Bonjour tous le monde! Vous allez me dir que j'abuse! Et vous aurez raison!
Voici ma troisième fic! Mais autres fic sont un peu au point mort mais pas de panique je vais les continuer!
Cette fic met venu àl'esprit en cour d'histoire. Ne me demandez pas comment, je ne sais plus!
Schez seulemnt que même si mes autes fic n'avance pas je ne les abandonnerais pas même si pesonne ne vient lire!
Non je plaisante! Mais c'est vrai que j'écris d'abord pour mon plaisir!
Bref ma vie on s'en fou ce qui va vous intéresser c'est la petite vie pas toujour rose de mes personnages!
Je tiens a dire que pour cette fic, les dialogues seront plus crus, vu le milieu, mais que ce n'est pas pour autant que je ferais des lemons. dsl pour les gens qui seront déçut, mais mêm si il m'arrive dans lire les fics que j'écris auront des sous entendus mais sans plus!
voila! pour le reste Voici un résumé plus détaillé mais pas trp de ma fic:
Résumé: Harry est un flic de New York, il sort de dépression nerveuse, de tentative de suicide, et j'ne passe,aprés la mort d'un proche. Au bout de quatre mois, le mouvement de son boult lui manque et il prend la décision de remmetre les pieds au commissariat. Sa vie est gouverné par la vengeance, qui pourrit lui montrer que la vengeane ne fait ps tout même lorsuque l'amour vous est arraché au moment où vous vous apprtiez à la serrez sans plus jamais la lacher?
Rating M, je crois à force je me plante un peu.
Il y ade l'action j'espère un peu de suspence et un pointe d'humour (autant que possible)
Je vous souhaite bonne lecture!
Chapitre1
Je m'appèle Harry Potter, et je travail pour la police criminelle de New York. Depuis plusieurs années, l'unité dont je fais partie traque les mafias. La plus tenace de nos jours et celle des mangemorts. On dit qu'ils sont dirigés par un certains Voldemort, mais personne n'a jamais réussi à le coincer.
Chaque année, plusieurs personnes meurent selon son bon vouloir. Il suffit qu'ils en sachent trop ou qu'ils le gênent, car trop puissants ou pas assez coopératifs.
Mes parents étaient deux d'entre eux.
o O o
Les balles criblèrent le mannequin de la salle des tirs. Toujours au même endroit. J'aurais voulu hurler en même temps que mes balles atteignaient leur cible. J'avais besoin de me défouler.
Je recharge le pistolet, et recommence à tirer. Une fois les 15 balles utilisées, je pose brusquement l'arme sur la table et retire mon casque de protection.
« Putain de merde ! je jure.
Je ne te le fait pas dire.
Je me retourne sous ses mots. Ils ont été prononcés par une personne que je connais que trop bien. Elle est adossé au mur de l'enceinte et me regarde de ses grands yeux bleus accusateurs.
« Qu'est ce que tu fou là Ron ?
Je pourrais te poser la même question. »
Je commence à ranger mon matériel sans le regarder. Je l'entend soupirer. Je ne veux pas parler de ça, je ne veux pas ! Je ne peux pas !
« Harry tu aurais du rester chez toi.
Fou moi la paix tu veux !
Non. Tu es mon meilleur ami, tu crois que je vais te laisser choir aussi facilement. »
Il va revenir sur le tapis j'en suis sur, je le sens ça vient… ! De colère et de détresse, je sers plus fort la crosse de mon pistolet.
« Je comprends que c'est pas facile pour toi. Et…
ARRÊTE ! »
J'ai hurlé tellement fort qu'il a reculé.
Stop ! Ca suffit ! Qu'on me lâche avec ça ! J'en peux plus ! Il ne comprend pas que chez moi j'étouffe ! Il ne comprend pas, que je ne peux pas voir ce putain de psy à la con ! Il ne comprend pas, que c'est de ma faute !
« Harry, commence t-il.
Non ! Foutez moi la paix tous ! Allez tous vous faire foutre ! Je m'en fou de votre pitié ! Je m'en fou de tout ! Vous n'êtes pas dans ma tête ! Vous n'étiez pas là non plus ! Vous n'avez pas vu ses yeux perdrent l'éclats de vie qui le caractérisaient si bien ! Vous en l'avez jamais aimé comme moi ! Vous n'avait pas vécu avec lui ! Vous ne l'avez pas vu mourir dans vos bras ! VOUS NE SAVEZ RIEN !
