérifiant que je n'avais rien oublié. Je pris mon iPod, mon livre des Hauts des Hurlevents, mon journal intime, mon portable, mis le tout dans mon sac à main, mis ma veste et mes chaussures et descendis.

« Ah bah enfin ! On croyait que tu avais fugué ! » Phil et son humour..

« Ah ah très drôle Phil. Mais bon c'est normal que tu t'en préoccupe, tu es tellement pressé que je te laisse ma mère pour toi tout seul. » lui répondis-je sarcastique.

« Bella ! J'avoue tout ! Tu as tout découvert ! Vivement qu'on se débarrasse de toi qu'on sois tranquille ! Hein René chéri ? »

« Arrête d'embêter ma fille avec tes anneries et fini plutôt de tout mettre dans la voiture et dépêche toi si tu veux pas qu'on sois en retard ! »

Prend sa Phil. Ils vont me manquer, beaucoup plus que je ne le laisse transparaitre. Phil et son humour au point mort, on a toujours aimé se vanner tout les deux mais jamais rien de bien méchant. Sa exaspère ma mère, des fois, souvent même, mais je suis sur que sa lui fait plaisir qu'on s'entendent aussi bien et que sa va lui manquer tout sa une fois que je serai plus là.

Nous avons mis une demi heure à arriver à l'aéroport, nous avions ensuite enregistré mes bagages et au moment où je vous parle nous sommes assis dans un café de l'aéroport.

« Les passagers en direction de Port Angeles sont prier de se rendre à la porte d'embarquement. »

« Bon je vais vous laissez. Maman mon billet d'avion s'il te plait. »

« Ah oui excuse moi. Tiens. »

« Merci. »

« Tu fait attention à toi ma chéri, dès que tu es dans la voiture de ton père tu m'appelle, tu parles pas à des inconnus et au moindre problème tu m'appelle sur mon portable ou celui de Phil ou tu appelle Charlie ou Emmett ou Alaïs. »

« Mais oui, t'inquiète pas maman, je suis une grande fille je peux me débrouiller toute seule. Phil tu fais attention à elle. J'essaierai de venir vous voir bientôt. Bon je vais y aller »

Je pris ma mère dans mes bras, la sera fort et l'embrassa.

« Je t'aime maman, tu vas me manquer. »

« Toi aussi tu vas me manquer, embrasse Alaïs et Emmett pour moi. Je t'aime. »

Je pris ensuite Phil dans mes bras en lui rappelant de faire attention à ma mère, il me promis qu'il le fera et de ne pas m'inquiéter. Après un dernier bisou à ma mère je pris mon sac, ma veste et mon billet, leur tourna le dos et avança jusqu'à la porte d'embarquement. Je donna mon billet à l'hôtesse qui me dis d'avancer, je monta dans l'avion, une autre hôtesse m'indiqua ma place, j'étais à coter d'un hublot, un petit garçon et sa mère à coter de moi, puis l'avion décolla. Me voilà partis pour Forks avec un poids sur le cœur, de la tristesse et de l'appréhension.