bonjour =)

voila encore un de mes petits (énormes) délires, alors attention (beaucoup pensent que j'ai fumé la moquette, mais c'est faux! j'ai juste mangé deux ou trois Rainbow cupake _ donc ceci explique cela)

alors bon courage à ceux qui liront, et si vous voyez un problème (fautes d'orthographes qui doivent être nombreuse mais je n'ai jamais été doué, trucs pas logiques ou même éléments que vous n'aimez pas ^^)

sur-ce bonne lecture si je puis dire =)

— Allen ! Allen ! Allen !

Je grognais, enfonçant ma tête dans mes oreillers. Je ne voulais pas quitter la chaleur de mon lit. Malheureusement, mon réveil humain ne me laissa pas tranquille, continuant de tambouriner à ma porte.

— Allez debout Allen ! On a français et si tu sèches Cross va venir te sortir du lit par la peau des fesses !

Il n'avait pas tort… Quittant avec regret mes couvertures j'observais ma chambre, essayant de me réveiller. Les chambres du pensionnat n'étaient pas très grandes, mais elles étaient très douillettes. La mienne était comme les autres, des murs bleu pâle avec un bureau, un lit, une commode et une salle de bain personnelle avec le strict minimum. Je passais rapidement dans cette dernière pour me préparer, avant d'aller ouvrir à mon camarade qui n'avait pas arrêté son cirque.

— Enfin ! Je commençais à ne plus sentir mes mains.

Grand roux à l'œil vert (il avait un œil en moins à cause d'un accident lorsqu'il était petit) Lavi me regarda, un immense sourire aux lèvres.

— Vite je ne veux pas mourir à cause de ce taré !

Nous sortîmes du pensionnat, avant de rejoindre le lycée Black Order situé juste à côté. Comme l'indiquait son nom, le lycée était un grand bâtiment sombre aux allures d'asile hanté, ce qui n'empêchait pas les parents d'y enfermer leurs enfants… Pour ceux qui aimeraient le savoir c'était mon cas, mon tuteur étant prof dans ce lycée, comme ça il pouvait garder un œil sur moi (ou sur les fesses de la prof de physique, ce qui se produisait souvent).

Justement c'était son cours que nous devions avoir en première heure, ce qui promettait un long moment où seul le prof parlait, les élèves avaient peur de Cross. Je rejoignis ma place près de la fenêtre, regardant avec ennui le ciel gris qui nous promettait une belle averse. L'heure passa lentement, Cross critiquant avec énervement les notes catastrophiques du dernier bac blanc avant de prendre les cas un par un, redoublant d'imagination concernant les insultes qu'il nous lançait, il réussit même à faire pleurer une des filles assise au premier rang. Toute la classe accueillit la sonnerie comme une bénédiction, soupirant de joie après le départ du prof. Lavi vint s'installer à côté de moi pendant la pause.

— Alors t'as eu combien ?

— Treize je m'en sors bien, et toi ?

Il fit la grimace.

— Dix, mon grand-père va me faire la peau.

Je pouffais.

— Si tu révisais au lieu de courir les filles aussi.

Il leva les yeux au ciel.

— Oh non tu ne vas pas t'y mettre hein ?! Le vieux s'en plaint assez comme ça !

Il se lança dans une imitation de celui qu'il surnommait «le vieux panda », provoquant mon hilarité et celle de certains élèves qui le regardaient. Au bout d'un instant, il reprit son sérieux.

— Allen, il faut qu'on parle.

— De…?

— De Lulubell enfin !

Je soupirais. Lulubell Noah, grande blonde aux allures prédatrices, celle qui rejetait le premier qui essayait de la draguer, s'était mise en quête de sortir avec moi. Personne ne savait ce qu'une fille aussi bien faite pouvait me trouver. je n'étais pas repoussant non plus mais avec mes cheveux blancs et mes traits fins, beaucoup me prenaient pour une fille… Certains supposaient que j'était une gouine refoulée même après m'avoir vu dans les douches communes… Evidemment, je l'avais repoussé directement, sous les regards reconnaissants de la plupart de mes camarades. Mais Lavi ne me lâchait pas avec cette histoire, alors qu'il lui courait après depuis son arrivée en début d'année.

