Salut tout le monde!

Voilà, ça fait plus d'un an et demi que j'écris la suite d'Eragon pour m'éclater et après l'avoir posté sur plusieurs forum, et étant lue par pas mal de personnes, j'ai finalement décidé de tout reposter sur ici afin de permettre aux nouveaux lecteurs (s'il y en a^^) de s'y retrouver un peu mieux!

Sinon, lorsque j'ai commencé à écrire, mon style n'était vraiment pas au top, ça ne veux pas dire qu'il est parfait aujourd'hui, loin de là! ( les première page sont vraiment horrible^^)Comme tout le monde, il y a des jours où je suis fatigué, où j'ai trop de travail donc forcément tout cela déteint sur mes (minables) écrit. J'ai dépassé les 380 pages sur Word et j'espère que les 100 première passées, vous aurez pris goût à mon histoire. Tout commentaire constructif est le bien venu, les conseils et les critiques sont toujours bonnes à prendre sachant qu'il reste encore beaucoup de fautes dans mon texte car je n'ai pas toujours le temps de me relire. Mon récit est très mal structuré au début mais au fur et à mesures, les parties et les chapitre se dessine un peu mieux et j'espère donc que vous vous y retrouverez.

Bien sûr si vous êtes intéressé pour avoir directement de fichier Word pour des questions pratiques, pas de soucis je suis à votre disposition!

Bon courage pour le début! (Je n'ai pas eu le temps de tout relire avant de poster.. la flemme…)

Un copyright a été déposé pour tout ce qui n'avait pas déjà été mentionné par Christopher Paolinni. Tout plagiat de cette fiction est désormais susceptible d'être punis par la loi.

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Tout ce qui a été repris des deux premiers tomes de ne rentre pas dans ce copyright, tout autre fait, personnage, objet, lieu, peuple, technique non mentionnés ont été crées par moi-même et mis en ligne le 02/02/08. Toute copie ou reprise est passible de poursuite judiciaire."

Prologue :

Sirha était au bord de l'eau. De minuscules gouttelettes d'eau coulaient le long de ses joues et tombaient dans la rivière. Elle s'aperçue que c'était des larmes.

D'autant qu'elle s'en souvienne, s'était une des première fois qu'elle pleurait autant.

Il fallait que la petite fille rentre chez elle, son père avait besoin d'elle. D'un coup elle releva la tête et dévala la pente qui la séparait de sa hutte.

La fillette entra. Seul, Jiet était présent auprès du père de son amie.

Le garçon était un orphelin.

Sirha ne comprenait pas grand-chose du haut de ces six ans sinon que son père se mourrait. L'orphelin en avait presque dix et il faisait du mieux qu'il pouvait pour accompagner les derniers instants du mourant, attaqué par les Razac's.

Le jeune garçon vit que son amie était entrée, il s'apprêtait à la saisir par la main pour qu'elle vienne dire adieu à son pauvre père quand celui-ci, dans un dernier effort attrapa la manche du jeune garçon :

« Jiet ! Souffla-t-il.

-Oui, Monsieur ? Chuchota-t-il en s'accroupissant près de l'homme alité.

-Je… je vais mourir … il faut que…

-Vous n'allez pas mourir, coupa l'orphelin, vous allez guérir !

-Je n'ai plus beaucoup de temps alors écoute moi bien ! Tu va prendre soin de ma fille, il ne faut pas que les razac's la trouve.

-Mais…

-Promet le moi !!! Ma fille a besoin de quelqu'un pour veiller sur elle .Elle n'a que moi comme famille et avant demain je serais partit.

-Mais je…je… D'accord je vous le promets

-Tu la protègeras contre les Razac's ?

-Oui je vous le promets, souffla Jiet. »

La voix de l'homme faiblissait.

« Les Razac's sont venue pour me dérober un médaillon. Ce médaillon. »

Une lueur rouge inonda sa poitrine une cicatrice que Jiet n'avait jamais remarqué auparavant s'ouvrai et laissa apparaître un médaillon. L'homme arracha le médaillon de son cou et le tendit à l'orphelin.

« Donne le à ma fille, elle… c'est le cadeau d'un elfe. Il l'a préviendra…

-De quoi monsieur ?

-De…ce bijou accompagnera la réalisation d'une prédiction… veille bien sur elle !

-Mais je … oui monsieur.

-Très bien. Il … haleta le mourrant.

-Monsieur !cria Jiet

-Papa !suplia la fillette

L'homme agonisait, à présent Jiet et Sirha, qui s'était rapproché, pouvaient voir l'homme haleter, luttant contre l'inévitable.

« Sirha !ma petite, vient ! »

Elle s'approcha, en larme

« Fui-les, toujours, ne les laisse pas s'emparer du médaillon »

Il posa une main sur la tête de sa fille

« Ne les laisse jamais… »

L'homme sembla rechercher dans sa mémoire. Soudain il prit une longue inspiration et bloqua son souffle.

Shira perçu alors une suite d'image vertigineuse qui se stoppèrent sur des amas de chair. Non, pas d'amas de chairs, des choses, des choses immondes. Elle comprit que c'étaient les Razac's. Les images se clarifièrent et la chose tourna la tête d'un mouvement si vif, presque surhumain, et planta un regard vers sur ce qui lui semblait être elle. La vision se troubla se retira de son esprit.

Sirha tomba au sol. Elle sentait encore le regard de la créature sur elle et sa tête lourde était prête à exploser.

« Jamais… »Entendit-elle répéter par son père

Elle perdit connaissance.

Quand la fillette se réveilla, elle était couchée sur son lit, dans sa chambre.

Brusquement tous ses souvenirs lui revinrent en une vague oppressante de sanglots.

Elle se leva et tenta vaguement de tenir sur ses jambes.

Quand elle arriva dans la seconde chambre, Sirha vit Jiet en train de recouvrir le visage de son père avec un linceul.

« Papa ?»Murmura-t-elle

Pas de réponse

« Papa !»Répéta-t-la fillette d'une voix enrouée et angoissé

Silence.

« PAPA !»Hurla-t-elle. Se jetant sur le défunt l'agrippant comme si elle tentait d'obliger la vie à rester dans ce corps si froid.

« Papaaaa… sanglota l'orpheline ; nonnnnnnnnn

-Sirha il ne faut pas rester la ! »

Elle était orpheline.

-Nonnnnnnnnnnnnn

-Sirha, écoute moi, dit Jiet, il faut partir, je vais enterrer ton père et après on partira. Si les Razac's reviennent ton père sera mort pour rien !

-… »

Il lui passa le médaillon autour du cou.

Le pendentif était de forme étrange, la pierre était taillée en forme de spirale avec des motifs compliqués. Un peu comme une écriture. Le bout avait la forme d'un serpent.

Après l'enterrement Jiet prit deux chevaux. Un sac, cent couronnes et ils partirent.