Titre de la fiction : Renouveau.

Auteur : Masch

Je rappelle que les personnages de cette fiction appartiennent à Stephenie Meyer et que je ne fais que faire mumuse avec eux ...


Bella POV


Ça y est, j'avais embarqué dans l'avion me menant à Forks, chez mon père. Je quittais la chaleur de Phoenix pour aller m'installer dans la ville la plus humide d'Amérique. Pourquoi ? Parce que je voulais laisser vivre ma mère. Elle avait tant pris soin de moi depuis qu'elle et Charlie avait divorcé. Désormais je voulais la laisser tranquille avec son nouveau mari, Phil.

J'avais l'impression de lui tapé sur le système avec ma « mauvaise humeur » constante – selon elle. Mais j'étais comme ça, j'avais 17 ans et je n'étais pas une adolescente comme les autres. Je n'allais vers personnes, et préféré me renfermer dans mes livres et ma musique plutôt que m'ouvrir aux autres. Mais cela ne me dérangé pas. Puis j'étais tellement insignifiante et banale aux yeux des élèves de mon ancien lycée désormais, que je réussissais à me faufiler dans les couloirs sans que quelqu'un m'adresse la parole de la journée. Pour mon plus grand bonheur.
Ma mère m'avait alors qualifié de « sauvage » et je souris à cette idée. Elle disait aussi que de ce côté-là, je tenais de mon père. Charlie … que je n'avais pas vu depuis cinq ans. Cette pensée me fit de la peine, je ne savais même plus pourquoi j'avais cessé de passé les vacances de Noël chez lui comme je le faisais auparavant. J'avais du temps à rattraper.

Je fus sortie de mes pensées quand mon voisin de siège laissa tomber sa tête sur bon épaule. Je tournai ma tête vers l'homme assis à côté de moi et eu un rictus dégouté en voyant un filet de bave sortir de sa bouche. Puis le vielle homme se mit à ronfler. Je poussai un soupire et sortis mon iPod. Une fois mes écouteurs mis dans chacune de mes oreilles, j'optai pour une musique relaxante. C'est pourquoi je choisis de mettre du Yiruma. Je montai le volume à son maximum afin de couvrir les ronflements de mon voisin. Mais en vain, je les entendais toujours. Je soupirai de ma malchance évidemment il avait fallu que je tombe sur un octogénaire ayant des problèmes de salive et de ronflements, puis tournai le visage vers le hublot bien décidé à dormir un peu.

Je fus réveillée par la voix du commandant de bord qui annoncée la descente de l'avion. Je soupirai de soulagement et tournai ma tête vers l'homme assis à côté de moi. Il me fit un sourire que je lui rendis légèrement.

« - Désolé de mettre endormis sur vous charmante demoiselle, dit-il.

- Ce n'est rien. Je ne m'en étais même pas rendu compte, mentis-je. »

Puis se fut rapide. L'avion atterrit. J'essayai de m'infiltrer dans la masse de gens qui s'agglutinée à la sortie de l'appareil. Je parvins avec un peu de mal à sortir, puis une fois dans l'aéroport, je cherchai Charlie des yeux. Je le repérai assez vite et lui fit un sourire gêné. Il s'approchât de moi et me serra dans ses bras après un moment d'hésitation.

« - Ton voyage s'est bien passé ? me demanda-t-il en me relâchant.

- Oui, ça a été. »

Un silence pesant fit surface. Cela faisait tellement longtemps qu'on ne s'était pas vu que les retrouvailles donnèrent naissance à un malaise entre nous.

« On va chercher ma valise ? lui demandai-je pour rompre le silence. »

Il hocha la tête en signe d'approbation et nous dirigeâmes vers le tapis roulant. Je repérai ma valise et la saisie.

« - Donnes, je vais la prendre, me dit Charlie en tendant la main. Ca me fait plaisir de te revoir Bella, dit-il après une pause.

- Moi aussi. Je suis heureuse de venir vivre ici, dis-je même si ça n'étais pas totalement vrai. »

Le silence revint. Nous nous dirigeâmes vers sa voiture. Une fois devant celle-ci, Charlie chargea ma valise dans le coffre et je montai à l'avant à côté de lui.
Pendant une longue partie du trajet nous ne parlions pas laissant place au silence toujours aussi pesant qu'à l'aéroport.

« - Tu as changé, me dit-il

- J'espère bien en deux ans. Je lui fis un sourire.

- Tu as l'air plus … plus … rebelle, dit-il en me regardant du coin de l'œil pour rester concentré sur la route.

- Ah … et … qu'est-ce qui te fait penser ça ? lui demandai-je un peu étonné.