Sur ces dernières paroles, je prends mes affaires et je me tire. Je m'engouffre dans la première rame de métro. Ce n'est pas l'heure de pointe et je peux être un minimum tranquille.
Je me prend la tête dans les mains et souffle un grand coup, réprimant les larmes qui pointent vers mes yeux.
Il est toujours dans ma tête. Il ne part jamais. Même la nuit, il ne me laisse pas en paix. De toute façon j'ai jeté le lit. Je ne veux pas avoir un souvenir de nos ébats, en plus de mes cauchemars.
A chaque garçon blonds aux yeux marron, je crois le revoir. J'ai cet espoir de le voir rejaillir et me sauter dans les bras pour m'embrasser. Mais, je sais qu'il ne le refera plus jamais. Je ne goûterais plus jamais sa peau, son corps, son odeur. Il est parti, mort, et enterré. De savoir que c'est de ma faute, ça fait trop mal !
Je relève doucement la tête. Je suis lasse de tellement de choses.
La vitre du train me renvoi mon triste reflet.
Mes cheveux noirs sont encore plus en bataille que d'habitude, si c'est possible. Sous mes yeux vert, dans lesquels, on peut lire toutes mes émotions, d'immenses cernes violacées. Tout en oubliant pas d'omettre, que comparé à d'habitude, j'ai mes horrible lunettes sur le nez. Pour le boulot, je mets des lentilles, c'est plus pratique. Ce serait embêtant de les perdre en pleine intervention. Côté taille, je ne suis pas très grand, ça se n'est pas une nouveauté. Mais, j'ai une bonne musculature grâce aux entraînements de karaté.
Je finis par descendre à un arrêt. Je sors des tunnels de la gare, et retrouve un semblant d'air pur.
o O o
"Putain!"
Faut que je sorte ! Y en a marre maintenant !
« Ne vous braquez pas Monsieur Potter.
Je ne braque pas, vous me stressez avec toute vos questions à la con !
C'est pour vous aider…
J'aurais encore préféré Hermione, je souffle exaspéré.
Parlez moi de vos relations avec cette Hermione.
Comme si vous ne connaissiez pas Hermione Granger. La substitue du procureur, qui a mis le plus de criminel sous les verrous. »
Bon, je commence vraiment à en avoir marre ! Je suis d'accord pour me soigner, pour qu'on m'aide… Mais il y a des limites ! Je ne peux décidément pas voir cette Rita Skeeter ! Psychologue de mes deux !
« Je veux seulement vous aider. Parlez moi de vos relations en dehors du travail.
Vous ne pouvez pas dire relation sexuelle comme tout le monde !
Comment cela se passe t-il ? »
Non, mais c'est pas vrai ! C'est pas un fait nouveau que je sois homosexuel. Elle voudrait pas que je lui donne tous les détails croustillants non plus !
A prendre en note. Ne plus faire de tentative de suicide, temps que vos amis ne sont pas partis en voyage pour 6 mois !
Bon, c'est vrai qu'après la discussion dans la salle de tirs avec Ron, j'ai un peu dérapé. Je touchais le fond, et refusais que l'on m'aide. Maintenant, ça va faire un moment que ça va mieux ! La preuve je sorts je drague, je ne trouve personne à mon goût et la plus part de mes aventures ne durent pas plus d'une nuit. Mais au moins je gère ! ET qu'est ce que ça peut lui faire de toute façon ! Si elle est en manque, elle a qu'à lire le kamasutra !
« Comment vous sentez vous sentimentalement ? comment vous remettez vous du meurtre de votre petit ami Colin Crivey ? Vous arrive t-il de rêver de lui, de le voir, de…
LA FERME ! »
elle sursaute.
Non ! Là, elle va trop loin ! Ma vie avec lui, j'essaye de l'oublier. J'essaye de me dire, qu'il faut que je regarde devant et que j'arrête de m'en vouloir ! Elle n'a pas le droit de m'en parler ! Pas de lui ! PAS DE LUI !
« Monsieur Potter… commença t-elle.
