MOUHAHAHAHAHAHAAAA

Bonjour les gens !

Bon voila , je rigole comme un psychopathe par ce que je stress (et aussi par ce que c'est dans ma nature) , c'est le premier chapitre de la première fiction que je publie ! J'ai du bidouiller sur mon ordinateur pendant 15minutes pour arriver à la publier u_u . Un geek qui ne sais pas se servir de sont ordi , c'est beau hein ?

Bon allez j'arrête de raconter des conneries et je vous laisse lire ! Je remercie de tout mon superbe organe qui pompe le sang ma beta reader fyekawai qui à sut rendre ce texte lisible ! Ovation !

Bon voilà , je vous laisse lire (remarquez que je met toujours des "bon" au début de mes phrases c'est fou hein ? Sans doute l'accent du Sud Ouest qui - Ouiiiiii j'arrête !)


8 h 17 - Tokyo

POV Akira

Cinq mots, cinq mots qui résonnent à mes oreilles comme le glas, la sentence, la condamnation et ... la mort !

Sa voix glaciale s'élève pour les prononcer. A eux seuls, ils déchirent le silence. Je suis là, assis à même le sol, lui sur son fauteuil. Il me regarde .Il se sent supérieur. Il se délecte de ma position de faiblesse. Je sens ses mots qui s'insinuent en moi comme un poison dans mes veines. Je sombre peu à peu dans le désespoir. Il aime cette vision. Je le sais. Il décroise ses jambes puis se lève. Il me surplombe maintenant de toute sa stature. Il attend le bon moment pour attaquer. Il attend le bon moment pour m'achever avec ces mêmes mots. Il veut me faire craquer. Je le connais. La tension monte. Je suis sur le point de craquer. Ca l'amuse. Je vais craquer. Lentement il répète ces cinq mots :

-Demain c'est la rentrée.

Ca y est je craque.

-Naaaaannnn, je veux pas !

-Arrêtes tout de suite de chouiner comme un gosse ça m'insupporte au plus haut point, me dit-il sèchement, me regardant avec autant de sympathie que quelqu'un qui croise un ver de terre de 45 centimètres de long, blanchâtre, visqueux, en train de se tortiller lamentablement sur le sol.

- Akira, reprit-il, tu as 20 ans, tu vas rentrer en prépa pour deux ans et ensuite tu auras encore à faire des études de 3ans pour obtenir le métier dont tu rêves mais tu fais un caprice dès qu'on te rappelle que tu vas devoir bosser, c'est pitoyable.

- Merci Ulqui j'adore me sentir apprécié !

- Mais je t'apprécie, avec toi j'ai toujours un sujet de réflexion : Qu'est-ce qui est le plus profond chez Akira Itoigawa ? Le gouffre de son ignorance ou celui de sa stupidité ? Telle est la question ...

- Dis donc tu es vraiment charmant comme mec !

- Y a que la vérité qui blesse ...

Et sur ces belles paroles, il me tourne le dos et disparais derrière le comptoir de la cuisine.

Quel petit con. Il frappe toujours là ou ça fais mal. La rentrée ... Demain ... Rhhhaaaaa ! Non ne pas y penser ! Allez Aki, tu as encore 5h de temps libre. 5h ... j'ai le temps de faire quoi en 5heures ?

Je me décide enfin à me relever et jette un coup d'œil à la cuisine où Ulquiorra est en train de s'ouvrir une canette de coca zéro, dodelinant la tête de gauche à droite en chantonnant Dance with the devil. Tout d'un coup une idée jaillit dans mon esprit:

-Hey Ulqui', lâche tout de suite cette canette, on va en boite et c'est moi qui paye !

- Pas question. Je dois réviser pour être à jour demain.

-Allez quoi ! C'est la dernière soirée ou on est libre, après on va devoir bûcher alors autant en profiter !

Après une bonne heure à juger le pour et le contre, Ulquiorra décida finalement de m'accompagner, mais il me promit que si je finissais bourré, je pourrais toujours me brosser pour qu'il m'aide. Je le remerciais encore et encore d'avoir accepté puis me précipitais vers la salle de bain pour m'habiller correctement.

Après encore une bonne heure à choisir ma tenue, je passais une dernière fois la main dans mes cheveux et observais mon reflet dans la glace :

Je portais une chemise rouge bordeaux et un pantalon noir, mon tatouage au henné que j'avais fait faire avec Ulquiorra (il c'était lui même fait tatouer un 4 sur le pectoral gauche) me recouvrait toute la main gauche. Mes cheveux noir, qui habituellement partaient dans tout les sens avait finalement été discipliné à grand coup de gel fixation béton (l'oréal) et mes yeux étaient foncés par un trait d'eye-liner et un trait de khôl. Car oui même si je suis un homme. (mon prénom peut prêter à confusion mais je suis bien un homme. Vous voulez une preuve ? Non ? Ha bon.) Je me maquille et je fais attention à mon look. Et non je ne m'intéresse pas aux hommes contrairement à Ulquiorra qui ne regarde qu'eux (et vice-versa vu comment notre ancien professeur de Gym le bouffait littéralement des yeux quand il se changeait).