- Hum … peut être ta façon de t'habiller. »

Je regardai rapidement mes vêtements. Je portai un jean troué avec mes Dr. Martens et t-shirt noir un peu trop large avec écrit en gros « Guns'n'Roses ». J'avais pris ce t-shirt à Phil, le nouveau mari de ma mère, quand il était venu s'installer chez nous. Il m'avait laissé fouiller dans les cartons qui étaient réservés à ses affaires d'adolescent. Je lui avais piqué presque tous ses t-shirt de groupe de rock. Y'avait pas à dire, il avait du gout niveau musique.

« - C'est juste une apparence, lui répondis-je.

- Mmh. Ta mère n'a pas du apprécier, dit-il avec un sourire.

- Non, pas du tout, dis-je en laissant échapper un rire. »

Charlie tourna dans une rue. Je souris en reconnaissant sa maison … ma maison. Il se gara et se tourna vers moi.

« - Et voilà, dit-il en coupant le contact.

- Rien à changé. »

Il me sourit, puis descendit de la voiture pour prendre ma valise. Je le suivi vers la maison. Il s'arrêta sur le perron pour ouvrir la porte, me laissant passer la première. Je regardai un peu partout, rien n'avait bougé, comme si le temps s'était figé. Charlie me regarda avec un petit sourire. Je savais qu'il était heureux de me revoir, mais n'étant pas très extraverti il ne laissait passer presque aucune émotion sur son visage.
Il me fit signe de monter. J'allai directement dans ma chambre, il me suivait avec ma valise.

« - J'ai laissé comme c'était depuis la dernière fois que tu es venu, me dit-il.

- Oui, merci.

- Bien … euh … je te laisse t'installer. Si tu veux nous irons manger au restaurent ce midi, puis faire des courses car il n'y a rien a mangé ici, dit-il un peu gêné me sembla-t-il. A moins que tu préfère te reposer, j'irais faire les courses seul. Mais ça m'embête parce que je ne sais pas trop ce que tu aime, m'avoua-t-il en se grattant l'arrière du crane.

- Pas de soucis, je viens avec toi, ça ne me dérange pas du tout. Je regardais l'heure sur mon portable, 11h08. On peut même y aller maintenant, lui dis-je.

- Tu ne veux pas t'installer avant ?

- Hum … j'ai un peu faim, en fait. Il me sourit. J'appelle maman pour lui dire que je suis bien arrivée puis on peut partir.

- D'accord. Passe-lui le bonjour. »

J'acquiesçai, puis il descendit. Je composai le numéro de ma mère et mis mon portable a l'oreille. Après deux sonneries, elle décrocha.

« - Allo ?

- Maman, c'est moi. Ca y est, je suis chez Charlie.

- J'ai cru que tu ne m'appellerais jamais ! Ton voyage s'est passé ? Ca n'a pas été trop long ?

- Non, ca a été.

- Tu t'installe ?

- Pas encore, je vais aller faire des courses avec Charlie. D'ailleurs il te passe le bonjour. Je l'entendis soupirer.

- Bien, euh … je fais envoyer tes cartons dès aujourd'hui alors.

- D'accord … merci.

- Bon, ne fait pas attendre ton père. Il y eu un silence. On s'envoie des mails de toute façon.

- Oui, pas de soucis. Bisous maman.

- Bisous Bella. »

Elle raccrocha aussitôt. Je regardais encore une fois ma chambre puis descendis rejoindre mon père.

« - On peut y aller.

- Ta mère va bien ?

- Ouais ça va. Elle envoie mes cartons aujourd'hui. »

Il hocha la tête puis nous sortîmes pour aller à la voiture. Nous arrivâmes assez rapidement au restaurent. Il me montra fièrement à tout le monde. Nous mangeâmes assez vite. Nous ne parlions pas trop durant le repas. Il paya puis nous partîmes vers le supermarché. Une fois arrivé, il prit un caddie et nous entrâmes.

« - Surtout, prend tout ce dont tu as besoin.

- Ne t'inquiète pas. Tu as une liste ? Il me la tendit. Je l'examinai, il n'y avait que des plats à réchauffer. Tu ne mange que des trucs déjà préparés ? lui demandais-je surprise.

- Euh … oui. Je ne sais pas cuisiner. Même faire cuire des pates pour moi c'est le bout du monde. Après avoir fait brulé ma troisième casserole j'ai abandonné l'idée de me préparé à mangé, rigola-t-il.

