a/N; Ça fait depuis 2004 que je traîne ma bosse virtuelle sur et j'ai développé un goût pour les lemons...en anglais mais ma conscience d'acadienne nationaliste m'aurait jamais pardonné d'avoir écrit seulement en anglais alors...

Un gros merci à mon petit blondinet de chum de m'avoir fait connaître l'univers de Legend of Zelda, même s'il a fait le saut en lisant cecitte... ^_-

DISCLAIMER: Comme vous l'savez, tous les personnages de Legend of Zelda n'ont pas été créés par moi mais pas Shigeru Miyamoto (tout comme plein d'autres petites merveilles, dont Toad et Mario). Je me permet seulement de les emprunter le temps d'un statement. Les mecs ont eu Lara Croft pour animer leurs wet dreams, nous on a Link adulte! :D

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Le jour se levait au dessus des ruines du château de Ganon. Il montait par dessus l'horizon pour la troisième fois depuis la défaite du monstre et déjà des soldats du roi légitime s'affairaient à rebâtir un autre château sur les ruines.

Pendant l'occupation, le roi avait déplacé sa cour de l'autre côté de la fontaine Zora et des bois perdus. Est-ce que quelque chose, la plus petite chose, avait changé?

Plus maintenant. Zelda était dans la chambre que son père avait fait préparer pour elle. Il n'y avait plus rien, plus de danger! Business as usual. Comme si rien ne s'était passé. Comme si on ne devait rien à personne, surtout pas à un joli blond tout de vert vêtu.

Zelda venait de se lever. Ses servantes sheikah avaient été remplacées par des dames de parage bien mises et polies qui l'entouraient pour l'habiller, la coiffer, la maquiller. Le roi entra dans la chambre sans cogner. La princesse blonde, encore en pyjama, se courba devant lui même s'il était entré à l'improviste. Pour elle, qui avait été élevée par Impa, ce vieux barbu guindé qu'elle appelait « père » était d'avantage son roi que son papa, même si elle le savait bien son géniteur.

- « Ma fille, dit le roi, je ne vais pas te faire attendre plus longtemps; Hyrule a contracté une alliance avec le royaume Champignon pendant ton absence. Ça nous sera utile si un jour Ganondorf refait des siennes. Je t'ai négocié un bon mariage avec un prince du royaume Champignon ».

Le barbu couronné, planté devant sa fille, fit une pause pour attendre une explosion de joie qui ne viendrait pas. Pour lui, il avait fait une bonne affaire. Mario offrait l'Île aux Yoshis en cadeau pour les noces de son cher ami Toad. Il imaginait déjà ses petits enfants, soit aux longues oreilles pointues, soit au chapeau blanc et rouge faire leurs premiers pas sur les dalles du nouveau château d'Hyrule.

Si Zelda avait eu le sourire au lèvres, elle l'aurait perdu dès que son père ouvrit les siennes. Elle était au courant de la chose depuis deux jours mais de l'entendre de la bouche du roi, de savoir que c'est déjà décidé et donc qu'il n'y a pas d'appel faisait aussi mal que si la chose était nouvelle. Elle savait bien qu'un jour son pucelage finirait sur un traîté international, deux clauses après un gisement de rubis, trois clauses avant un droit de pêche sur le lac Hylia. Pendant sa captivité, Ganondorf avait aussi plus d'une fois levé les yeux de son orgue vers son otage pour lui beugler à quel point il voudrait «fourrer sa jolie petite chatte royale » et « en faire une femme ».

