Je vous présente ma toute première fic sur le couple Brittana de Glee que j'adore et j'espère que vous aimerez !
Je ne suis pas une pro de l'orthographe, donc pardonnez moi pour les fautes car je sais qu'il y en aura.
Le début commence quelques mois après la rupture Brittana. Ce ne sera peut-être pas super super joyeux, mais je vous promet un Happy End, parce que j'aime pas quand ça finis mal.
J'ai du mal à bien développer mes idées, à faire durer le suspens, et donc à faire de longs chapitres. Ils seront donc assez court en général, mais j'espère que vous aimerez quand même. Je ne sais pas combien de chapitres comportera cette fic, mais je tenais tout d'abord à vous faire partager le "prologue" pour voir vos réactions, si vous aimez ou pas et si vous voulez une suite.
Sur ce, je vous souhaites une bonne lecture, enfin, je l'espère.
«La douleur de la perte d'un être cher est extrémement difficile à surmonter. Surtout quand tout est de votre faute. La douleur vous consume chaques secondes qui passent, vous ronge de l'intérieur, vous brûle, vous dévore. La douleur vous rend fou, elle vous lamine entièrement, vous donne la gerbe. Et se dire que tout est de votre faute que cette douleur insoutenable parcours chaques parcelle de votre corp vous donne envie de vomir, de mourrir. Chaques secondes, chaques minutes, chaques heures, chaques jours, chaques semaines... Tout le temps qui passe vous fait repenser à cet amour perdu, inlassablement. Tout le temps qui passe vous fait repenser à cette putain de connerie que vous avez fait de quitter l'élu de votre cœur, d'avoir voulut l'éloigner pour être soit disant moins triste de la distance. Mais finalement, vous vous rendez compte que ce que vous avez fait ne vous rend pas plus heureux que ce que vous croyiez. Et après, vous regrettez vos paroles, vos actes, mais quand vous vous en êtes rendu compte, c'était trop tard.»
Louisville, bar du campus :
Stupide, je suis stupide.
S'emparant du verre, Santana avala le shot de vodka cul sec. L'alcool lui brûla la gorge, se répendant rapidement dans son organisme. Elle en commanda un autre. Puis encore un autre. Et encore un, enchaînant les shot à une allure hallucinante. Les larmes striaient ses joues en discontinue, mais elle s'en foutait. Son esprit s'embrouillait de plus en plus. Elle se demandait comment, ou plutôt pourquoi, elle en était arriver là. Elle avait le cœur qui battait fortement à ses tempes. Les lumières se troublaient, devenant des point lumineux flous instable. Elle se leva. Avec beaucoup de difficultés. Un haut-le-cœur la prit. Plaquant sa main contre sa bouche, elle se dirigea vers les toilettes, les atteignant à temps. Les larmes coulaient, tandis qu'elle évacuait la rancœur, la haine, et le dégoût d'elle-même. Un visage doux s'imposa dans son esprit, redoublant son malaise. Ni les larmes, ni les hauts-le-cœur ne tarrissaient. Elle se sentait mal. Pas par rapport à l'importante quantité d'alcool qu'elle avait ingurgité, bizarrement. Elle avait l'impression que si elle la voyait ainsi, elle serait déçue et ne lui pardonnerait pas. Mais qui pourrait lui pardonner ? Qui pourrait pardonner à la loque humaine qu'elle était devenue d'avoir été si lâche ? Qui pourrait lui pardonner d'avoir eut peur ? Qui pourrait lui pardonner d'avoir abandonner la femme la plus merveilleuse qu'elle ait jamais rencontrer ? Personne, elle en était sûre, et encore moins celle qu'elle avait abandonner. Néanmoins, elle espèrait sincèrement qu'elle lui pardonne d'avoir fuit, de ne pas avoir pu tenir sa promesse, de ne pas l'avoir rendu heureuse, d'avoir eut peur, pour la première fois de sa vie.
Elle se pencha une nouvelle fois au-dessus de la cuvette et rendis tout le contenu de son estomac, qui se mélangea avec ses larmes. Elle avait la gorge en feu et un horrible goût acide lui embaumait l'haleine. Elle avait mal à la tête, l'étroite cabine tournait et elle tremblait. Beaucoup trop. Ses jambes refusaient de la porter. Sa vue se troublait de plus en plus. Elle ne sentait plus son corp. S'adossant contre le carrelage, elle ferma les yeux et essaya de réguler sa respiration. Un sifflement strident retentit dans ses oreilles, s'accentuant au fil des secondes, couvrant le bruit sourd de la musique pourtant assourdissante de la boîte. Son souffle ralentissait. Plus que ce qu'elle n'aurait penser. Elle se sentit tomber, percutant violemment le lino des toilettes. Elle ne sentit pas la coupure qui se forma sur son arcade quand sa tête rentra en contact avec le sol durement. Elle ne ressentait plus rien, à part un froid désagréable s'insinuant dans chaques membres. Elle n'arriva pas à se protéger comme elle avait essayer, restant comme paralyser. Les larmes coulaient, sans s'arrêter. C'était la seule preuve qui restait prouvant qu'elle était encore en vie, en plus des plaintes saccadées et désésperées s'échappant de sa gorge en feu. Son corp était lourd et elle n'arrivait à faire aucuns gestes. Au bout d'un moment, fatiguée de se débattre, elle laissa ses larmes couler et ferma les yeux, pensant fortement à la femme de sa vie qu'elle avait laisser quelques mois plus tôt. Elle aurait tout fait pour revenir en arrière, pour ne pas sortir ces mots blessants, pour ne pas quitter la femme qu'elle aimait. Elle aurait tout fait pour rester avec sa jolie blonde et l'aimer de tout son cœur comme elle le méritait. Mais elle avait merdé, elle avait osée dire qu'une autre fille avait poser son regard sur elle, elle avait osée laisser cette fille la regarder sans rien dire, elle avait osée lui sourire. Et pour tout cela, Santana ne se le pardonnerait jamais et se disait que c'était bien fait pour elle si elle ne lui pardonnait pas.
Le seul côté positif, si on peut l'appeler ainsi, de son état de semi-conscience, était que les hauts-le-cœur ressentit étaient partit. Mais les larmes coulaient toujours, brûlant sa peau hâlée toujours un peu plus.
Elle se sentit glisser dans les ténèbres chaques secondes un peu plus. Elle ne vit pas la porte de la cabine s'ouvrir sur une grande blonde en larme. Elle ne sentit que deux bras sécurisant l'enlacer tendrement mais avec force. Une larme de la blonde s'écrasa sur sa joue, lui faisant reprendre vaguement conscience.
Un battement de cœur familier. Une odeur familière. Une douceur familière. Une force familière.
Santana crocheta le haut avec désespoir et détermination. Elle ne la laisserais plus jamais partir.
- Britt'... souffla-t-elle rauquement avant de s'évanouir.
À suivre...
Voilà le prologue. Un peu triste, mais bon, elle ne pouvait pas être heureuse en ayant quitter Brittany.
Si vous voulez la suite, je la posterais le week-end prochain. En attendant, j'attends vos avis :)