Fermez votre grande Gueule ! »
Je m'approche dangereusement d'elle, et elle s'enfonce dans son fauteuil de cuir noir.
« Maintenant, vous allez la fermer et m'écouter attentivement. Ma vie privée ne regarde que ma gueule ! Ma vie sexuelle mon cul ! Pour le reste ça peut se discuter ! Vous m'avez aidé un minimum ! Mais maintenant, ça va faire trois mois que je vais bien, et que je suis sortie de l'hôpital ! Mon deuil est presque fait ! Alors maintenant vous allez me foutre la paix et signer le putain de papier que j'attends depuis trois semaines ! C'est clair ! »
o O o
J'arrive devant le bureau de la police criminelle de New York. Je souffle un bon coup avant de rentrer. Pas la peine de paniquer. J'ai l'autorisation du médecin de reprendre le travail.
Oui bon, je l'ai soutiré violemment ! mais ça les autres ils sont pas sensés le savoir !
Le poste est remplie de gens. Comme à son habitude. Je me demande comment cela peut encore me surprendre ?
Prostitués, voleurs à la sauvette, jeunes fugueurs ou délinquants,… On trouve de tout dans ce commissariat.
La plus part de mes collègues me regardent étonnés.
Et oui le suicidaire revient au bercail. Que voulez vous, vous me manquiez trop !
Tu parles ! J'avais surtout besoin de bouger ! D'avoir de l'action dans ma vie ! La mienne était un peu trop morne c'est derniers temps.
Au bureau de Ron, pour changer, il n'y a personne.
Pour ce qui est d'arriver à l'heure, il a toujours été pire que moi.
Je frappe au bureau de mon supérieur, Maugrey Fol-Œil. Commissaire important.
La première fois que je l'ai vu, je suis resté pétrifié. On m'avait prévenu d'accord mais c'est toujours impressionnant. Surtout lorsqu'on a 6 ans. Je suis parti en courant dans les jambes de mon parrain Severus.
Maugrey a vraiment l'étoffe du guerrier. Il a vu du pays cet homme. Il en aurait de belle à raconter. Comme par exemple, comment il a perdu sa jambe gauche ou son oeil droit. Ou alors, l'histoire de toutes les cicatrises possibles et imaginables qui lui recouvrent le corps.
« Entrez ! me dit sa voix de roc.
Bonjour Monsieur.
Ah Potter ! Je ne vous attendais que demain !
Je ne supportais pas de rester chez moi à ne rien faire !
oui bien sur ! Je comprends. Je suppose que vous voulez savoir où en est l'enquête ?
Oui.
Désolé mais aucune piste rien. Ils se sont volatilisés.
Le contraire m'aurait presque étonné.
Il faut s'attendre à tous avec ces mangemorts. »
Bande de salauds ! Mais je les auraient un jour !
Pour passer le temps, je passe au labo pour voir Severus. Je n'ai pas dit, ni à lui, ni a Sirius que je reprenais le boulot aujourd'hui.
« Salut Sev. »
il se redresse de son microscope et me regarde étonné.
« Qu'est ce que tu fais là toi !
Je suis venu reprendre le travail… »
Attention préparons nous mentalement à entendre les cris.
« DE QUOI ! ET TU CONTAIS LE DIRE QUAND !
Bah maintenant. »
J'ai vraiment l'impression d'être un gamin de trois ans, lorsqu'il me cris dessus. Petit, j'avais bien plus peur de ses colères que celle de Sirius. Il est beaucoup plus cool. Severus est coincé, prude, un tantinet hystérique et mère poule lorsqu'il s'agit de moi.
« Tu es un inconscient Potter !
Tu m'appèle plus Ryry, je lui dit avec un air de chiot abandonné. »
Il me regarde en grimaçant. IL ne supporte pas que je le regarde avec cet air là. IL craque à chaque fois et ça l'énerve de se sentir incapable d'avoir un semblant d'autorité sur moi lorsque je fais ça. Ca m'a toujours fait beaucoup rire d'ailleurs. Mais je n'y arrive pas toujours. Sirius, lui, il y arrive à chaque fois. Ils se fait engueuler deux minutes et après il vaut mieux que je partes doucement, si je suis dans le coin. Car la plus part du temps, Severus saute sur mon parrain. Ils sont mignons tous les deux, parce qu'ils s'engueulent tout les temps, mais à chaque fois que Sirius est blessé lors d'une mission, Severus est aux petits oignons avec lui. Il est très caractériel notre petit Sevy. Il manquait de nous tuer tous les deux lorsque nous faisions des bêtises avec Sirius. De vrai gamins, disait-il.