Puis Link est arrivé. Ce n'était pas l'envoyé d'un roi qui avait moins peur de perdre sa fille que de perdre un pion politique. C'était un beau jeune homme blond, aux bras élégamment musclés par d'innombrables combats, boss après boss. Il ne disparaissait plus derrière son gros bouclier hylien comme la dernière fois qu'elle l'avait vu, sept ans plus tôt. Dix-sept ans bien sonnés, sa robustesse durement gagnée l'empâchait d'avoir cet air gringalet qu'ont habituellement les adolescents. Ses grands yeux saphir étaient plus parlants que sa petite bouche pas plus bavarde qu'il ne le faut. Deux combats plus tard, Ganondorf gisait sur le plancher, électrocuté par sa propre magie. Link, dont la tunique était noircie et même percée par endroits était lui aussi amoché mais au moins il avait gagné.

Zelda et Link ne restèrent pas longtemps sur les ruines. Ils montèrent sur Epona sans regarder derrière, sans trop étaler le stress et la peur qui retombaient doucement.

La princesse était assise en amazone devant Link qui passait les bras de chaque côté de sa taille pour tenir les rennes. À chaque pas de la jument, le petit derrière de Zelda bougeait entre les jambes du cavalier, embarrassé, qui avait peine a dissimuler une bosse sous ses collants qui durcissait un peu plus à chaque frottement. Saugrenu compliment du corps du héros à celui de sa princesse et même vulgaire, insultant, menaçant aux dires de certaines mais Zelda, même si elle rougissait, se disait que les corps ne se mentent pas plus qu'ils ne connaissent la politesse humaine. Elle n'aurait pas pu se sentir plus désirée, plus femme, autrement.

Elle posa sa tête sur son bras en espérant que son beau héros vienne déposer un bisou sur son long cou, tout exposé juste au dessous de sa bouche. Mais qu'est ce qu'il attendait?

Elle se ressaisit. Et si la cour la voyait? Si on savait ce qui lui passe par la tête en ce moment même, on murmurerait que la princesse a le diable au corps. On ne s'offre pas ainsi à un roturier, du moins pas quand un territoire n'est pas en jeu. Elle passerait de princesse sauvée,enfin revenue à sa cour à traînée dans le temps de le dire comme si son coeur et son sexe ne lui appartenaient pas.

Cependant, même la peur de la déchéance ne suffisait pas complètement à taire le désir d'homme, désir de cet homme-là. Oh, qu'est ce qu'il attendait pour lui serrer doucement le sein ou glisser sa main sous sa jupe? Si au moins elle n'avait pas à lui demander ou même si elle pouvait feindre quelque résistance, elle n'aurait peut-être pas à s'en sentir coupable.

La nuit tombait, l'adrénaline du combat partait, le héros s'autorisait enfin à bâiller et même à se sentir franchement fatigué. Il décida de passer la nuit dans une auberge de Kakariko, histoire de se laver et de passer une bonne nuit de sommeil. Il ne voulait pas se montrer tout crasseux aux côtés d'une princesse.

Un vrai signe des déesses pour Zelda.

- « Une chambre avec un bain, dit tout de suite Zelda à l'aubergiste qui lui rappelait Talon, ce paysan qui livrait du lait au château dans les beaux jours de son enfance. Elle n'a pas laissé Link parler pour ne pas laisser sa timidité et sa politesse les caser dans deux chambres différentes. Euh, une chambre avec deux lits, je veut dire », se reprit elle de longues secondes plus tard pour sauver les apparences et rester décente avant de laisser deux rubis rouges tomber sur le comptoir de bois.

- « Prenez la deuxième chambre à l'étage », répondit l'aubergiste talonesque.

Une demie-heure plus tard, ils entrèrent dans la pièce en bois. Deux paillasses bien remplies avec une cuve pleine d'eau derrière un paravent les y attendaient. Zelda était la moins sale selon Link. Elle se servit donc de l'eau la première. Derrière le paravent, elle laissa tomber sa robe de dentelle défraichie par le voyage à ses pieds et se glissa dans l'eau sans un bruit. L'eau, qui semblait la débarrasser de toute sa sueur dès le premier contact était la seule chose qui pouvait la faire sentir aussi bien que le toucher de son cher Link.

