Salut tout le monde ! Ceci est la réécriture de ma toute première fanfiction que j'ai commencé il y a longtemps et croyez moi j'en avais un peu honte : des fautes partout, un scénar écrit au feeling et qui n'a aucun sens, …
Bref j'ai donc décidé de la remanier pour qu'elle soit plus agréable à lire et peut-être la finir. Si vous êtes déjà passés par là je vous préviens de suite, cette nouvelle version aura très peu à voir avec l'ancienne. Les événements ne se dérouleront pas de la même façon ni à la même vitesse.
Sur ce je vous laisse donc avec le nouveau prologue de cette fanfiction.
Disclamer : Aucun des personnages ne m'appartient dans cette histoire. Seul le personnage de Yui est à moi. Je ne touche pas un sous pour mon écrit.
-ft-sdk-ft-sdk-ft-sdk-
J'avançais calmement sur les routes de terre sans but précis, sans même savoir dans quel directions je me dirigeais. J'étais couverte de sang de la tête aux pieds, tenant de la main droite un sabre dont la lame était noircit par le sang séché, le fourreau à mon coté gauche.
Après ce qui me semblait être des heures de marche après ma dernière pause le son produit par mas pas changea. Distraitement, je jeta un regard au sentier et m'aperçus que la terre avait été remplacé par des pierre. Mes yeux se portèrent alors vers l'horizon dans lequel se dessinaient plusieurs toits de hauteurs différentes.
La ville qui se profilait devant moi était inconnue pour moi. Je n'étais jamais sortit des terres où j'étais née. Terres mises à feu et à sang par les pulsions meurtrières des miens, des terres que j'ai fini par fuir après la mort de mon frère.
Je pénétrai alors dans la ville, attirant des regards se tournèrent vers moi, certains étaient horrifiés, d'autres intrigués. Les rues défilaient autour de moi tandis que j'avançais d'un pas lasse et monotone, portée par le vent. Après ce qu'il me semblait être quelques minutes de marche, j'arrivai devant un immense bâtiment. Une soudaine bourrasque fit voleter mes cheveux, me poussant vers l'édifice où résonnait une musique entraînante ainsi que des éclats de rire.
Poussant lentement le grand battant en bois, je fis un pas dans ce qui semblait être une pièce commune. Musique et rires se stoppèrent à mon entrée, une cinquantaine de paire d'yeux posés sur moi. La porte se referma.
« Excusez-moi... Où suis-je ? demandais-je d'une voix neutre mais tremblante à la fois »