- Eh bah je vais remédier à ça alors. Je lui fis un sourire qu'il me rendit. »

Nous faisions nous courses depuis bientôt une heure. On avait un peu discuté. Il m'avait dit qu'il m'avait inscrit au lycée et que je rentrais lundi. Ce qui me laissait moins de deux jours pour m'installer. Mais bon je n'avais pas tant d'affaire que ça pour le moment. Nous avions finis et nous nous dirigions vers les caisses mais une voix héla Charlie. Nous nous retournions en même temps. Je fus surprise en voyant trois personnes avancé vers nous. Il y avait une femme d'une quarantaine d'année, elle avait d'épais cheveux châtains qui tombés sur ses épaules, de magnifiques yeux verts et une peau parfaitement lisse. Elle avait les trais fin et un sourire serin. A côté d'elle il y avait un homme assez grand, il était blond, ses cheveux était parfaitement coiffé, son visage était un peu carré, il avait de magnifique yeux marrons, et tout comme là femme à côté de lui il avait une peau impeccable. Puis je tournai mon regard vers la dernière personne, une fille qui devait avoir mon âge mais qui était assez petite et menue, elle avait de courts cheveux noirs corbeau, ses yeux étaient similaires à celui de l'homme, elle était parfaitement maquillé pour mettre en valeur son visage fin semblable à celui de la femme. J'en déduis qu'ils étaient ses parents. Tous trois étaient parfaitement bien habillés et se déplacés avec une grâce naturelle. Sur le moment je me regardai et je me dis que je devais faire honte à mon père. Une fois à notre hauteur, la femme me fit un sourire chaleureux et pris Charlie dans ses bras.

« - Bonjour Esmée, comment vas-tu ? lui demanda mon père.

- Je vais bien merci. Elle arborait toujours son sourire.

- Je vous présente Bella, ma fille, fit Charlie.

- Enchantée, je suis Esmée. Elle me serra dans ses bras, je fus gêné et ne savais pas comment réagir. Charlie n'avait pas mentis, tu es magnifique, me dit-elle en me relâchant. »

Je me sentis un peu rougir et jeta un regard a Charlie qui avait détourné les yeux visiblement gêné aussi. Je n'eu pas le temps de répondre que l'homme avait enchainé.

« - Je suis Carlisle Cullen, je suis ravis de faire ta connaissance depuis le temps que ton père n'arrêtait pas de parler de toi. Il sourit et me sembla encore plus beau. Je répondis à son sourire.

- Ca va n'en rajoute pas Carlisle, rit Charlie. Carlisle est le médecin de Forks, et mon meilleur ami quand il évite de me mettre mal à l'aise devant ma fille. Je laissai échapper un rire. »

Je lui fis un large sourire. Puis je sentis quelqu'un me serrait contre lui. Je baissai la tête et vis le petit boue de femme qui m'avait rendu jalouse de par sa beauté il a quelque seconde.

« - Bonjour, je suis Alice ! J'avais hâte te rencontrer. Je suis contente d'être la première à la faire, les autres vont être jaloux ! dit-elle à toute vitesse. C'est super on va être au lycée ensemble. Je suis pressée de te présenter à Jasper, Rose, Emmett et Edward. Elle me reprit dans ses bras puis se recula d'un coup. On pourrait aller faire du shopping Toi, Rose et Moi. Ce serait super, non ? Elle sautilla sur place. Je jetais un regard paniqué vers mon père qui était visiblement amusé.

- Doucement Alice, tu vas l'effrayait, lui dit doucement Esmée.

- Mais naaaaan. Alors ça te dis Bella ? elle me regarda avec un air suppliant.

- Euh … euh … d'accord, dis-je avec un sourire un peu forcé. Je déteste le shopping. C'est pas mon truc.

- On pourrait se faire ça dans la semaine, un après midi après les cours. On avisera en fonction de nos emplois du temps. J'acquiesçai.

- Bien, on va vous laissez finir, vous devez avoir des choses à faire, nous dis Esmée. Je vous invite à dîner lundi soir.

- Pourquoi pas se soir ou demain soir ? demanda Alice.

- Il faut laisser le temps à Bella de s'installer, dit calmement Carlisle.

- Ok, soupira Alice.

- Bon, dans ce cas à lundi. Vous embrasserez les jeunes pour moi, dit Charlie en faisant une accolade viril à Carlisle.

- Bon, on se voit lundi au lycée Bella. Elle me serra à nouveau dans ses bras.