Je rejoins mon coloc dans le salon, il portait une tenue légèrement semblable à la mienne, son pantalon était un slim noir qui moulait agréablement son postérieur, sa chemise était grise et ses manches étaient remontées au 3/4 laissant voir ses avant-bras blancs et musclés, ses poignets auxquels étaient accrochée quelques bracelets de force et ses longs doigts fins terminés par des ongles vernis en noir. Il possédait aussi un borsalino foncé et une écharpe verte qui jurait incroyablement avec ses yeux - yeux qu'il avait apparemment maquillé vu qu'ils avaient l'air de s'être encore agrandi de quelques centimètres et lui donnait ainsi un air de Chat Potté - . Heureusement que je n'aime pas les hommes, sinon je suis sûr que j'aurais déja commis un viol.

Une fois la porte refermée, Ulquiorra enfourna les mains dans ses poches avec une moue boudeuse - comme d'habitude en fait - et commença à marcher d'un pas vif jusqu'a la boite ou nous avions nos habitudes. Je dus courir pour le rattraper, une fois arrivé a sa hauteur , je me mis à marché à sa droite , le vent frais du soir fouettant légèrement mon visage .

Dans la boite, après quelques verres d'un liquide transparent qui n'était certainement pas de l'eau, Ulquiorra commençait à être plus joyeux et bavard (oui oui oui, Ulquiorra peut être bavard ... quand il est bourré certes mais quand même !) moi même je tanguais de gauche à droite et je rencontrais quelques problèmes d'élocution mais je m'amusais follement. Quatre tables plus loin, je distinguais une jeune femme avec un visage doux et de longs cheveux blonds. Celle là elle est pour qui ? Pour Bibi ! Mais c'est qui Bibi ? Ben t'façon ya pas de Bibi ici alors elle est pour Aki' Héhéhééééé !

Et c'est sur ces pensées hautement intellectuelles que je m'approchais de la table où se trouvait la jeune femme en question accompagnée d'un autre homme , vraisemblablement du même âge (ou même un peu plus vieux), qui possédait des lunettes à montures rectangulaires et des cheveux rose mi-longs ... minute , rose ? ROSE ? Houhouhou je sais pas ce que j'ai bu mais ca devais contenir un putain de niveau d'alcool houhouhou ...hu ...houhou ...

Arrivé à leur hauteur, je m'appuyais sur la table pour ne pas me casser la gueule par terre et ainsi rater misérablement ma tentative de séduction. C'est à ce moment là que je remarquais que la "Nana" qui m'intéressait n'avait pas de poitrine. Dommage, pensais-je, moi qui suis amateur de gros bonnets, ch'ui pas gâté sur ce coup là !

-Hé mec ! J'peux t'emprunter ta blondasse qu'que secondes ? T'inquiètes, J'lui f'rais rien, suis un mec sympa moi ! Lui fis-je avec un sourire niais.

Bizarrement, au moment où je prononçais ses mots, le plus vieux me lança un regard noir et ouvrit la bouche en détachant bien chaque syllabe :

- Le mec que t'a appelé "Blondasse" c'est mon grand frère sinistre con. ...démonte.

Je dessaoulais d'un coup, nom d'une pipe (à prendre dans les deux sens du terme) c'était un mec, ça ? Et en plus Barbie-Boy est son PETIT frère ? Im-po-ssible, pour la simple et bonne raison qu'on dirait qu'il y a 20 ans d'écart entre les deux .

- P'tain mais depuis quand les mecs ressemblent à des gonzesses, où va l'monde ? Ca s'voit qu'vous êtes dans la même famille, y vous manque tout les deux une case, l'un s'shoote au botox et l'autre s'amuse à s'faire péter des chewing-gums dans la gueule, nan mais moi j'dis : OU VAS LE MOOONDE ?

-TA GUEULE AU FOND TU CASSE L'AMBIANCE ALORS FAIT PAS CHIER !

Je me retourne pour voir d'où vient la voix qui m'a hurlée ces douces paroles et je vois un homme avec des cheveux bleu (je le redis : où va le monde ?) torse nu - je l'ai apparemment interrompu un plein strip-tease - à califourchon sur les genoux de ...

-ULQUIIOOOORRAAAAA !

