pseudo: Florinoir

Titre: Niveau 7

Genre: Cross-over, UA ,shonen ai, OOC, Angst, tortures, vont en chieeeeeerrrr!!

Couple: Y en aura!

Disclamer: Ben, y en aura pas beaucoup à moi! A vous de deviner!

--------------: petite ellipse temporelle, ou changement de lieux(pas éloigné

NIVEAU 7

1991:

Une forêt, du vent, il fait nuit. Des camions à bestiaux cahotent sur un chemin, slalomant aux milieux des arbres. Ils finissent par arriver dans un endroit plat, entouré de protections, de miradors. des projecteurs éclairent une cour, où les véhicules s'arrètent.

Des gens armés surgissent, ouvrent les portes arrières, et intiment à l'aide de leurs armes et de cris les occupants à descendre. Bientôt, Des enfants se prèssent par petits groupes au milieu des soldats. Ils ont l'air térrifié, certains pleurent. Les plus vieux n'ont pas huit ans. Ceux qui font un peu trop de bruit selon les hommes sont frappés. Des coups de feu sont tirés, des cris s'elèvent, des petits corps s'éffondrent sous le regard horrifié et chargés d'incompréhension des enfants.

Des vociférations, des menaces. Et parmis l'un des groupes de plus jeunes, deux paires d'yeux sans larmes, deux regards, térrifiés, certes, mais chargés de colère, et de défis. Deux garçonnets, l'un chatain clair, aux grands yeux d'un noir profond, horrifié, fixant avec peine et rage les cadavres à terre. L'autre, aux cheveux noirs et lisse, le regard sombre et aigu, sèrre les poings et regarde le sol, la machoire crispée. Ils relèvent les yeux au même instant, et leur pupilles se croisent.

Puis leurs ravisseurs les entaînent à grand renfort de coups vers des batiments.

Le cauchemar commence.


1999:

Une grande salle, des gardes armés, des enfants aux regards vide ou térrifiés. Des êtres en costumes, d'autres en blouse blanche, en uniformes assis à des tables couvertes de papiers, de comptes-rendus, de casse-croûtes, de boissons. Les enfants sont debouts, maigres, habillés d'un vetement blanc avec un numéro épinglé dessus.

L'heure du choix.

Après trois mois de captivité et de tortures pour les petits, les têtes pensantes du projet sont en mesure de choisir qui de leurs cobayes passeront à l'étape supèrieure.

Des numéros sont appelés, leurs propriétaires sommés de s'avencer vers les personnes assises, de se tourner sous toutes les coutures, puis de suivre un garde vers une porte au fond de la salle.

Chacun des enfants frissonnent, avec la crainte d'entendre leurs numeros; ils savent que les appelés seront traîtés encore plus durement. Peu leur importe la mort, ou ce qu'il adviendra d'eux si ils ne sont pas désignés. Ils ne veulent pas vivre pire que ce qu'ils ont déjà vecu. Oh non.

Sur les cinquantes cobayes, sept ont été retenus. Les autres quittent la pièce, molesté par les gardes. Peut-être les reverrons-nous. Et peut-être pas.

Parmis les septs élus, deux retiennent particulièrement l'attention des dirigeants. Deux garçons, l'un ramassé en France, aux cheveux blonds et aux yeux améthystes, au visage délicat. Et l'autre, tout aussi éfféminé, aux cheveux blonds et aux yeux bruns, ramassé au Japon. Ces deux-là n'ont pas perdu la lueur déterminé qui anime encore leurs prunelles. Eux ont de grandes chances de survivre jusqu'au dernier stade.

Ils ont laissé échapper les quatre premiers niveaux 7. Ceux-là prendront la relève.


2004:

La chambre est blanche et vide. Dans un coin est recroquevillé le petit garçon. Il n'est vétu que d'une tunique sale et déchirée, maculée de sang et autres fluides. Il est assit, la tête reposant dans ses genoux relevés. ses mains pendent sur les côtés, elles sont méconnaisables, brisées en tout points et couverte d'hémoglobine. Ses bras nus sont couverts de blessures. Ses cheveux clairs sont sales.

Des bruits dans le couloir.

Il relève lentement la tête, revelant un visage tuméfié aux traits extremement fins, une peau pâle, une bouche fine aux lèvres gercées et sanglantes. Ses grands yeux verts mordorés reflètent un instant de la terreur mais redeviennent vides. Il se relève, péniblement, retenant ses cris de souffrance lorsque ses mains se meuvent. Crispé, il s'aide du mur pour se tenir debout, son dos douloureux s'appuyant une seconde dessus. Puis il finit par s'en écarter un peu. Il veut être debout, sinon ce serat encore pire. et il ne veut pas leur montrer ne serait-ce qu'un instant de faiblesse.

... Non! Il secoue sa tête douloureuse. Il ne doit pas avoir ce genre de pensées. Il ne doit pas penser. Il n'est rien. Rien.

Mais quand la porte s'ouvre, une infime lueur de volonté dans ses yeux ne disparaît pas. Il fixe les arrivants. Un premier coup part, le projetant contre le mur. Il ne crie pas. il a mal, mais il ne criera pas. Les coups pleuvent, et il ne peut retenir quelques gémissements plus longtemps. Mais il ne pleurera pas.

Et même quand ses tortionnaires, excités par ses cris étouffés, lui arrachent sa tunique pour le profaner, encore, les lames ne s'échappèrent pas de ses yeux.

Ils s'arrètent, partent, laissant le corp frèle et brisé. Ils reviendront bientôt.

