Chapitre 1 - Le vieil homme est amer.

Où l'on voit Végéta, prince des Seyen et dernier de sa race, se faire violer non sans plaisir par le fougueux Capitaine Haddock.

"- La prochaine fois, marin d'eau douce, essayez au moins de serrer un peu plus les fesses !"

Le Capitaine se redressa et enfila rapidement une robe de chambre rose bonbon. Son sexe demeurait en érection, et venait pointer contre l'étoffe en satin, humidifiant légèrement le tissus. Il avait tant navigué à l'intérieur de Tintin et sur sa peau que son sperme avait formé une sorte d'écume, douce à regarder. Tintin demeura quelques instants ébahi par cette vision, puis le capitaine sortit en allumant sa pipe.

Tintin se leva et se traîna, non sans grimacer à cause de la douleur dans son postérieur, jusqu'à la grande glace à l'entrée de la chambre. Là, il contempla son petit corps sous tous les angles possibles. Certes, il était beaucoup moins viril que le Capitaine, mais c'était essentiellement son absence presque totale de pillosité qui en était la cause : seules de petites touffes presque blondes entouraient sa verge. Le reste de son corps, torse et cuisses inclus, était lisse comme du savon et luisant de transpiration. Oui, il était tout à fait un bel homme : nettement dessinés, ses abdominaux reflétaient la forme physique et la vitalité. Ses avant-bras et ses pectoraux lui avaient demandés des efforts répétés, un entraînement de tous les diables, mais au moins il pouvait en être fier. Quant à ses petites cuisses... elles lui donnaient, certes, un aspect un peu androgyne, car elles étaient très menues et courtes... Mais elles plaisaient beaucoup au Capitaine (en tout cas, c'était la partie qu'il carressait le plus pendant leurs rapports). Se retournant, il resta encore un instant à contempler ses fesses menues et musclées, agrémentées d'un bleu fait par le Capitaine qui n'y était pas allé de main morte avec les fessées. Oui, il pouvait être fier. Il ferait bonne figure aux yeux des invités.

Tintin ne prenait plus vraiment la peine de s'habiller, tant la fréquence entre les rapports avait diminué ces derniers jours. Dans l'escalier, il croisa Nestor qui lui saisit machinalement le sexe en lui demandant s'il avait vu le Capitaine. Les premiers invités devaient arriver un peu avant midi, et le déjeuner serait prêt en temps et en heure. Tintin éjacula en vitesse et repris son chemin vers la cuisine. Il n'aimait pas beaucoup le nouveau look de Nestor, qui lui donnait des frissons : depuis qu'il avait perdu un pari au cours d'une soirée assez alcoolisée, le majordome se promenait habillé en drag-queen, avec une boule de geisha dans l'anus et une ceinture de chasteté.

Lorsqu'il ouvrit la porte de la cuisine, le petit reporter entendit Milou glapir.

"- Milou ! Comment ça va mon vieux ?"

Le petit chien blanc se précipita joyeusement sur son maître et se mit à glappir en lui léchant le bout du gland.

"- Oui, mon vieux Milou, je viens de lâcher la purée sur Nestor ! Mais ne t'inquiète pas, tu en auras aussi, de mon lait, il faut simplement que je recharge mes batteries."

Tintin eut à peine le temps de se servir un bol de Corn Flakes que la sonnette se faisait déjà entendre. Curieux, il se rendit dans le hall pour voir le premier visiteur de la journée : c'était un petit monsieur avec un sourire fier, et vêtu d'une manière absolument abérante - il portait une sorte d'armure blanche futuriste et kitsch, avec même des épaulettes ! Lorsqu'il vit Tintin, Nestor annonça :

"- Monsieur Végéta, Prince des Seyen !"

Tintin se présenta immédiatement.

"- Passons les formalités, le coupa l'invité avec une voix grave et sensuelle. Je suis venu pour voir les salles bondage et fist. Où sont elles ?

- Dans la cave, je vais vous y mener. Mais ne voudriez vous pas d'abord vous déshabiller et faire quelques préliminaires ? Votre armure semble lourde, et votre vit apprécirait sans doute un petit lavage."

Cependant, l'étranger semblait ne rien vouloir entendre. Son seul désir, expliquait-il, était d'enfoncer son gros poing dans le derche de quelqu'un. Alors que Tintin observait son entrejambe, essayant d'évaluer la taille de son sexe (qui paraissait effectivement conséquente), il remarqua que le Capitaine se faufilait derrière son invité avec un sourire dément au visage et le braquemard dressé. Ses hanches souples, son torse velu et ses épaules larges faisaient toujours chavirer le reporter - qui se mit à bander sans s'en rendre compte. Végéta remarqua la subite érection, mais il n'eut même pas le temps de tourner la tête; déjà, le Capitaine avait relevé son armure d'un geste expert et inséré son sexe dans son postérieur.

"- Mille sabords ! Mais c'est qu'il y a de la place là-dedans !" s'écria-t-il.

"- Qu'est ce que vous faîtes ? Misérable humain ! Insecte, comment osez vous ?!"

Végéta se débattait, mais le Capitaine le tenait solidement par les bras et continua de donner des coups de piston dans son anus. A ce moment, Tintin remarqua la présence étrange d'une queue de singe qui se balançaient nonchalemment, s'enroulant autour de la taille du Capitaine et lui tapottant les fesses, et qui semblait appartenir au Seyen. Intrigué, le jeune reporter s'approcha et saisit la queue. Il se l'enroula tout d'abord autour du sexe, puis l'enfonça dans son postérieur et s'amusa de ses frémissement, avant de l'utiliser finalement pour fister Milou. Le petit chien glapit de douleur d'abord, puis enfin de plaisir au moment où le Capitaine se déchargeait dans son invité.

"- On va pouvoir passer aux choses sérieuses, milles sabords ! Nestor ! ouvrez le wisky, abreuvez mon invité ! Un être pourvu d'un derche de la sorte mérite toute notre attention !"

Tintin suivit le petit comité à la cuisine. La journée promettait d'être passionnante, songea-t-il. Quelques instants plus tard, il léchait l'extrémité dressée de la verge de Végéta, rêvant de méler son sperme transparent au wisky dans son verre. Mais la semance de Végéta était sans doute trop sucrée; elle pouvait peut-être avoir plus de goût, chauffée, pour accompagner un Irish Coffee. En tout cas, le foutre amer du Capitaine demeurait le meilleur ; riche en saveur, fort et plein de caractère, il était conforme à la personnalité de son producteur : un vieil homme puissant et sauvage, marqué par le temps et la colère, obsédé par la vie encore et capables des plus terribles érections.