— Pourquoi tu l'envoies balader ? C'est un super canon !

— Ce n'est pas mon type.

— Mais…

— Lavi elle fait 5 centimètres de plus que moi sans talon !

Il garda le silence. Heureusement les cours recommencèrent, avec Le cours de dessin de Tiedoll, le prof le plus coulant de toute l'histoire. Il passait plus son cours à parler de ses voyages qu'à nous apprendre quelque chose, mais bon, apprendre à dessiner n'était pas quelque chose d'important pour la plupart, sauf pour mon ami qui était un grand amateur du nue (ce qui ne choquait personne, même les profs connaissaient son tempérament). La pause déjeuner arriva rapidement à mon plus grand bonheur et nous rejoignîmes la cafétéria rapidement, en compagnie de Lenalee Lee, grande brune élancé mais un peu bête (selon moi) et Krory, jeune homme blafard aux allures de vampire. Installé à notre table habituelle au fond de la salle, l'ambiance allait de bon train. Lavi amusait toute la tablé avec quelques plaisanteries, jusqu'à ce que Krory prenne la parole.

— Dites, vous saviez que le lycée avait un sous-sol ?

Le regard de Lavi se fit malicieux.

— Bah bien sûre ! c'est connu c'est « la cave aux démons ! »

— Quoi ?

Il ria.

— Vous ne connaissez pas la légende ?

Nous secouâmes la tête. Le sourire de Lavi se fit démoniaque, avant de narrer d'une voix lugubre.

— Il y a très longtemps, ce lycée était un bâtiment habité par des exorcistes. Leur but était d'éradiquer les démons de la surface de la terre. Dès qu'ils pensaient en avoir trouvé un, ils l'amenaient dans les sous-sols pour être sûre qu'ils n'étaient pas humains. Ce qu'ils ne savaient pas c'était que leur chef en était un, et que grâce à un étrange bouquin il permettait à ses confrère de pénétrer le monde où nous vivons actuellement. Il paraît qu' cet homme s'est fait attraper avant de se faire brûler vif ! Mais personne n'a jamais retrouvé le livre. Beaucoup pensent qu'il a été planqué quelque part dans la cave et que des démons veillent dessus, essayant de trouver une âme pure qui arrivera à ouvrir le verrou qui a été placé par le chef des exorcistes.

Lenalee frissonna, avant reposer son beignet qu'elle avait à peine entamé.

— Elle est vraiment effrayante ton histoire…

Le concerné haussa les épaules.

— Pas tellement je trouve.

Son sourire de taré refit surface.

— Ça vous dit d'aller chercher ce bouquin ?

— Quoi ?!

Nous regardâmes Lavi, choqués. Krory demanda d'une voix tremblante.

— Sa balader dans les sous-sols du lycée ?! T'es fou ! En plus ce n'est qu'une légende ton histoire !

— Pff !

Le rouquin fit semblant de bouder.

— Puisque c'est comme ça, Allen et moi on y va et on ne vous dira rien quand on l'aura trouvé !

— Pardon ?!

Je n'en croyais pas mes oreilles.

— Ben oui, il faut une personne innocente et pure, tu es la personne la plus immaculé que je connaisse !

Face à mon air ronchon, il me supplia

— S'il te plait ! Et après promis je te fiche la paix

— Tu le jures ?

— Juré !

Je soupirais.

— OK j'en suis…

Grâce à cette seule phrase nous eûmes le droit à la dance de la victoire de la part de notre cher rouquin, quelque chose qui ressemblait à un homme s'étant bloqué le dos. Tout content, il ne reparla pas de cette histoire de toute la journée, attendant le soir avec impatience. Après être venus me chercher dans ma chambre quelques minutes après la fin des cours, je demandais.

— Tu sais comment y accéder ? Je crois que c'est fermé à clé.

Il me sourit, amusé, avant de me montrer une petite clé en fer blanc.

— Je l'ai piqué à Sokaro pendant le cours d'EPS. Allez vient !

