Auteur : Dyneen

Disclamer : Les personnages de Gundam Wing appartiennent à Mrs H. Yadate et T. Yoshiyuki. Je les emprunte juste...

Couples : 38 or 8 et 3 font 11, et 1 est un chiffre que j'aime bien

Genre : Histoire New-type. Relation Yaoi/mixte.

Remarques : Fiction en 12 chapitres pour le moment (mais elle n'est pas encore terminée)

« … » - paroles / ' … ' - pensées (comme d'hab quoi !)

Attention : NC-17 donc prenez vos responsabilités !

Chapitre avec LEMON


Reconversion

Chapitre 1


Allongé sur un lit dans une énième planque, je réfléchis sur les événements des derniers jours tout en écoutant mon discman. Mon pied bouge inconsciemment au rythme de la musique tandis que les hypothèses les plus folles passent dans mon esprit, cherchant ainsi à répondre à la question qui me préoccupe depuis deux semaines 'Pourquoi agissent-ils de cette façon ?' La porte de la chambre s'ouvre et je vois les autres pilotes entrer. Je fronce les sourcils… Quelque chose cloche. J'enlève mes écouteurs et les regarde, interrogatif. Ils s'approchent du lit et s'y asseyent avant de me regarder tous les quatre. Et là c'est le déclic, je vois ce qui me gênait depuis toute à l'heure. Les trois glaçons de notre bande, j'ai nommé Heero Yuy, Trowa Barton et Wufei Chang ont les yeux qui brillent… de désir… Sur ce coup là, j'évite de justesse l'étranglement et regarde, déconcerté, notre petit ange blond qui à ce moment ressemble plus à un incube... Je vous laisse deviner qui joue le rôle de la jeune femme endormie...
Moi, Duo Maxwell, alias Shinigami, je suis face à quatre Apollon qui meurent d'envie semble-t-il de me mener aux portes de leur Paradis.

Avant d'avoir pu finir d'évaluer la situation, Heero s'approche, félin et me repousse sur le lit, m'embrassant sauvagement au passage. D'abord surpris, je me laisse apprécier le baiser puis aspire une grande goulée d'air quand il accepte enfin de relâcher mes lèvres. Il enlève brutalement mon tee-shirt, le déchirant presque et je décide alors de faire stopper les choses. Je le repousse, et celui-ci me regarde un peu surpris, mais alors que j'essaie de me relever pour me mettre à leur hauteur et quitter cette situation de dominé, Trowa m'attrape le bras droit, Wufei le gauche et ils commencent à les lécher soigneusement. Des frissons de plaisir traversent mon corps mais j'essaye de les décourager, conscient des conséquences si je me laissais faire. C'était sans compter sur le nouveau démon blond qui happe à son tour mes lèvres me repoussant contre les draps.

« Qu'est ce que… Qu'est ce que vous faites ? » Je sens mon pantalon et mon boxer disparaître de sur mes cuisses et je commence sérieusement à appréhender la suite.

« Lâchez moi… » Souffle-je. Mais personne ne semble m'écouter. Leurs mains me touchent, caressant mon corps nu tandis que leur langue allume des brasiers ardents sur chaque parcelle de ma peau. Trowa et Wufei taquinent mes tétons s'amusant à les mordiller et les sucer, les soulageant parfois d'un petit coup de langue ; Quatre suçote la peau sensible de mon cou, remontant parfois jusqu'au lobe de mon oreille ; et Heero… Oh… Heero a englouti ma verge dans sa bouche traçant des symboles compliqués avec sa langue sur ma hampe dressée, tout en malaxant doucement mes testicules. Ce n'est pas possible, ils sont devenus fous… Aaaah… je VAIS devenir fou. Il faut que je les arrête pendant que je suis encore capable de penser. J'essaye de me dégager mais ils me maîtrisent complètement et plus je gigote, plus leur prise sur moi se resserre. Mon plaisir augmente à chacune de leur caresse et je commence à me perdre dans ses sensations agréables qu'ils me procurent. Un doigt s'insère soudain en moi et je ne peux m'empêcher de gémir d'inconfort et de panique.

« Je ne veux pas… » Mais un second doigt rejoint le premier sans que je ne puisse rien y faire. Ma respiration déjà rapide à cause de mes efforts pour me libérer, s'accélère encore sous le plaisir quand les doigts d'Heero frôlent le point sensible. Il le sens et en profite. Introduisant un troisième doigt dans mon intimité, il touche maintenant ma prostate à chacun de ses va-et-vient et mon corps se cambre légèrement devant la montée de plaisirs. Les autres pilotes continuent inlassablement leur œuvre, m'apportant encore plus de sensations mais alors que mon corps s'abandonne complètement, mon esprit refuse de capituler.