Il était dans la même pièce, ce Link. Il pouvait entendre chaque cliquetis de l'eau qui caressait ses bras, ses seins, ses cuisses...

Qu'est ce qu'il attendait? Qu'est ce qu'il attendait pour la soulever de sa baille pleine d'eau avec ses bras robustes et la déposer sur ce lit qui allait être le leur, leur alcôve pour la nuit et...

Mais il n'est pas venu.

Peut-être qu'il ne voulait pas d'elle de cette façon, finalement.

Décue, Zelda sortit de l'eau et s'épongea avec la serviette rude de l'auberge paysanne. Rien à voir avec les soieries du palais. Elle s'y enroula, passa de l'autre côté du paravent et dit à Link;

- « Tu peut y'aller. »

Deux secondes plus tard, c'était elle que les cliquetis de l'eau faisaient rêver. Ah! Si seulement elle était une goutte pendue à ses lèvres pour tomber sur ses pectoraux en les caressant, couler le long de ses abdos jusqu'à la jolie petite créature étrange entre ses jambes.

Peut-être qu'une autre femme avait déjà tout vu...

Qu'importe. Il n'était pas pour elle ou plutôt, elle n'était pas pour lui. Zelda se dit qu'il fallait cesser de se torturer et penser à autre chose, écouter un autre bruit. Comme par exemple les paroles qui se faufilaient entre les poutres du plancher;

- «C'est la princesse?, demanda une voix jeune.

-Ça doit bien faire sept ans qu'on l'a pas vue, répondit une voix plus âgée, une voix de femme.

-Les avez vous vus, tous les deux, demanda une voix ratoureuse d'adolescente. Pensez vous à la même chose que moi?

-On va avoir un mariage dans pas longtemps », répondit la petite voix naive d'un enfant.

-Oui mais pas avec qui vous pensez. Le roi l'a promise à un noble du royaume Champignon. »

Promise. Le roi ne l'avait pas vue depuis sept ans et il se permettait déjà de la promettre. Pourquoi pas la mettre de côté, la vendre à crédit tant qu'à faire?

Même un roi ne peut pas promettre ce qui a été donné à quelqu'un d'autre.

Link sortit finalement du bain et se mit une serviette autour de la taille. Zelda devait certainement être habillée. Il pouvait donc certainement passer de l'autre côté pour aller chercher sa tunique zora, mal adaptée mais au moins pas brûlée.

Il failli se couvrir les yeux comme un enfant en voyant Zelda, nue, sur le lit qui devait être le sien. Lui aussi l'avait désirée pendant toute la chevauchée mais il avait l'impression de commettre un sacrilège impardonnable en posant les yeux sur les seins fermes et leurs petits yeux roses au garde-à-vous, sur le beau ventre ferme qui était celui de sa princesse. Il était presque content de rencontrer une touffe de poils blonds entre ses jambes statuesques légèrement entrouvertes plutôt que de voir ce que sa gêne lui interdit mais que veut sa libido.

Zelda, offerte, souhaitait que son mâle se jette sur elle comme Ganondorf avait menacé de le faire. Au moins son hésitation aurait duré moins longtemps...

...mais rien n'allait arriver tout seul. Elle comprit que l'homme qu'elle invitait entre ses jambes était encore plus puceau qu'elle. Après tout, n'avait-il pas passé toute son adolescence endormi dans un temple? N'avait-il pas passé ses premières dix années parmi des enfants qui ne devaient jamais grandir et donc, qui n'avaient aucun besoin de se faire expliquer les choses du sexe? Si (et seulement si) Link savait ce qu'elle voulait de lui, il l'avait certainement appris au mieux, d'une fée et au pire, d'un arbre.

Oh, Link savait ce qui se passait. Il le savait d'une blague grivoise ou deux que Mido et les frères je-sais-tout faisaient en se moquant du mystérieux monde des adultes. Il le savait par les rumeurs des pierres à potins sur les gerudos et leurs « petits amis » mais surtout il le savait d'une conversation avec Navi après avoir vu un étalon et sa jument au ranch Lonlon.