Entrer dans le lycée en pleine nuit n'était pas bien compliqué, personne ne le gardait et la grille n'était pas souvent fermée. En revanche trouver l'entrée des sous-sols était une tâche plus complexe. Presque tous les passages avaient étés condamnées pour ne pas que les élèves viennent y mettre les pieds. L'unique passage encore accessible était au niveau des escaliers, une porte en fer noir fermé par un verrou assez énorme mais avec une petite serrure. Heureusement pour nous, la clé qu'avait piquée Lavi était la bonne, nous permettant de retirer le cadenas. La porte s'ouvrit dans un grincement à vous faire dresser les poils sur la tête. Armée de nos lampes torches, nous descendîmes un sombre escalier pendant un bon moment, avant de déboucher sur un long corridor où l'on pouvait voir plusieurs portes. Lavi siffla.

— La vache ! On dirait une prison.

— Hm… Dépêchons-nous, je ne le sens pas cet endroit.

Il hocha la tête, d'accord avec moi, avant de commencer à ouvrir la première porte. Il n'avait pas tort, la pièce ressemblait beaucoup à une cellule, avec un lit de camp simple à l'air inconfortable et une petite table. Toutes les portes menaient à des cellules semblables, excepté la porte du fond. Ce devait être une salle de torture, ou bien d'exécution. Grâce aux lampes nous pûmes observer avec horreur des traces de sangs sur les murs, ainsi que des ossements. Je tremblotais.

— Je veux partir…

— Ne t'inquiète pas Allen, on s'en va dans cinq minutes.

Il se mit à arpenter la grande pièce, scrutant les détails de chaque mur avec obstination. Essayant de ne pas focaliser mon attention sur les squelettes, je donnais un coup de pied dans un caillou, qui alla frapper l'un des murs en pierre. Lavi fronça les sourcils.

— C'est moi où ça sonnait creux ?

Sans demander de réponse, il s'approcha du mur en question, toquant par-ci par-là, avant de sourire, triomphant.

— Ah ! Allen toi qui a des ongles, tu pourrais essayer de retirer cette pierre ? Elle n'a pas l'air de tenir.

Obéissant avec impatience, je retirais la pierre le plus vite possible, pressé de remonter. Après l'avoir retiré Lavi enfonça sa main dans la cavité sombre, avant de ressortir un drôle d'ouvrage rigide. Mon ami semblait être aux anges.

— Tu vois ? Ce n'est pas qu'une légende !

— Oui, oui partons d'ici maintenant.

J'avais l'horrible impression d'être observé, cela ne me plaisais pas du tout. Nous ressortîmes rapidement des sous-sols, heureux pour ma part de retourner à l'air pure. Lavi quant à lui observait le livre avec fascination et une pointe d'agacement. Nous nous installâmes ensuite dans ma chambre, où Lavi m'expliqua le problème.

— Il est fermé… Je n'arrive pas à l'ouvrir. Pourtant la fermeture est fine et elle n'a pas l'air bien résistante.

— Fais voir.

Il me tendit le livre. Il était vraiment vieux et couvert de poussière, la couverture pourpre était néanmoins en bon état. Une espèce de lien en cuir fermait l'ouvrage, mais il n'avait pas l'air solide. J'essayais de passer mes doigts entre les pages et le lien et celui-ci céda aussitôt, sous le regard admiratif de Lavi.

— Hourra ! Vas-y ouvre le !

J'obéis à la demande du rouquin et ouvrir le livre. Il était manuscrit, une fine écriture marquait chaque page avec clarté. Chaque page semblait parler de la manière d'invoquer un type de démon différent, je l'expliquais à Lavi, qui me regarda avec excitation.

— Ouvre-le au hasard ! Et on invoquera le démon choisi.

Je haussais les épaules. De toute manière, qu'est-ce que nous risquions ? Je refermais le livre, avant de le ré-ouvrir au hasard.

— … Démon du plaisir et de la luxure, il prend l'énergie vitale de la personne qui l'a invoqué en échange de plaisir.

— C'est exactement ce dont tu as besoin !

— Pff…

Je grognais. Lavi se pencha pour voir le rituel, c'était quelque chose de tout simple. Il fallait dessiner un pentacle sur le corps de l'invocateur avant de prononcer une formule. Hilare, Lavi prit une boite de feutre posé sur le bureau, avant de venir vers moi armée d'un feutre rouge.

— Ne bouge pas et ferme l'œil gauche.

