Salut! ceci est mon premier chapitre de ma première fanfiction. N'hésitez pas à me dire votre avis et à m'encourager!
Bonne lecture! ^^
Sentiments confus
Cela fais très longtemps que je ressent quelque chose pour lui mais je n'ai jamais eu le courage de lui dire. Il faut dire que je m'enferme trop souvent dans mon sens du devoir et ma froideur. J'aimerais tellement avoir le courage de lui dire ce que je ressens...
Pourquoi je m'obstine à ne rien lui dire?
C'est sur ces pensées que mon mentor entra:
- Alan! Pourrais-tu... Mais qu'est ce que tu fais? Tu rêvasse?
-n-non! *mes joues rougirent* Je ne faisais que...
- Oh et puis c'est pas grave. Mais fais attention à c'que William ne te prenne pas, sinon t'sais c'qu'il fera: Il te donnera des heures supplémentaires. *Il me sourit avec son sourire franc que lui seul sait faire*.
-*Je repris mes esprits*. Oui! Je vais me remettre au travail! Tâche d'en faire autant. Tu est un senpai, tu dois montrer l'exemple.
-Ouais, ouais j'vais m'y mettre après avoir mangé. Ne te surmènes pas trop. T'sais que tu pourrais faire une rechute.
Il partit.
Ouf! Il en étais moins une! Celui à qui je viens de parler est Eric Slingby, mon mentor... C'est aussi pour lui que je ressens ces sentiments confusants... À propos, je m'appelle Alan Humphries et je suis un shinigami de l'association des shinigamis. Ronald Knox, William T. Spears, Grell Sutcliff, Eric Slingby et moi faisons tous partis de la division de Londres.
William entra dans mon bureau:
-Humphries ?
-Oui?
-Pourriez-vous passer à mon bureau après le travail?
-D'accord. *Il s'en alla sans rien ajouter*.
Je me demande bien ce qu'il me veut, il est très rare qu'il invite des gens dans son bureau (sauf Grell qui est tout le temps là)...
...
Je m'assit à une table et sortit mon dîner. Eric s'assit à côté de moi.
- Tu dînes ben tard! Jt'avais dit de ne pas te surmener!
-Je ne me surmènes pas! Toi par contre, je ne t'ai pas vu travailler de toute la journée. *Je prit une bouchée de mon sandwich*
-Salut les inséparables!
Je reconnu la voix de Ronald. Il vint s'asseoir et dit:
- Tu sais, Alan-senpai, t'as pas besoin d'apporter to lunch, il y a plein de jolies filles à la cafétéria qui en font.
-On les appelle des traiteur et je viens ici pour travailler pas pour regarder les filles.
-Ouais je sais, je pense que c'est plus par timidité que tu ne parles jamais aux filles, Alan-senpai.
Je rougis et je ne répondis pas.
-En tout cas, vous ne devinerez jamais ce que j'ai vu aujourd'hui.
Cela piqua la curiosité d'Eric:
-Ah ouais? Quoi?
-J'ai vu Grell-senpai et William-senpai s'embrasser!
-Non! Sérieux? J'croyais pas que William pouvais aimer quelqu'un et Grell en plus!
Ils se mirent à parler d'autres choses mais je ne les écoutaient plus. Je repensait à l'incident qui s'était passé quelques mois plus tôt, lorsque nous avons découvert que Eric collectait 1000 âmes pour me guérir de la maladie des épines de la mort. (voir kuroshitsuji musical: the most beautiful death in the world). En fait, je pensait plutôt à ce qui c'était passé après que je me sacrifie pour sauver Ciel. Ronald m'a raconté qu'ils nous avaient retrouvés gisant par terre et qu'ils nous avaient apportés de toute urgence à l'infirmerie. Il m'a dit que c'est grâce à un miracle si on est encore en vie après de telles blessures. Bien sûr, Eric a eu droit à une sanction: il ne peut plus aller dans le monde des humains. Heureusement, ce n'est pas une conséquence bien grave même si il était démoralisé au début. Pour ma part je n'ai plus jamais eu de crise des épines de la mort, mais Eric a toujours eu peur que je fasse une rechute. Il faut dire qu'il s'est toujours inquiété pour moi... Et ce sentiment que je ressens pour lui... Qu'est ce que c'est?
-...et toi Alan-senpai?
-Q-quoi? Pourrais-tu répéter?
-Toujours le même ce p'tit Alan. Perdu dans ses pensées au lieu d'écouter c'qu'on dit.
Petit Alan, c'est le surnom que Eric me donne parce que je suis le plus petit des shinigamis.
-Je me demande bien à quoi peut penser Alan-senpai. Sûrement pas au travail et ses joues qui rougissent mentent pas. Il pense à quelque chose qui s'appelle l'amour. *Il me sert son air moqueur*. Alors Alan-senpai, à quelle fille pensais-tu? Une du secrétariat ou une de la cafétéria?
Sa question me fit l'effet d'une épine qu'on aurait plantée dans mon cœur. Je savais très bien que je pensais à un garçon au lieu d'une fille.
Étais-ce mal?
Aurais-je dû plutôt penser à une fille?
Suis-je normal?
Je sentit bientôt la panique s'emparer de moi. Je me levai au bord des larmes et m'enfuit sous les yeux étonnés de Ronald et Eric.