POV Grimmjow, peut de temps avant.

-Kuso ! M'exclamais-je après avoir rembarré une énième fille voulant me draguer. Y a aucun mec potable ici ! Je levais la main et commandais à un serveur qui passait par là une autre coupelle de saké. Shinji venait de me plaquer pour partir aux U.S.A avec l'homme de sa vie et ne m'avais pas dit ça de manière très délicate. Il c'était ramené à notre lieu de rendez-vous avec ce "Kensei", l'avait embrassé à pleine bouche puis c'était tourné vers moi et m'avait lancé cette phrase en pleine figure : "Désolé Grimm' mais j'te quitte, comme tu le vois j'ai un nouveau petit-ami mille fois mieux que l'ancien -toi en l'occurrence- et je compte bien aller me marier avec lui à San Francisco ! Allez soit pas trop triste et porte toi bien, Sayonara !"

Rien que de repenser au sourire de cet idiot au moment où il avait prononcé ces mots me donnait des envies d'homicides. J'essayais désespérément de calmer ma rage quand je vis passer sous mes yeux une paire de fesses des plus alléchantes. Je fis glisser mon regard sur la silhouette qui s'asseyait sur un tabouret en face du barman et priait très fort pour que ce soit un homme ...

Soudain, ma cible tourna la tête dans ma direction et je pus apercevoir quelques secondes ses deux orbes vertes. Bingo ! me dis-je avec un grand sourire carnassierNon seulement c'est un homme, mais en plus c'est un canon ! On va bien s'amuser !

J'attrape la main de la serveuse venue m'apporter ma boisson et lui murmure quelques mots à l'oreille.

" Maintenant ma belle, Tu vas aller proposer verre de vodka sur verre de vodka au mignon petit jeune homme là-bas, s'il fini bourré, t'auras un joli p'tit pourboire ! "

Je lui fis un clin d'œil puis la chassais, reportant mon attention sur le gothique qui venait de commander avec un ami. L'ami en question semblait lorgner sur Ilforte.Tant mieux ! Un concurrent de moins !

Après quelques minutes, où je voyais la serveuse faire des aller-retours entre le comptoir et le verre du brun, ma proie commençait à avoir les joues rosies et elle chancelait sur son tabouret. Quand enfin son ami partit vers la table des frères Grantz, je me relevais et me dirigeais vers le comptoir, m'asseyant avec innocence à coté du noiraud. Sentant ma présence, il tourne la tête vers moi. Là je constate qu'il commence à tourner de l'œil, Il est pas bourré, il est complètement pété oui !Je me retourne vers la serveuse - "Chloé" qu'elle s'appelle d'après son badge - qui m'a aidé à le faire sortir de son caractère de coincé et lui tend une petite liasse de billets, elle compte pour combien il y en a puis m'adresse un grand sourire et disparait de mon champ de vision pour aller servir d'autres clients. Il faut dire que j'y ai mis les moyens, il y en avait pour au moins 20 000yens la dedans mais elle les mérite cette brave petite, elle va m'offrir le meilleur coup de toute ma vie sur un plateau !

Le barman m'apporte une nouvelle coupelle de saké que je tend sans hésitation à mon vis-à-vis, il la regarde quelques secondes d'un œil suspicieux puis l'attrape et l'avale d'une traite. Du saké cul sec ? C'est pas mal du tout sa ! Je vais finir par croire que j'ai l'œil pour dénicher les perles rares !

- Je peux savoir le nom de l'homme qui a une si bonne descente ? Lui demandais-je avec un sourire charmeur.

- Ul...Ulquiorra ... Schiffer ...e-et vous ?

Hé ben ! Si y met 3plombes à dire chaque syllabe on va pas avancer très vite ! Faudrait accélérer un peu ! Me dis-je avec une pointe d'exaspération.

Chose dite chose faite, je décide de passer à l'étape supérieure.

-Je m'appelle Grimmjow. Grimmjow Jaggerjack. Ami dit moi, quel âge tu as ? Tu n'as pas l'air d'être majeur alors je me pose la question ...

Sujet de conversation bidon mon cher Grimmjow ! Bien sur qu'il est majeur sinon il n'aurait jamais pu entrer !

Pendant que Ulquiorra me certifiait que oui, il était majeur, j'élaborais un "plan d'attaque" dans ma tête, s'il possédait autant d'équilibre que de lucidité à ce moment précis, mon plan allait marcher comme sur des roulettes.

Ou-Oui je suis majeur ... j'ai ... heu ... 21ans depuis ... Dé-Décembre te je -PLAAANK !