J'obéis, nerveux. Lorsqu'il s'écarta il me montra le résultat avec le miroir de la salle de bain. Il m'avait dessiné une espèce de cicatrice, partant de ma joue pour aller barrer mon œil gauche et finir en pentacle eu dessus du sourcil.

— Alors ?

— …C'est original…

Il sourit, avant de me demander de prononcer la formule. Chose difficile étant donné que je ne savais pas lire le latin.

dæmonium ab inferno volo conveniret

(Démon de l'enfer, je désire pactiser)

Ego tribuo vos vitam voluptatem obtuleritis mihi

(Je te donne la vie, tu m'offres la jouissance)

per stellam venire ad me,

(Par cette étoile viens à moi)

contaminare corpus meum, ánima mea offero

(Souille mon corps, je t'offrirais mon âme)

La lumière du petit lustre grésilla un instant, avant de se calmer. Lavi semblait déçu.

— Dommage, ça aurait pu être marrant.

Je haussais les épaules.

— Tu t'attendais à voir apparaître un démon cornu ?

— Nan, plutôt une jolie demoiselle vêtue de cuir…

Je levais les yeux au ciel.

— Retourne dans ta chambre Lavi, je vais au lit.

Il hocha la tête avant de partir, me souhaitant bonne nuit. Je soupirais d'aise. C'était le Week-end donc demain je pouvais dormir ! Je posais le livre sur mon bureau, avant de m'habiller pour la nuit et de me glisser sous les draps. Je m'endormis comme une bûche, éreinté par cette histoire.

J'étais dans un endroit sombre, je ne voyais rien. Soudain, je sentis une présence derrière moi, mais je ne voyais personne après m'être retourné. Un couinement surprit m'échappa lorsque je sentis quelqu'un m'enlacer par derrière, plaçant ses grandes mains sur mon ventre. Que se passait-il ? Ou étais-je ? Qui était-ce ? Je me posais toutes ses questions lorsque je sentis les mains de l'inconnu se glisser sous mon haut. J'essayais de le faire lâcher prise mais il semblait plus robuste que moi, stoppant mes gestes avec une facilité déconcertante. Les deux mains remontèrent vers mon torse, le caressant doucement, avant d'aller s'amuser avec mes tétons. Un gémissement m'échappa à cet instant, alors qu'il s'amusait à les pincer, les frotter, les faisant dresser d'excitation. J'ignorais qui me torturait ainsi mais je ne voulais pas qu'il arrête. Il dû sentir mon envie car il descendit l'une de ces mains vers mon pantalon, caressant du bout des doigts la légère bosse qui s'était formé à cause de son traitement. Un petit cri sortit de mes lèvres lorsque je sentis sa main taquiner mon érection qu'il avait libérée du tissu. Je n'allais pas tenir très longtemps, il le sentit. Il délaissa ma verge gonflé, avançant sa main plus loin entre mes jambes dans le but de taquiner du doigt mon entrée, encore inviolé. Je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qu'il allait me faire, à ce que je voulais qu'il me fasse. Je soupirais d'aise sous ses caresses lorsque j'entendis un léger rire, puis une voix douce et grave me murmurer à l'oreille.

Ne soit pas impatient, mon mignon. Je m'occuperais de toi dans très peu de temps, un peu de patience.

Et sans prévenir, il enfonça un doigt en moi, me faisant venir brutalement, me cambrant contre le corps chaud derrière moi. Ce dernier gloussa de plus belle.

Si tu réagis aussi délicieusement dès le début, j'ai hâte d'entendre tes cris lorsque je t'aurais pris. A plus tard mon mignon.

Et sa présence disparu.

voila voila ^^" histoire un peu bêbête mais j'espère que ça a plu à ceux qui ont lu

si vous voulez il y a des pierres juste là *pointe par terre les grosses caillasses* des tomates au niveau du jardin, et pour les autres...Bah laissez une Review =)

bye bye !

ah! oui avant que j'oublie, si jamais quelqu'un parle latin ici sachez que s'il y a des fautes c'est logique je l'ai fait grâce à un traducteur ^^" donc sorry si vous voyez des fautes grosse comme les fesses de Lenalee ^^ (ouh que je suis méchante =P)