Reste que si Zelda voulait d'un homme, elle devait en faire un du beau garçon qui se tenait devant elle. Elle marcha vers lui en s'efforçant d'avoir la grâce d'une panthère mais ne pouvait pas cacher sa nervosité. Elle passa un ongle verni sur les cicatrices sexies qu'il avait sur le torse et que le lait Lonlon n'avait pas réussi a effacer (pour son grand délice!). Elle prit sa main dans la sienne et la guida vers son sexe pour lui faire connaître la délicieuse petite fente cachée sous ses poils, comme faite pour son doigt.

- «Je te veut. »

Les dernières inhibitions de Link s'envolèrent. S'il ne savait pas quoi faire, elle allait lui montrer.

Une journée et quelques heures plus tard, le roi mettait fin à cette belle osmose des corps et des âmes en conviant Link à déjeuner. Il ne lui laissa même pas le temps de s'asseoir avant de lui annoncer la « bonne » nouvelle.

-« Zelda va se marier avec un noble d'un royaume voisin », dit sèchement le roi. Il portait la couronne, pourquoi est ce qu'il aurait montré de la compassion envers celui qui est là pour servir? S'il n'avait pas ses ordres à suivre, il tournerait en rond sans savoir quoi faire.

Zelda, de l'autre côté de la grande table rectangulaire mitraillait le roi des yeux. Pourquoi est ce qu'il a absolument besoin de lui briser le coeur? Pour qui se prenait-il ce vieux barbu qui se prétendait son papa? Se rendait-il compte que s'il avait tout, c'est qu'il devait tout à tout le monde? Est ce qu'il voulait vraiment gaspiller la misérable dizaine d'années qui lui restait à vivre avant de crever à s'assurer que les cinquante ou soixante qu'elle aurait à vivre, elle, sans lui soient vides de tout ombre de bonheur?

Link ne s'assit pas à la table. Il écouta debout le marteau d'une mégatonne lui écraser le coeur. Il n'y avait que deux personnes à cette table qui étendait ses dix mètres devant lui. Les serviteurs servaient un festin mais il n'y avait pas de place pour lui et il n'allait certainement pas en quêter une. Il préférait porter son chagrin debout, lui faire une petite place entre son bouclier et son dos, entre ses bombes et son grappin et le porter comme tout le reste. Surtout, sans s'arrêter. Il ne pourrait plus repartir. Héros du Temps ou pas, la raison d'État (ou le snobisme) venait de s'abattre sur son cou et envoyait sa tête rouler sur le marbre du second palais sans même qu'il puisse porter la main à l'épée pour se défendre contre ceux qu'il a sauvés et qu'il sauverait peut-être encore.

- « Qu'on lui donne cent rubis rouges », ordonna le roi dans un faible effort de regagner l'estime de sa fille tout en chassant le nabot vert de son château. Un serviteur fit retomber pesamment une bourse de toile sur la table en faisant s'entrechoquer les pierres-monnaie. Link n'y porta pas la main. Il savait que s'il les prenait, il ne reverrait plus jamais Zelda. Il suppliait plutôt du regard sa princesse de le sauver comme il l'avait sauvée. Elle n'avait qu'a prononcer un mot, avouer ce qui s'était passé l'avant-veille pour lui sauver le coeur. Que le roi lui en veuille d'avoir couché avec sa fille, Link était prêt à se battre pour à sa vie et même à la perdre.

Mais ça...

Pourquoi est ce que le roi avait décidé ça? Il ne pouvait pas agir comme ça, il était roi! Il était un bon roi. Si seulement c'était Ganondorf qui le regardait de si haut, il aurait pu lui faire ravaler ses paroles à bon coup d'épée mais rien qu'à penser à tirer une flèche contre son roi, Link voulait s'en couper les mains pour en expier la culpabilité. Il prit plutôt la porte, sortit tout droit du palais sans se retourner.