J'avais donné un grand coup de pied dans son tabouret et comme je l'avais prévu, il ne s'était pas rattrapé à temps et avait donc fini à terre avec sa chaise. Il était encore sous le choc, c'était le moment où jamais. Ni une, ni deux, avant qu'il ait le temps de réagir je passe un bras sous ses épaules, l'autre sous ses genoux et je le soulève, l'entrainant avec moi vers un futon à quelques mètres de là.

Je le pose délicatement sur le canapé puis m'assied à califourchon sur ses genoux.

-C'est malin, lui lançais-je, tu as du saké sur ta chemise maintenant, il va falloir nettoyer tout ça ! Je plante mon regard dans le sien, lui défais son écharpe et la lance sur le sol, puis je m'attaque à sa chemise que je fais glisser sur ses épaules pâles et me délecte quelques instants de la vue : son torse imberbe est incroyablement blanc, je devine de légers muscles sur son ventre et un magnifique 4 trône fièrement sur son pectoral gauche.

Je lui passe la main dans les cheveux, faisant tomber son borsalino à côté de lui. Il ne réagit pas. Super. Je sors ma langue d'entre mes dents et commence à lui tracer un long sillon humide sur la clavicule. Il pousse un léger soupir de bien-être. Parfait. Je descends un peu, lèche le contour de son tatouage et suit la ligne de ses muscles pour arriver au niveau de son ventre, là je plonge ma langue dans son nombril. Il se tortille un peu. Exactement ce que je voulais. Je remonte et m'attaque enfin aux deux boutons de chairs déjà légèrement durcis. Je fais jouer ma langue puis mes dents se joignent à la partie. Là il commence à gémir. Jackpot ! Je souris comme un fou puis décide d'enlever le T-shirt avec lequel je suis habillé -mes mouvements sont extrêmement lent, histoire qu'il comprenne où je veux en venir- puis le lance à côté de ses vêtements.

Je bascule vers lui et dévore ses lèvres, puis je me penche encore un peu en avant et lui mordille l'oreille.

-Alors Ulquiorra, ça te plait ? T'en veux plus ? Si tu veux je peux -

- [...] OU VAS LE MOOONDE ?

Je fais volte-face, toujours sur les genoux d'Ulquiorra et vois son ami en train d'engueuler les frères Grantz. Alors que je m'apprêtais à retourner au travail que j'avais délassé il y a quelques secondes - soit faire ce qu'il faut pour sauter l'ébène- un détail fit se gâter la situation. Ulquiorra avait penché la tête pour voir la personne qui avait montré que ses cordes vocales étaient en parfait état de marche et venais de reconnaître son pote.

-A...Akira ?

Merde, il commence à se rendre compte de ce qui lui arrive, à cause de cet abruti d"Akira" ma proie va me filer entre les doigts ! Je rage intérieurement, il faut que je trouve un moyen pour que la situation revienne à la normale alors je fais la première chose qui me viens à l'esprit : gueuler.

-TA GUEULE AU FOND TU CASSE L'AMBIANCE ALORS FAIT PAS CHIER !

Maintenant c'est au tour d'Akira de faire volte-face, il me fixe méchamment, je m'apprête à lui rendre son regard quand je sens quelque chose bouger sous moi. Je sens que le gothique commence à s'agiter. Merde ! S'il bouge trop il va entrer dans le champ de vision de son ami qui va lui aussi le reconnaître. Re-merde ! Si son pote le voit je suis grillé! Il faut que je trouve un moyen pour qu'il ne voie pas Ulquiorra! Malheureusement je ne peux pas faire rempart de mon corps, étant encore installé sur les genoux du noiraud, si je bouge je me casse la gueule. Arg ! Je vais me faire griller! Merde, Merde, Merde! Le regard de l'emmerdeur viens d'être attiré par autre chose, il voit l'écharpe verte par terre, il fais remonter son regard et croise les yeux de la personne derrière moi.

-ULQUIIOOOORRAAAAA !

Grillé.


MOUHAHAHAHAHAHAAAA !

Mon dieu , j'en reviens pas d'avoir osez publier ça .

Allez , j'arrête la le massacre ! Je publierais sans doute d'autre chapitre de cette monstrueuse connerie quand vous vous serez calmer et que vous aurez reposé ses fourches !

Bon , (tiens encore un ! mais c'est une véritable manie ma parole!) je vous laisse choisir si vous voulez me donner une rewiew ou pas , j'accepte autant le négatif que le positif !

Merci d'avoir lu ! Arigatoooooo :3

Si vous laissez une rewiews , vous aurez fait plaisir à un pôôôvre petit garçon pas si petit que sa . Vous vous sentirez comme le père noel , à faire plaisir à des petits n'enfants ! ( Non ? Vous êtes sûr ? Bon daccord ...)