- Oui. A lundi. Je fis un sourire à Esmée et Carlisle. »

Je les regardai partir avec leur démarche gracieuse. J'en étais jalouse.
Charlie paya une fois arrivé à la caisse. Nous chargeâmes tous dans la voiture puis rentrâmes à la maison. Je l'aidai à porter les sacs jusqu'à la cuisine. J'allais commencer à ranger mais il me dit d'allé me reposer un peu et d'allé installer mes affaires. Je lui fis un sourire et montai dans ma chambre. J'enlevai mes chaussures et des sortis baffles de mon sac pour pouvoir brancher mon iPod. Je mis les Runaways pour me motiver et commençai à sortir mes vêtements de ma valise. Tout en les rangeant, je repensai à Alice. Elle avait du être horrifié de la tenue que j'avais, elle avait l'air si classe et a la pointe de la mode. Puis je fus dépité en me rappelant que j'avais accepté de faire les magasins avec elle et une dénommée « Rose ». Elle devait surement être magnifique pour être amie avec Alice. Je soupirai. J'allais surement faire tache avec elles.
J'avais enfin finis de ranger mes affaires, je m'étalai sur le lit. Puis je ressentis comme un manque. Je soupirai et me relevai sur les coudes, Charlie était appuyé contre l'encadrure de la porte.

« - Tu as finis ? me demanda-t-il

- Ouais, dis-je en me levant pour éteindre la musique.

- Ça n'a pas l'air d'allé. Il te manque des choses ?

- Bah j'ai laissé ma guitare à Phoenix. J'ai voulu la prendre directement dans l'avion avec moi, mais il fallait payer un billet en plus du coup je l'ai laissé. Mais maman va me l'envoyer avec mes cartons. J'espère qu'elle ne va pas s'abimer ! Sinon j'étripe le livreur.

- Tu … tu fais de la guitare ? dit Charlie étonné.

- Ouais ça fait trois/quatre ans.

- Je suis pressé de voir ça tiens ! il sourit.

- Je te montrerais si elle arrive en un seul morceau.

- Si Renée a envoyé les cartons aujourd'hui, ils devraient arriver mardi ou mercredi je pense.

- Mmh. Eh bien je suis pressée de les avoir. Je lui souris. Bon allé je vais te faire à manger. »

Je descendis dans la cuisine et fouillai un peu dans les placards. J'allai faire un truc rapide. Je sortis tout ce qu'il fallait et commencé à tout faire cuire. En attendant je mis la table. Une fois que tout fut prêt j'appelai Charlie. Il arriva vite et s'assis. Nous mangeâmes sans vraiment trop parler car je savais qu'il essayait d'écouter le match qui passait à la télé. Une fois qu'on eu tout les deux finis je commençai à débarrasser.

« - Tu les connais depuis longtemps les Cullen ? demandai-je.

- Euh … ça doit faire à peu près quatre ans qu'ils sont arrivés à Forks.

- Comment les as-tu rencontré ?

- Eh bien en tant que shérif, j'ai du en quelque sorte les accueillir et le courant est tout de suite passé avec Carlisle, répondit-il en rigolant. Depuis on ne se lâche plus. Je vais régulièrement manger chez eux, Esmée à l'impression que je meurs de faim.

- C'est pas étonnant avec ce que tu avais dans tes placards, dis-je un peu sarcastique. Il lâcha un rire.

- Les Cullen sont les gens les plus généreux qu'il m'ait été donné de rencontrer. Et leurs enfants sont tout aussi gentils que leurs parents.

- Leurs ? demandai-je étonné.

- Oui, tu as vu Alice tout à l'heure. Un vraie pile électrique cette fille. Je rigolai. Mais ils ont deux autres fils, Emmett et Edward.

- Mmh mmh.

- Puis il y a Rosalie et Jasper, qui sont les conjoins d'Emmett et Alice. Ils vivent chez les Cullen.

- Ah bon ? Pourquoi ?

- A ce que j'ai pu comprendre les parents de Rosalie et Jasper sont décédés, et étant des amis des Cullen, Esmée à décidé qu'ils viendraient vivre avec eux. Désormais elle les considère comme ses enfants. J'hochai la tête comme signe de compréhension. Tu devrais bien t'entendre avec eux.

- Je vais aller me coucher, je commence à être fatigué, dis-je.

- D'accord. Bonne nuit.

- Bonne nuit. Je commençai a monté les escaliers.

- Et surtout si tu as besoin de quelque chose n'hésite pas Bella.

- Oui, merci. »

Je finis de monter les escaliers et allai dans ma chambre. J'enlevé mon pantalon et mon t-shirt puis pris un débardeur dans mon placard. Je l'enfilai et me mis dans mon lit. J'eu à peine le temps de me rendre compte que je commençai une nouvelle vie que je sombrai dans le sommeil.


Bonjour, bonjour.

Voilà mon premier chapitre, je me suis lancé.

J'aimerais avoir votre opinion pour savoir si je dois continuer cette fiction ou pas.

Merci a celles qui ont lu. Bisous, et j'espère a bientôt pour un nouveau chapitre.