J'ai passé pas mal de temps à Konoha, je m'interresse aujourd"hui à Suna,et je vous y emmène lecteur pour vous compter une petite histoire, qui je l'espère vous plaira.

Je vous souhaite donc, ami lecteure, amie lectrice, une agréable lecture, et un bon séjour dans la ville du soleil!


L'Ombre et le Soleil

La rupture.

-Témaris, il faut que nous parlions.

Shikamaru invita la kunoïchi des Sables à s'asseoir à la terrasse du café ou il l'avait conduit, avant de s'installer en face d'elle.

-Oui ?

Mais le jeune homme regarda la foule de civils passer de boutique en boutique, au lieu de continuer sur ça lancée.

-Shikamaru, tu a dis vouloir me parler, alors je t'écoute.

Revenant sur terre, il reposa son regard noir sur la blonde en face de lui.

-Oui, heu pardon. Je voudrais te dire que heu… En fait… Tu vois, t'es quelqu'un de gentille, très douce en faite, calme, se qu'on pourrait pas croire aux premiers abords, et je t'apprécie beaucoup.

-Tu m'apprécie beaucoup.

Shika semblait gêner par son propre discoure, et par le regard lourd que posait Témaris sur lui.

-Tu m'apprécie beaucoup ? répéta-t-elle encore d'une voix ou la colère ce faisait présentir.

-Téma écoute…. Je t'aime bien mais c'est tout.

Voilà, le plus dure était fait.

Il leva les yeux vers le regard bleu voilé de colère de la jeune fille.

-Tu m'aime bien mais c'est tout ?

Pourquoi les fille répétaient-elle tous ce qu'il disait quand elles étaient en colère ?

-Téma…

-T'es qu'un enfoiré ! Après tous ce qu'on…

-Et alors ? coupa-t-il en haussant le ton à son tour. T'es de Suna, moi de Konoha, je suis l'héritier d'un clan, toi si ton frère n'était pas Kazekage, tu serais à la rue. Vois les choses en face, on est pas fait pour être ensemble !

Le visage de la jeune fille s'était décomposée durant le mini-discoure de vérité que venait de lui balancer le maître des ombres.

-Mais je t'aime, souffla-t-elle en posant la main sur son ventre.

-Moi pas.

Il se leva et parti sans se retourner, sachant pertinemment qu'elle venait d'éclater en sanglot.

Le mariage.

Un messager de Konoha venait d'entrer dans le palais et demandait à voir l'un des trois Seigneur qui le commandait.

Gaara avait fuit la haine, et n'était pas ressortit du Désert depuis plusieurs mois, on le croyait mort à l'heure actuel, ce qui arrangea le ninja qui ne voulais pas d'un tête à tête avec le Jinchuuruki meurtrier.

Kankurô, qui avait prit la tête du village en tant que Kazekage, était en réunion avec les conseiller et en avait pour des heures à entendre ces vieux croulant déblatérer sur des problème sans importance.

On conduisit donc le messager à Témaris, qui seul à ne pas avoir de mission à remplir pour son village en se moment, regardait l'eau calme d'une rivière artificielle couler dans l'un des nombreux jardin de la demeure.

Agenouillée dans l'herbe, dos à la porte, elle ne vit pas qui entra, mais elle sut qu'il s'agissait de nouvelles de Konoha, car elle demanda ce que le village de la Feuille voulais.

Etonné, le messager répondit qu'il avait une lettre pour les trois seigneurs.

'Ha oui… Ils ne savent pas' pensa-t-elle en faisant référence à son petit frère disparue.

Gaara lui manquait, il manquait une ombre la nuit, qui veillait sur leurs sommeils.

Témaris tendit la main au dessus de son épaule et se saisit du rouleau qu'on lui tendait.

Elle désactiva les sceau de protections, et le parcouru du regard, sa mélancolique devenant colère au file des lignes.

Ses yeux bleus nuit se reposèrent sur la rivière et elle inspira un grand cou, pour se calmer.

-Comme le veux la coutume, dit-elle, je vais répondre en souhaitant mes félicitations aux Nara pour l'union de leur héritier. Que l'on m'apporte de quoi écrire.

Une servante, assise dans un coin, se leva et disparue.

La tradition voulait que lorsqu'un clan mariait un de ces enfants, tous les pays soient au courant, et il fallait répondre en bien pour que le nouveau couple prospère, et que leur premier enfant soit un mâle.

Témaris s'appliqua à rédiger la lettre, très formelle, ou elle souhaitait à Shikamaru d'être heureux, d'avoir de nombreux enfant, de vivre vieux, mais elle ne puis la signer de son nom, et mis à la place le nom de son frère.

Puis elle la scella et la donna au messager, qui s'en fut.

-Il ne t'a fallut que six moi, murmura la jeune fille en se levant. Elle regarda son reflet dans l'eau. Six moi pour me remplacé.

Elle eut une contraction et s'effondra.
La servante de tout à l'heure vint à ces coté et fit courir ses main charger de chakra sur son ventre rond.