Je l'entend qui gémit de frustration. Je suis bon pour un câlin hyper maternelle.
« Mon petit Ryry ! s'écrie t-il en me serrant dans ses bras. »
Je me sens un peu ridicule. Surtout, que voir Severus dans cet état est très rare dans la mesure ou seulement Sirius et moi sommes capable de le rendre ainsi.
Niark Niark ! Rire sadique !
Parce que lorsque l'on croise un de ses élèves de faculté en stages dans notre beau labo du commissariat, on peut être sur qu'ils repartent pour déprime. C'est un vrai tortionnaire. Pas patient du tout comme tuteur de stage. Alors imaginé le lorsqu'il faisait de cours à la faculté de biologie. On peut dire que tout ces élèves avaient du mal à l'encadrer.
En fait on peut dire qu'on a deux la chance avec mon parrain. Nous sommes ses deux points faibles. Ses deux démons aussi, mais bon.
« Dis Sev t'a pas peur de perdre toute autorité si quelqu'un entre.
Je suis un tortionnaire depuis tout gamin ! Le sais tu ? UN seul de mes regards pleins de mépris ou de colère et je les fait tous tomber comme des mouches ! »
Sans rire !
o O o
Mon retour a été plutôt bien pris. Ils ne posent pas questions. Ne me demandent rien.
Bref, je suis tranquille. Je dirais même trop ; parce que je me fais chier. Les recherches sur la mafia de Voldemort n'avancent toujours pas. ON stagne sur toutes les pistes. On pourrait presque dire qu'ils se sont tous rangés pour être aussi calme. Mais dans la mesure où ce jour n'arrivera jamais. Il doit se tramer quelque chose de pas bon.
Allez un peu d'action que diable. Pas d'arrestation de toute la journée pas d'Hold up, rien que dalles !
Ils sont tous en grève ou quoi !
Pas que je me réjouisse du fait qu'il y est des agressions et tout ça, mais j'ai besoin de bouger ! De l'action ! Merde !
Comme pour répondre à ma prière, le téléphone sonne.
La standardiste est pas là aujourd'hui et tout le monde attend du mouvement. Je me jette en premier sur le combiner du téléphone. Les gars grognent.
Pas pour vous cette fois ci les mecs dommage !
"Brigade criminelle…
Venez m'aider mon père s'est fait tirer dessus, et mon frère va faire une bêtise je suis toute seule venez m'aider je vous en supplie ! »
La jeune fille est complètement paniqué. Je voulais de l'action, je suis servi !
« ne paniquez pas mademoiselle, nous allons venir. Avez vous appelez une ambulance ?
Non ! je l'ai pas fait ! Venez je vous en prie !
Nous allons nous occupez de tout, restez calme. Où êtes vous ?
Dans le quartier chinois, au dojo Kabuki.
Nous arrivons, n'ayez pas peur.
Et pour mon frère !
Ne vous inquiétez pas, tout ira bien.
D'accord…
Restez ou vous êtes surtout.
Oui »
Je raccroche en catastrophe.
« Ou va t'on Harry me demande Sirius ?
Au Dojo Kabuki dans le quartier chinois. Ron appèle une ambulance. On se dépêche ! la gamine est complètement paniqué ! »
o O o
Lorsque nous arrivons devant le dojo, la jeune fille est toujours en pleure devant le corps de son père. Cette scène me rappèle trop de mauvais souvenir, mais je reste fort, et reprends contenance. Lavande Brown s'occupe de la jeune asiatique. Elle lui demande où est sa mère et son frère. Son discours est peu cohérent, mais c'est normale.
Malheureusement pour cette pauvre fille son père ne peut plus être sauvé. La balle la tué sur le coup.
L'ambulance fini par arrivé et les médecins s'occupent de la jeune fille. Le corps est emporté à la morgue pour l'autopsie.
C'est à se moment là qu'un cri se fit entendre.
Une femme blonde se jette sur le corps de l'homme. Ca doit être sa femme.
