Blabla inutile : Je me décide enfin à publier cette fanfiction sur ce site… ça fait un an que j'ai commencé à l'écrire et les chapitres sont longs à paraitre (10 en plus d'un an je crois xD). En plus ça part complètement en live, comme toutes mes autres fics (non publiées ici pour le moment, j'en ai au moins 5 en cours !)… Surtout que je suis à fond sur Reborn là, donc je délaisse un peu le reste…

Bref, voici le prologue trèèèèès court mais je vais publier le premier chapitre dans la foulée ! N'hésitez pas à commenter ! (En fait c'est une obligation é_é…)

Titre : Le talisman de Phoebe (se lit « Fibi » pour ceux qui ne savent pas)

Disclaimer : Les personnages ne sont pas à moi mais à Hiro Mashima. Par contre je veux bien lui acheter Grey-sama !

Résumé: Elle l'aime, il ne l'aime pas.
Il l'aime, elle ne l'aime pas.
Quand des personnes ne savent plus quoi penser de leurs sentiments, que faire? A Fairy Tail, on ne pense pas longtemps, et on agit vite. Parfois cela a du bon, mais parfois non.
Trois mages se rendent en mission, et doivent retrouver le talisman d'une certaine Phoebe. Des révélations pourront faire du bien, du mal, ou faire ressasser des souvenirs que l'on préférerait oublier et ne pas révéler à ses amis.
Un décès, un départ, un amour; voilà trois choses qu'ils ont en commun mais ne le savent pas forcément...

Chapitre0-Prologue

P.D.V Lucy

C'était un jour pluvieux comme il n'y en avait pas souvent. Un jour où j'étais chez moi, emmitouflée d'une couverture bien chaude, assise à mon bureau, dans mon appartement.

Je griffonnais, soulignais, barrais des tonnes et des tonnes de choses sur des feuilles de brouillon. J'étais à la recherche d'idées pour mon roman. Ces temps-ci, je ne trouvais vraiment rien. J'avais beau chercher, demander conseils à mon amie Levy, beau lire et relire des dizaines et des dizaines d'ouvrages à la recherche d'inspiration, je ne trouvais toujours rien. Mes pensées étaient toujours portées sur une même personne. Je ne pouvais effacer ce visage de mon esprit depuis maintenant plusieurs semaines.

Son sourire me faisait rougir, son caractère me faisait craquer, ses manies ma faisaient fondre. Sa présence me rendait malade. Rien qu'en entendant sa voix, tout mon corps était parsemé de frissons. Et sans m'en rendre compte sur le moment, je fuyais son regard. Tout ça était vraiment atroce. Je ne pouvais plus dormir, faisais toujours des bêtises, et bafouillais toujours quand il était dans les parages. Et le pire, c'est qu'il s'en rendait compte, et soit ça l'amusait, soit ça l'énervait. En même temps, c'est vrai que quand quelqu'un vous demande « Où est Erza ? » et que vous ne pouvez pas répondre quelque chose de normal comme « je ne sais pas » ou « elle discute avec le maitre » mais plutôt un « jenesuispastoutafaitsuremais elledoitêtreavecMira », on vous regarde bizarrement, puis on s'en va poser la même question à quelqu'un de plus coopératif.

Bien sûr le moins idiots (enfin idiotes en l'occurrence) le remarquait, et me poussaient à avouer mes sentiments. Mais je ne voulais pas. Je n'étais pas comme Juvia. Je ne pouvais pas. C'était certain qu'il ne m'aimait pas. Enfin, pas en amour. Je fais comme partie de sa famille. Mais avec le temps, peut être ma décision, ou la sienne, changera. En tout cas, je le souhaite. Je ne pourrais pas survivre à cet amour maladif bien longtemps. Parce que j'étais vraiment amoureuse. Folle de…