-A sept mois de grossesse, madame, vous devriez rester couchée.

L'accouchement.

-J'ai… j'aimerait qu'il soit là, murmura Témaris en serrant plus encore la main de Kankurô.

-Chut, calme-toi. Lui répondit le jeune homme en pensant qu'elle parlait de Shikamaru.

Il lui épongea le front, et lui caressa le visage avant de se lever pour rejoindre les médecins qui se disputaient sur la conduite à tenir dans un coin de la chambre.

La pièce avait été plongée dans la pénombre, malgré le soleil de plombs qui cognait dehors.

-Sur le grand lit, au centre, Témaris se tordait de douleur.

-Alors ?

-Sire…

-Elle a perdue les eaux…

-Elle souffre…

-Vous êtes trois, et vous êtes pas fichu de m'en dire plus que se que je ne peut le voir par moi-même !

-Sire, dit le quatrième médecin, qui était rester silencieux jusqu'à lors, elle risque fortement de mourir. L'enfant ne se présente pas comme il faut, et elle perd beaucoup de sang.

Les trois autres s'indignèrent.

'Cette famille est maudite' pensa Kankurô.

-Et l'enfant ?

-Il peut survivre, si nous faisons une césarienne.

-Une césa… Lui ouvrir le ventre ?

-Oui seigneur. Mais il faut choisir, elle ou l'enfant.

Kankurô regarda sa sœur puis souffla que ce n'était pas à lui de décider.

Il s'approcha du lit et s'assit près d'elle, alors qu'elle semblait se calmer.

-Tu… Tu crois que c'est ce qu'a… ressentit maman ? demanda-t-elle dans un souffle.

Kankurô ne pouvait pas nier avoir fait le rapprochement avec sa mère, mais lui dire en face qu'elle allait mourir…

-Témaris… !

-Il est là…

Le vent dehors se mit à souffler, alors que l'on entendit quelqu'un hurler 'TEMPETE !'.

Kankurô voyait très bien chacun des villageois courir pour regagner sa demeure, claquer porte et volet, alors que le sable commençait à tourbillonner, que le ciel s'obscurcissait.

-Téma… Ma Grande Sœur…

-Sa va, p'tit frère, je sais. Je vais mourir.

Il avait les larmes aux yeux, elle avait déjà choisis.

-Ils peuvent sauver l'enfant.

-Tu lui en voudra pas ? Tu l'aimera ? Pas comme… pas comme pour Gaara ?

Son visage se crispa, elle venait d'avoir une nouvelle contraction.

Kankurô comprenait la question de Témaris. Il pouvait en vouloir à l'enfant d'avoir tuer sa sœur, comme il en avait voulu à Gaara d'avoir tuer sa mère.

-Promis, Téma, je lui en voudrais pas. Je l'aimerais.

-Alors qu'ils y ailles.

Kankurô se redressa et fit signe aux docteurs qui s'activèrent immédiatement.

Le jeune Kazekage fut mis à l'écart mais ce n'est pas pour autant qu'il quitta la chambre.

-Elle meurt, fit une voix à coté de lui.

Kankurô sursauta en voyant Gaara, celui que tout le monde croyait mort, se tenir à ses coté, regarder les médecins extirper le petit corps ensanglanter de sa sœur.

'J'aurais du deviner' Se dit le marionnettiste, 'le comportement de Témaris, la tempête,…'

Un médecin s'approcha, posant un regard étonner et craintif sur Gaara, et dit à Kankurô :

-Vous pouvez aller la voir, c'est ses dernier instants. Désolé.

Inspirant difficilement, ils s'approchèrent du lit, ou Témaris semblait juste dormir.

-Je savait, dit-elle. Je savais que tu viendrais. Nan, laissez-moi parler. Elle n'est pas de Konoha, elle n'est pas de Suna. Gaara, s'il te plais, élève-la. Elève mon enfant. Protège-la, comme tu nous à protégé, durant toute ces années.

Impassible, le jeune homme répondit un simple 'promis' à la demande pourtant lourde de conséquences de la mourante.

-Vous savez… Vous savez son histoire… Mon histoire… N'en voulais pas à son père… Elle ne doit pas savoir avant… Elle doit être en âge de comprendre…

Témaris, comme fatiguée d'avoir trop parlée replaça sa tête sur les coussins et ferma les yeux.

Kankurô se pencha, lui embrassa le front et lui dit :

-Repose-toi bien, Grande Sœur.

-Une dernière chose… Elle s'appelle… Souria…

-Souria, répéta Gaara. C'est un beau prénom.

Témaris sourit, puis referma les yeux, alors que sa respiration se faisait plus longue.

A suivre…


Note matérielle: comme vous le voyez, pas de chapitre, mais des petit titre, j'espère que cela ne vous dérange pas, je me suis inspiré du film 'Sphère'.

Voilà, laissez moi vos avi par rewiew!

A+

BD.