Personne ne peut lui faire lâcher le corps de son mari. Je vais vers elle, pour lui parler.
« Madame…
Laissez moi ! sanglote t-elle.
Je sais ce que vous ressentez Madame.
Comment pourriez vous le savoir, vous en me connaissez pas.
Je n'ai pas cette prétention mais, je sais ce qu'on ressent lorsqu'on perd la personne qu'on aime. »
Elle me regard les yeux pleins de larmes. Elle semble chercher la vérité dans mon regard.
Elle finit par se jeter dans mes bras en continuant de pleurer.
Puis soudain elle hoquette et s'écrie :
« Draco et Yin ! Où sont mes enfants !
Votre fille est là. »
Elle cours vers sa fille pour la prendre dans ses bras. Elle lui chuchote des mots réconfortants.
Je les laissent et me dirige vers Ron pour plus d'explications.
« Alors, des nouvelles ?
Que dalles ! C'est le fils qui à trouver le corps apparemment. Mais comme on ne le retrouve pas…
Bon alors on va commencer par des avis de recherches dans toutes la région, et on va faire des recherches sur la famille au bureau, ici c'est un peu trop le bazar.
Pour la famille on fait quoi ?
ON peut rien faire. Et puis, je me vois mal allez leur poser des questions en ce moment.
Avant ça ne t'aurais pas poser de problème.
Ca aurait du !
T'es sur que ça va Harry ?
Mais oui ça va !
Tu devrais rentrer pour te reposer.
Je me suis suffisamment reposé ces quatre derniers mois. »
Sans un regard je m'en vais, et prends la voiture pour retourner au poste.
Au poste, les analyses sont en cours. Faut attendre.
Qu'est ce que ça peut me saouler.
Je commence à taper mon rapport, lorsque mon portable sonne.
« Numéro inconnue »
Merde alors, c'est qui ?
« Allô ?
Harry ? C'est Blaise. Passe à la boîte, j'ai engagé une nouvelle chanteuse, tu vas adorer. »
Et il raccroche.
Ok, c'est noté. J'arrive.
o O o
La boîte de Blaise « L'orgie », n'est pas ouverte en journée, et je ne veux pas croiser l'ouvreur. Je passe donc par derrière.
J'entrouvre la porte des coulisses, e risque un oeil à l'intérieur.
Ouf, c'est bon personne.
Je passe par des couloirs et arrive à l'escalier qui mènent au bureau de Blaise.
C'est à ce moment là que je croise sa femme. Pansy.
C'est une jeune femme commune. Elle a des longs cheveux bruns bouclés, et des yeux marrons. Mais, elle dégage une certaine prestance. Elle a un beau visage, elle a l'esprit vif. De plus la grossesse lui va très bien. Elle rayonne.
« Bonjour Harry !me dit-elle avec un sourire.
Bonjour Pans', tu vas bien ?
Ca pourrait aller mieux tu sais, j'ai hâte qu'il sortent ces deux là !
Tu en est où ?
j'ai entamé mon septième mois la semaine dernière.
Je suis content pour vous quatre !
Merci Harry. »
Nous continuons notre chemin. Je frappe à la porte du bureau de Blaise. Sa voix me dit d'entrer.
« Salut Harry ! me dit-il avec un sourire.
Salut Blaise.
Comment vas tu ?
Plutôt bien et toi ?
Bien très bien, » me dit-il en écrivant un mot sur un bout de papier.
Je fronce les sourcils. A quoi il joue ?
On me surveille Harry.
« qu'est ce que tu raconte de beau dit moi ? Comment vont tes soirées de baise ?
Bien, très bien ! Je me fait quelqu'un presque tous les soirs, dit-je en répondant sur le bout de papier. »
Est ce que t'a couverture est bousillé ?
« Dommage que tu ne sois pas très femme tu sais ?, il répond à mon mot.
Tu dis ça à cause de la nouvelle danseuse ?
C'est un vrai bombe ! »
Non, pas encore.
« Elle est comment ?
Blonde sulfureuse, longues jambes, yeux de braises !
Le genre de fille qui te fait oublier ton homosexualité ? »
Que vas tu faire ?« Tu ne voudrais pas essayer ?
Je pourrais, mais pour l'instant j'ai plus de sensations avec les hommes »
Attendre, et te donner une adresse.