Passé le deuxième portail, il s'arrêta. Avant de remettre son bonnet, il en regarda le tissus usé, en explora presque chaque fil. Ses paumes étaient gantées et la sensibilité du bout de ses doigts en était décuplée. Ils sentaient mieux les taches roussies au cratère du Mont du Péril, l'usure de mille et uns sauts dans le lac Hylia et de mille et uns séchages au soleil. Ses bras et ses jambes se rappelaient eux aussi des lendemains de bataille

Et pourquoi est ce qu'il avait fait tout ça? Pour rendre à ce roi on royaume dont il s'isole lâchement en multipliant les enceintes de pierre.

Aurait-il fait tout ça pour rien? Ô déesses, je vous en prie, ne soyez pas si cruelles! Un roi pour lequel on a risqué sa vie ne peut pas vous faire mal à ce point-là.

Si son père l'est, Zelda ne le sera pas. Elle ne peut pas.

Deux semaines plus tard le sanctuaire était rempli de tout ce qu'Hyrule comptait de nobles pomponnés élevés dans la soie. Plusieurs autres héros étaient venus aussi. Les six autres sages étaient là, rendant le spectacle encore plus minables par leur silence. Ils étaient tous tournés vers la mariée enfouie sous la dentelle blanche avec un diadème entre ses longues oreilles, elle-même tournée vers un p'tit bout de garçon qui devait lever la tête pour pouvoir lui parler.

Tout au fond de la salle, derrière Donkey Kong, derrière Crash Bandicoot pointait le petit bonnet vert de Link qui portait fièrement ses cicatrices comme un pied de nez à la noblesse hylienne. Il aurait presque voulu être devant pour leur montrer, pour leur rappeler que c'est lui qui les a sauvés, avec un naif espoir qu'ils s'en rendent compte.

Par contre, pas question de pleurer. Le Héros du Temps ne pleure pas, même à l'instant fatidique ou les mariés s'embrassent, après avoir été déclarés unis par la Sainte Triforce. Jusqu'à la dernière seconde il avait gardé son bonnet entre ses mains dans l'espoir qu' au moins elle, Zelda, se souvienne des petits baisers donnés quand ils avaient dix ans, de la nuit à l'auberge. Qu'elle, au moins, se souvienne qu'il l'a sauvée!

Mais non. La raison d'État lui avait certainement remplacé le coeur par un diamant altier, royal mais mort. À moins qu'elle ait été séduite par ce sale petit étranger. Mais qu'est ce qu'il avait ou qu'il n'avait pas, Link, pour ne pas la mériter?

Une fois les vœux prononcés d'une voix non-hésitante, c'est Zelda qui embrassa son marié trop timide et trop court pour le faire.

Elle voulait ce mariage, elle l'aimait!

Link resta planté sur son banc de sanctuaire, zombifié, jusqu' à la fin de la cérémonie. Tout le monde sortit sous la bruine qui collait au pays depuis la matinée. Pour la première fois depuis qu'il avait trouvé son épée et son lance-pierres et s'était tout d'un coup senti plus qu'un kokiri, presque un homme, il sentait le poids de ses armes l'accabler. Elles avaient tués tant d'ennemis pour sauver les autres mais étaient inefficaces pour le sauver, lui, cette journée-là.

Alors qu'il s'éloignait, qu'il regardait sans voir le chemin devant lui, Link rougit. Il regarda le symbole de la Triforce sur sa main. Beau cadeau empoisonné, belle chaîne invisible qui l'obligeait à faire tout ce que le dernier ingrat d'Hyrule demande. Chaque fois qu'on l'appelait « Héros du Temps », on le félicitait d'être un si bon esclave. Une belle âme pure de qui tout le monde peut profiter. Belle âme trop stupide pour s'en rendre compte. Stupide!

Belle âme trop conne pour mériter Zelda.