Un des tests...

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La pièce est blanche, et vide. Au fond est allongé le petit garçon. Il n'est vétu que d'une tunique qui fut blanche, plus qu'une guenille tachée. Il est en position foétale, toutes les parcelles visibles de sa peau légèrement halée sont couvertes de coups, de lacérations. Ses cheveux indisciplinés bruns sont raides de crasse. Ils cachent le haut de son visage, ne découvrant pas ses yeux. Ce qu'on voit de sa figure est fin. Ses lèvres pleines et sanglantes bougent. Un murmure litanique en sort.

Des pas.

Ils arrivent.

L'enfant se relève, n'écoutant pas les hurlements de son corps. C'est debout, droit, la tête haute qu'il acceuille les bourreaux. Ceux-ci restent un court instant figés devant le regard du gamin. Un regard glaçé, ouvertement defiant. L'un des gardes s'avance et le frappe violamment au ventre. Le garçon se plie en deux, retenant son cri. Les autres le saisissent et le pousse vers la sortie à coup de pieds, de poings, de matraques... L'enfant reste droit.

la porte se referme derrière eux.

Il quitte temporèrement un enfer pour en retouver un autre...

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Une pièce sombre et humide, remplie d'appareils de tortures. Sur une table froide en metal est attaché le petit garçon. Ses pieds et ses mains sont liés au support par des couroies de cuir. Autour de lui s'affèrent des ombres qui frappent, injèctent, insultent, brulent, touchent, enfoncent son corps nu. malgré ses éfforts, il laisse échapper des hurlements, parfois. Il serrent les dents sinon, quand quelque chose ne cherche pas à s'introduire dans sa bouche. Ses membres tréssautent, les liens les retenant, mettant sa peau à sang.

Son visage fin et bronzé est crispé par la douleur, ses paupières sérrées pour retenir les pleurs. Ses cheveux sont humides de sueurs, ses boucles brunes raidies par la saleté.

On le détache, le couvre sommairement d'une tunique sale et déchirée, et on le traîne jusqu'à une petite pièce blanche et vide.

On l'y jète, et la porte se referme, le laissant seul, prostré.

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M'appelle... 03N7G3... I...Iie... Ma...Matricule...03...N7...G3.Plus... de ...nom...

Une pièce noire, sous terre. Des chaînes. Des petits bras enferrés dans des cercles de fer. Il est nu. Couvert de marques noires ou sanguignolantes. Des mèches ailes de corbeaux tombent devant son visage fin. Ses yeux verts sont secs, mais expriment une douleur proche de la folie. Il peut se le permettre. Ils sont partis. De sa bouche fine, maculée de sang et de sperme, sort un murmure frèle.

Matri... cule...03...N...sept... G... Tro... ois... Plus de... nom... Juste....un... nu...mé...ro...

Il se taît, un instant... Puis, une lueur s'allume au fond de ses yeux.

J'en avais...un... M'appe...lle... M'appellais... Shu...

Il s'évanouit...

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Une forêt, un temps sombre et pluvieux.La petite fille se tient bien droite, son vetement trempé et crasseux colant à sa peau café tuméfiée. A ses pieds, une arme démontée. Autour d'elle, des cibles. Au dessus d'elle, des sentinelles prèts à tirer, si elle fait mine de se rebeller, de montrer un sentiment, ou de dépasser le temps imparti. La fillette ne cille pas, son regard jade naturellement farouche fixé sur le donneur du signal de départ. Son visage aux traîts aigus est impassible, elle ne peut rien cacher à ses surveillants à cause de ses cheveux bruns coupés ras.

Signal.

Vive comme l'éclair, elle se baisse, monte l'arme, et la pointe sur les cibles. Celles-ci se mettent à bouger.

Plus que 20 secondes. Les doigts des gardes accentuent leurs pressions sur les gachettes.

5 secondes. 5 cibles à avoir.

3 secondes. 3.

0. Un coup de feu. Un corp qui tombe. La cible. La fillette baisse son arme.

Elle a reussi. Ne pas trembler.

On la tire vers les batiments.

Demain, simulation de torture.Peut-être.

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Une pièce remplie de machines. Deux sièges occupés. Deux enfants couverts d'élèctrodes. Soudain, le coeur de l'un d'eux s'emballe. Des scientifiques accourent pour regarder le moniteur.

012N7G3 s'emballe. 07N7G3 reste stable.

Le garçon tréssaute sur son siège. Du sang sourde de ses lèvres craquelées. Ses mèches noires collent à son crâne, ses yeux en amandes sont grand ouverts, et la pupille prend tout l'oeil. Puis il se stabilise, et l'experience reprend son court normalement.

Aucunes des blouses blanches n'a vu la petite main du garçon être sérrée dans celle de son voisin. L'enfant aux yeux insondables, au visage sevère, aux cheveux charbons.

Et la simulation se poursuit, les amenant aux portes de la folie, les submergeant d'horreur.

Parfois, les petits corps maltraités sursautent.

Mais ils ne flanchent pas.

Differentes dates, même lieu de cauchemar. Différents cobayes. Mais en fin de compte, une même histoire, dont le véitable commencement se trouve en 2015...

TBC...

Les ptites notes:

Et un autre début!! Et quand est-ce-que j'invente les fins?!TT

C'est assez confut pour le moment mais ça va se preciser!

Rewiews? Juste pour savoir si je continue à vous faire chier, ou si je garde mes délires pour moi? Et pour savoir ce que vous en pensez? Et pour voir si vous avez reconnu cetains persos?:p