« C'est dommage tout de même ! Un homme comme toi !
Tout le monde n'est pas du même avis que toi ! dis je en riant.
La gente masculine doit en effet apprécier »
13 Eiden Street« D'ailleurs si ça ne te dérange pas, je vais continuer ma chasse ce soir ?
Du tout ! Tu veux un joint pour le déplacement ?
Pourquoi pas. »
Il roule le papier qui nous à servit d'échange et met du tabac normal dedans.
« Salut Blaise à la prochaine, lui dis je en partant. Tu me préviens si tu à un nouveau danseur ?
Pas de problème ! »
Je sors de la boîte, fais quel mètre avec ma voiture et prends mon portable.
« Ron ? c'est Harry j'ai besoin d'un renseignement. Où se trouve le 13 Eiden Street ?
Attends, je cherche…
Ok.
C'est un vieux bâtiment désaffecté.
Qu'est ce qu'on y fait la dedans ?
Je sais pas trop.
On a des nouvelles du labo depuis ce midi ?
Pas pour l'instant, mais je te préviendrais.
OK, je vais faire un tour là bas, tu demande à un gars de m'y retrouver, si tu dois faire quelques chose sur l'affaire Kabuki.
Je demande à ton cher parrain, ça va le faire bouger !
A plus tard ! »
et je raccroche.
Un entrepôt désaffecté ? Pourquoi il m'aurait donnée une adresse pareille ?
Il est décidément plein de mystère ce mec. Un parfait « indic ».
J'arrive devant l'entrepôt. Je gare ma voiture un peu plus loin et j'attends mon parrain.
Lorsqu'il arrive nous nous rendons tout deux dans l'entrepôt pour trouver un moyen d'entrer.
Rapidement nous trouvons un porte ouverte.
Ou la ! c'est le bordel !
Maintenant, on sait ce qui se passe, dans cet entrepôt. C'est un lieu de combat organisé.
Ca beugle, ça cris, ça parie ! Bref ça me dégoûte ! L'espèce humaine est vraiment pire que des animaux parfois !
« Tu peux me dire ce qu'on fou là ? me demande Sirius.
Je suis les indications c'est tout.
t'a vraiment des indics bizarre toi !
Au moins, ils sont efficaces.
Mais on ne sait même pas ce qu'on cherche !
je suis sur qu'on va trouver des trucs intéressants.
Peut être mais en attendant on fais quoi ?
je pensais que tu réfléchissait plus souvent voyons Sirius tu me déçoit ! On se met dans l'ambiance ! »
Il me fait un sourire.
o O o
« Vous nous laisserez passer pour cinquante $ ?
Pour cinquante $ , je te laisserais lécher mes godasses ! »
Sirius est prés à lui sauter à la gorge.
« Calme ! je vais gérer, je lui chuchote. Nous avons un rendez-vous avec Dragon.
Rien à foutre !
Il nous attends.
J' m'en fou !
C'est urgent !
Ca attendra !
T'a deux secondes pour te casser, je préviens.
J'ai dit on ne passe … »
Oui, je sais avoir un pistolet sur la tempe, ça calme.
« Donc, je reprends. On a rendez-vous avec Dragon c'est urgent. Est ce que nous pouvons passer ?
oui…
Merci »
il s'efface pour nous laisser rentrer, dans ce qui leurs sers de vestiaire. En ce moment c'est pas à ça que ça leur sert.
Plusieurs hommes se battent contre un seul.
Dragon est peu être fort, mais pas au point de battre une dizaine de personnes tout seul. Un coup de main ne serait pas de refus.
Il se fait frapper par un gros costaux cagoulé. Le choc est violent. Il s'écroule à genoux cherchant sa respiration.
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il est pas en forme aujourd'hui.
Au moment où Sirius et moi nous jetons dans la bagarre, les malfaiteurs semblent prendre peur et se tirent sans demander leur restes.
C'est quoi ces conneries !
Sirius s'approche du blessé.
« Bonjour Monsieur Kabuki. »
Alors, alors! ca vous a plus? critique question j'y répondrais comme je pourrais! Des remarques si vous connaissez plus de chose que moi sur la géographie de New York ou sur l'organisation autour des crimes je suis prenante! lol
A plus!
Angel of Dark Wings
