Bonjour =D . Alors ci-dessous se trouve le premier chapitre de ma nouvelle fiction : Quand vengeance rime avec innocent. A l'origine, celle-ci était basée sur le couple Ziva/Gibbs mais après un petit sondage, le tiva l'a emporté ( sans grande surprise ^^ ) . Je commence donc par la publcation de cette version mais l'originale sera tout de fmême mis en ligne dès que celle-ci sera fini d'être publiée.
Bon je vous laisse donc en compagnie de ce chapitre en espérant qu'il vous plaira =) . Bonne lecture .
Chapitre 1.
Aujourd'hui, vendredi 19 décembre 2009, était une de ces journées froide d'hiver où on aimerait mieux rester emmitoufler sous sa couette, au fin fond de son lit, plutôt que de venir travailler.
C'est exactement à cela que pensait l'agent spécial Anthony DiNozzo lorsqu'il franchit les portes de l'ascenseur afin de rejoindre ses collègues. Ceux-ci étaient assis à leurs bureaux, essayant de s'occuper du mieux qu'ils le pouvaient. En effet, à l'approche des fêtes, les enquêtes se faisaient beaucoup plus rares. A croire que les criminels préféraient attendre la nouvelle année pour profiter une dernière fois des festivités en famille. Il passa donc devant les autres agents, les saluant chacun leur tour, et rejoignit son bureau.
- En retard DiNozzo, déclara Gibbs.
- Je sais patron, désolé, répondit-il. Une personne m'en a fait voir de toutes les couleurs ce matin et m'a mise en retard.
Tout en prononçant cette phrase, il regarda en direction de la jeune femme où il put constater que cette dernière s'obstinait à garder les yeux rivés sur son écran d'ordinateur, feignant de ne pas l'avoir entendu. Cependant, le petit sourire qu'elle afficha lui prouva le contraire. C'est donc ravi de son petit effet qu'il s'installa derrière son bureau et qu'il se mit dans l'obligation de se trouver, lui aussi, une quelconque occupation.
A 10h30, on les retrouva dans une situation assez inhabituelle. McGee, installé au côté de Gibbs, initié ce dernier aux joies de l'informatique ; lui apprenant les principes de bases. Ziva, quant à elle, se trouvait assise sur le bureau de Tony, en train de rire avec celui-ci.
Ce genre d'échanges entre les deux personnes étaient devenu beaucoup plus fréquent au cours des dernières semaines ; leur complicité n'en ressortant que plus forte. Tout le monde l'avait bien évidemment remarqué, mais personnes n'osaient faire la moindre remarque, de peur des représailles qui pourraient suivre de la part de la jeune femme. Mais ce qui les étonna encore plus fut le fait que Gibbs est décidé de fermer les yeux face à ce rapprochement.
12H00 sonna. Tandis que Ziva et Tony s'étaient absentés afin d'acheter le déjeuner, McGee et Gibbs furent rejoint par Abby et Ducky qui, comme à son habitude, racontait à la jeune femme une de ses nombreuses anecdotes dont lui seul avait le secret.
Quelques minutes plus tard, l'ascenseur s'ouvrit pour en laisser sortir un coursier. Étant un habitué, il de dirigea sans mal vers sa destination afin de remettre à son destinataire une enveloppe qu'on lui avait confié plus tôt.
- Bonjour, déclara t-il une fois arrivé aux bureaux. L'agent David n'est pas là ?
- Bonjour, lui répondit à son tour McGee. Non elle est sortie mais elle ne devrait pas tarder à revenir.
- J'ai ici un paquet pour elle.
- Donnez-le-moi et je le lui transmettrai, décréta Gibbs.
Sachant qu'il était préférable pour lui de ne pas discuter les ordres du chef d'équipe, il se dirigea donc vers ce dernier et lui remit l'enveloppe après que celui-ci est signé le reçu.
La principale intéressée refit son apparition cinq minutes plus tard, visiblement engagée dans une discussion plaisante à l'écho de son rire qui résonnait à travers l'open.
- Tu n'exagère pas un peu Tony ? l'entendit-on demander.
- Non pas du tout. Si tu aurais été là tu ne dirais pas la même chose. Je te jure Ziva, c'est un véritable monstre...
- Monstre que tu adores, précisa-t-elle.
- Oui c'est vrai mais …
- Qui adores-tu DiNozzo ? L'interrompu Gibbs.
- Personne boss, personne, répondit-il.
- Ziva, un paquet est arrivé pour vous. Il est sur votre bureau.
- Merci Gibbs.
Elle distribua, avec l'aide de Tony, les repas à chacun des membres de l'équipe avant de se diriger vers son bureau et d'être rejoint, sans grande surprise, par le jeune homme quelques secondes plus tard.
Elle prit alors l'enveloppe, l'ouvrit et en sortit la lettre qu'elle contenait. Au fur et à mesure de sa lecture, Tony put voir le visage de son amie pâlir. Elle lâcha alors la feuille de papier, la laissant atterrir au sol, avant de se jeta précipitamment sur l'enveloppe et d'en vider le reste de son contenu. A la vue de celui-ci, elle poussa un cri qui, inévitablement, attira l'attention de ses collègues, avant de ses laisser tomber, en pleurs, dans les bras de l'italien.
