Bonjour tout le monde, maintenant qu'Internet a accepté de revenir chez moi, je peux de nouveau poster mes fics. Cette fois elle est sur Spain, et se passe juste après "C'est bien de rêver". Je suis tombée, un jour, sur une image qui m'a tout de suite inspiré! J'espère qu'elle vous amusera, bonne lecture!

Hetalia n'a toujours pas changé de propriétaire.


Antonio, nation espagnole de son état était heureux aujourd'hui. La réunion à laquelle il assistait se déroulait sans problème, New York était une ville formidable et son Romano chéri avait rêvé de lui hier soir. Oui, c'était une bonne journée, et en plus c'était bientôt l'heure de déjeuner, à lui son bon plat de tomates!

- Well! C'est l'heure du Mac Do! Vous avez deux heures de libres. Goooo!

Alors qu'America partait en courant remplir son estomac d'ogre, les autres nations se séparaient en deux groupes: ceux qui allaient au restaurant, et ceux qui avaient leur pique-nique avec eux. Ils étaient plus qu'une trentaine dans la salle de conférence. Romano avait fuit son amant en allant déjeuner avec son frère, Antonio était donc resté en compagnie des deux autres membres du Bad Trio. Pendant que Francis dévorait un sandwich « parisien », Gilbert écrasait ses pommes de terre qui accompagnaient sa salade. Le déjeuner se déroulait tranquillement quand l'albinos prussien posa un regard interrogateur sur le déjeuner de Spain: « Tu aimes vraiment les tomates toi. ».

- Euh…oui. Est-ce mal?

- Non, mais j'avoue que ça m'a toujours étonné.

- Est-ce que par hasard tu collectionnerais tout ce qui est en rapport avec les tomates? Je crois me souvenir que tu avais un oreiller en forme de tomate, autrefois.

- Ah! Francis à raison! Je m'en souviens, tu l'avais donné à Romano quand il est arrivé chez toi.

- Oui mais…

- Et tu étais super heureux en 1985, parce que tu avais trouvé un t-shirt avec des tomates pour le nouvel an.

- Ah oui! Il l'avait trouvé à Londres!

Pendant que ses potes commençaient à se remémorer toutes les fois où Spain s'était procuré des objets en référence à son fruit adoré. Le brun les regarda comploter dans son dos tout en mâchant.

- Excuse-moi Espagne-san.

- Oh! Que puis-je faire pour toi Japan?

- Je me fais un album sur New York. Je peux vous prendre en photo tous les trois? - le japonais tenait son appareil photo dans ses mains, telle une relique.

- Bien sûr! Les gars, cessez de vous dire des messes basses et faites « cheese »!

Spain ne remarqua pas le regard que se lancèrent les deux complices, prenant déjà la pose pour Japan. Celui-ci s'apprêtait à appuyer sur le bouton pour prendre la photo:

« Prêts? 3...2...1! ».

Au même moment où le CLIC se fit entendre, Francis retira d'un coup la chemise d'Antonio tandis que Gilbert se chargeait de baisser le pantalon de la victime.

- Tu as perdu Francis! Il a bien des tomates sur son slip!

L'espagnol se rhabilla le plus vite qu'il pu, tout en insultant copieusement ses deux amis. Il adorait les tomates au-delà du raisonnable, certes. Mais France et Prusse étaient vraiment des boulets.