- Ce qui est le plus négligé dans nos écoles est justement ce dont nous avons le plus besoin dans la vie - De Herbert Spencer -
Moi je m'appelle Soraya j'ai 6 ans et la tout de suite en ce moment je suis dans la mouiise ou dans la merde comme dirait les grandes personnes mais papa veut pas que je dise de gros mots donc on va garder le dans la mouise. Je suis en train de marcher derrière mon directeur dans les couloirs de Marinford. Bien sûr comme d'hab je suis avec Torako il fait parti de mes meilleurs amis. Sinon physiquement moi j'ai la taille normal d'une petite fille de 6 ans j'ai de long cheveux noir et lisse qui m'arrive en bas du dos et de très grand yeux rouges. C'est peu commun mais on s'y habitue vite et papa me dit souvent que j'ai les même yeux que ma mère. Torako lui il fait la même taille que moi il est blond et ses cheveux ne sont jamais coiffés. Ses yeux sont très noir et puis bah c'est tout je pense hein. Mais revenons au moment présent... Haa bah nan j'aurais pas le temps de vous racontez on est arriver devant le bureau de papa. Le dirlo prend la parole:
-Torako reste dehors ne pars surtout pas on ira voir ta mère juste après on aura pas pour longtemps je vais vous passer l'envie de faire des bêtises moi.
-Ok d'accord, répond Torako en mode jmen foutiste. Le dirlo le regarde de travers et ouvre la porte
-Bonne chance, me lance Torako au quelle je répond d'un petit clin d'oeil.
Arriver devant papa automatiquement je fais un petit sourire en coin et baisse les yeux, papa lui il se contente de froncer les sourcils. Le dirlo prend la parole:
-Bonjour mon amiral vous vous doutez bien que je ne viens pas par hasard.
-En effet et j'ai bien peur de savoir ce que ma fille a encore inventé, je le regarde rapidement et lui fais mon plus beau sourire avant de reprendre mon ancienne position en voyant une veine sur sa tempe
-Eh bien pour tout vous dire mon amiral les dégâts de la journée sont considérable.
-Je vous écoute, il s'assoit croise les doigts et les poses en dessous de son menton
-Pour commencer Soraya a provoquée une énième bataille de nourriture ce matin au réfectoire après ça elle a échappée a la punition en faisant courir presque tout le personnel dans tout le bâtiment. Il semblerait que mademoiselle avait décidée de jouer a cache-cache. Dans les alentours de 11 heures certains professeurs on pu l'apercevoir faire de nombreux graffitis sur tout les murs en hauteurs elle en a d'ailleurs fais toute la journée un peu partout et tous des graffitis plus provoquant les uns des autres. A midi personne n'a pu manger car elle avait dévalisée LA TOTALITÉ de la nourriture. Elle a passé l'après-midi a faire des blagues toujours plus stupides. Nous avons échappés de justesse a un incendie car nous l'avons trouvé pendant qu'elle se préparer a allumer ce dernier dans MON bureau. Et nous avons encore du faire une petite partie de cache-cache suite a la course poursuite qu'elle avait engagée. Quand nous l'avons enfin attrapé elle a déclaré ouvertement je cite "Vous êtes tous nul j'me suis laissée attraper parce que vous me fessez de la peine, et de toute façon j'me fous de ce que vous allez faire parce que retenez bien que rien ne m'arrêteras nanananannèèèèreee" . Donc voila pour la journée mon amiral. L'équipe pédagogique ainsi que moi même allons réfléchir a une sanction qui permettra de faire réfléchir Soraya pour l'instant on vous la laisse pour la journée en espérant qu'elle ne vous encombre pas et histoire qu'elle se rende compte de ce qu'elle fait.
Hoho ça sent le roussi pour moi tout ça. Bon d'accord j'avoue j'ai vraiment fait tout ce qu'il a dit mais c'est bon il a pas d'humour lui aussi et en plus il exagère...
-Bien vous pouvez disposez Monsieur le directeur je vais encore essayer d'éveiller cette chose qui s'appelle cerveau chez ma fille.
-Bonne chance mon amiral.
Le dirlo sort et je le regarde sortir. Quand il ouvre la porte Torako tomba en avant. Il écouté a la porte cet imbécile bon je vais essayer de détendre l'atmosphère, j'explose de rire.
-Hahahahaha t'es vraiment trop bête Torako hahahaaaha, je suis par terre plié de rire nan mais vraiment qu'il est bête. Il relève la tête et ricane légèrement avant d'exploser lui aussi. Mais il est rapidement repris par le dirlo:
-TORAKO! LÈVE TOI IMMÉDIATEMENT JE DOUTE QUE TA MÈRE RIGOLE APRÈS LA JOURNÉE QUE TU AS PASSÉE TOI AUSSI.
Bon il s'arrête en gardant le sourire sa mère est cool elle va lui passer un savon (au sens propre) mais rien de plus. Il me fait un clin d'oeil et disparaît derrière la porte avec le dirlo. Je suis donc avec papa... seul... seul? Ha bah nan j'y avais pourtant cru mais j'vois que papa était occupé donc je l'ai dérangée ce qui va encore plus l'énerver. J'essayerais de l'amadouer un peu après pour l'instant ILS vont prendre la paroles. Bon sûrement pour ce foutre de moi mais bon.
-Hooooo Soooorayaaa ce n'esstt paaas biiiienn touuut ça huum.
-Alalala les gamins d'nos jours j'vous jure.
-Quand j'entends ça je ne peux m'empêcher de penser que l'avenir de la marine est entre de très mauvaise mains.
-Gwahahahahaha soyez pas si dur les jeunes.
Je préfère les ignorer et j'attends la réaction de papa, il regarde par la fenêtre donc je commence la mission pour l'amadouer.
J'avance vers lui tout doucement, il m'a entendu donc il se retourne et me regarde je baisse les yeux et avance encore vers lui. Arrivé a ses pieds je sers fort sa jambe droite contre moi.
-Papa...
Il retire sa jambe et va s'asseoir sur sa chaise en soupirant. Ça s'annonce mal mais je n'abandonne que très rarement donc je re-vais a la charge. Je passe en dessous de son bureau pour me hisser jusqu'à ses genoux, une fois a destination je me met debout. Je lui arrive a peu près en bas des pectoraux pour vous dire a quel point il est grand. Donc a partir de la ou je suis je passe ma main sur tous son torse et arriver a l'endroit ou se trouve son coeur je m'arrête et pose des bisous a cet endroit, il desserre les points c'est déjà bien, je me met sur la pointe des pieds et passe mes bras autour de son cou en lui déposant un maximum de bisous de partout, la veine sur son cou a disparue pas mal, encore sur la pointe des pieds je met ma tête a son oreille et je la dépose sur le creux de son coup de la je vois les quatre spectateurs: Borsy-san Saka-san et Kuzan-sama me regardent amusés, alors que je pourrais trouver de la nostalgie dans le regard de tonton. En tout cas je reste concentré toujours a l'oreille de papa je m'approche légèrement de son oreille et chuchote:
-Pardon papa... Je suis désolée, je veux pas que tu sois fâché.
Sa veine sur la tempe est partie presque gagné un dernier effort
-Je t'aime papounet chérie d'amour...
Il craque et me prend dans ses bras... enfin... j'y avait cru mais nan il me pose sur le bureau et se lève près a crier
-Raaaaaaattttééé
-Alalala on ne réussit pas a chaque fois.
-Hum...
-Gwahahahaha ne soit pas trop sévère Sengoku!
