La chambre.

C'est dans cette chambre que tout se passe, que tout commence. C'est également ici qu'entre deux râles on peut très clairement entendre ta voix me supplier de continuer à te prendre encore et encore. C'est également dans cette pièce que j'accepte avec joie de continuer à te faire sauvagement l'amour.

A travers la serrure de la porte, on peut entrevoir ton magnifique dos nu se mouvoir à ton rythme sur mon sexe. On peut aussi voir tes magnifiques cheveux noirs se faire remettre en arrière par tes longs doigts fins et parfaitement manucurés ornés par d'énormes bagues en métal.

Et si on s'approche un peu plus près, on peut également sentir l'odeur de sexe ambiant, cette odeur sauvage qui nous prend au nez lorsque s'en approche. On peut aussi sentir une légère odeur de transpiration dû à l'effort physique de notre présente activité.

Regarde comme tu es belle ! Tes sublimes yeux bleus, je pourrais rester sans rien faire pendant l'étérnité si cela était possible. Et ton joli nez légèrement recourbé, si mignon ! Ah et ces lèvres, bon sang ! Elles sont pulpeuses et rougies sous l'assaut de mes lèvres.

Mes mains pressant délicatement tes seins tandis que tu continuais à bouger sur ma verge. Jamais je n'avais autant pris mon pied avec une femme, dire que je croyais ne pas avoir de coeur! Tu dois faire partie de ces femmes qui ont tant de prestance et de beauté que peut importe ton statut, ton orientation, tu ne peux que chavirer face à leurs charmes gargantuesque.

Tu me fais complétement perdre la tête chérie, tu m'envoûte tant !J'aimerais que ce moment dure pour toujours ... et pourtant, comme on dit, toute les bonnes choses ont une fin.

Je laisse échapper un gémissement plus grave et plus long que les autres avant de me libérer en toi, et quelques seconde après tu jouie également. Tu t'avachie sur moi et je sens ton souffle ralentir et devenir de plus en plus régulier jusqu'à t'endormir. Je me retire et te soulève pour venir t'allonger à mes côtés et rabattre les couvertures sur nous.

Je sais que demain, plus rien ne serais comme avant. Je le savais. Malgré cela, j'ai succombé. Je t'ai pris comme je n'ai jamais pris personne et je ne le regrette absolument pas ! Mais demain, nous reprendrons chacun nos deux statuts respectifs : Moi, Akainu, amiral en chef de la Marine et représentant de la Justice. Toi, Ran Suzie, capitaine de l'équipage du SUNRISE, représentante de la liberté.

Demain, notre idylle sera finie, demain je devrais t'oublier, demain tout sera fini. Mais demain est un autre jour et je compte bien profiter de la nuit qui nous reste !