« Arrêtez… » J'halète « Il ne faut pas… » Ma faible rébellion se perd dans la bouche de Quatre qui m'embrasse passionnément. Alors que je récupère assez de souffle pour tenter de me débattre de nouveau, Heero me pénètre brutalement et mon cri résonne dans la pièce. Wufei a pris la place d'Heero sur mon sexe tandis que Trowa et Quatre continuent leurs occupations érotiques. Je sens la verge d'Heero se retirer presque entièrement avant de revenir en moi profondément. Rassuré par le coulissement fluide de son sexe dans mon anus, il accélère la cadence, frappant à chaque entrée ma prostate tandis que le plaisir déferle en moi. Mon corps essaye de se cambrer sous les sensations qui l'assaillent mais mes bourreaux ne semblent pas d'accord et ils me bloquent les hanches après les avoir légèrement surélevées. Mon intimité, pleinement accessible à présent, se retrouve pilonnée avec sauvagerie par Heero et je me libère brusquement dans la bouche de Wufei tandis que le sperme d'Heero gicle en moi lors d'un coup de rein plus violent.

Je ferme les yeux, essayant de retrouver mes esprits mais ils ne m'en laissent pas le temps. A peine Heero se détache-t-il de moi que Wufei prend sa place et m'empale violemment me faisant crier de nouveau. Ses va-et-vient sont aussi rapides et précis que ceux d'Heero, qui explore maintenant ma bouche avec sa langue tandis que Trowa me suçote le gland et que Quatre pince farouchement mes tétons. J'orgasme une nouvelle fois, et Wufei me suit de près. Comme la première fois, une bouche bâillonne mes lèvres m'empêchant de crier mon plaisir puis soudainement elle s'échappe pour se retrouver remplacer par les douces lèvres de Wufei. Trowa est déjà en moi, tout aussi déchaîné que les autres tandis que Quatre me masturbe lentement et qu'une goutte de sang coule sur mon téton meurtri.

Mon esprit est depuis longtemps HS et cette sensation de plaisir reste la seule maîtresse des mouvements erratiques de mon corps en sueur. Troisième orgasme, toujours silencieux alors que Trowa vient de jouir profondément en moi. Dernier changement et Quatre se place à l'entrée de mon intimité. Les autres pilotes étaient entrés en une seule fois, rapidement, mais Quatre semble préférer prendre son temps et je sens chaque centimètre de son sexe s'enfoncer en moi. Mon corps tendu à l'extrême reste toujours immobilisé et je déglutis difficilement alors qu'une nouvelle vague de plaisir remonte en moi. Quatre se laisse aller après sa deuxième pénétration et ses mouvements se transforment en de furieux coups de butoirs. Cette fois, c'est Heero qui reçoit ma semence puis Quatre éjacule en moi dans un puissant jet. Mon corps tremble alors que chacun me libère puis m'embrasse successivement. Ils se couchent à côté de moi et je les sens se détendre alors que leur respiration ralentie. Je suis épuisé et, refusant de me reconnecter à la réalité ce soir, je cède rapidement à Morphée qui m'entraîne dans ses bras.


Le soleil rentre dans la chambre et je regarde les particules de poussières voler dans ses rayons. C'est étonnant ce que l'on peut découvrir quand on prête une plus grande attention aux choses qui nous entourent. Mais je crois que sur ce coup là, même en prenant des lunettes, je n'aurais pas pu deviner ce qui allait se passer hier soir. Et en ce début d'après-midi, je me suis réveillé seul entre les draps froids de mon lit et je me suis demandé si je n'avais pas rêvé… ou cauchemardé, ça dépend comment on voit les choses. Seulement la douleur qui a fusée du bas de mes reins quand je me suis assis était tout sauf irréelle et j'ai pris de plein fouet l'ampleur de la situation. Je n'avais pas rêvé…Ils m'avaient tous baisé avec entrain et je m'étais plus ou moins laisser faire. J'y avais pris plaisir, mais la réalité était là. Je ne voulais pas… Avant que mon corps se laisse emporter par ce déferlement de plaisir, je leur avais demandé d'arrêter… Avant que mon esprit ne perde pied dans ce flot d'émotions, je m'étais débattu… Et eux n'en avaient pas tenu compte… ils s'étaient servis et voilà. Je ferme les yeux alors que ceux-ci menacent de se remplir de larmes puis les rouvre, furieux. S'ils croient qu'ils vont s'en sortir comme ça, ils se trompent lourdement. Je vais aller leur dire ma façon de penser et leur demander des explications et foi de Shinigami, ils n'y échapperont pas.

Satisfait de ma décision, je me lève de nouveau, en grimaçant légèrement et me dirige vers la salle de bain pour me glisser sous une bonne douche. Je descends ensuite dans la cuisine pour prendre un déjeuner copieux. Eh oui, le sport en chambre, ça creuse ! Après avoir vidé une bonne partie du frigo, je rentre dans la salle à manger où Heero pianote sur son ordi tandis que les trois autres pilotes lisent. Je sais qu'ils m'ont entendu entrer mais aucun d'eux ne relèvent la tête et franchement je ne suis pas vraiment d'humeur à jouer aux devinettes.

« Arrêtez de jouer aux autruches et regardez moi ! » Je me plante devant eux et attends qu'ils se décident à me regarder en face, ce qu'ils font après quelques secondes d'hésitation.

« Je veux une explication » Je n'ai pas haussé le ton mais mon visage fermé et mes yeux assombris parlent pour moi. Je crois qu'ils ont très bien compris qu'ils avaient intérêt à me répondre s'ils ne voulaient pas finir en sushi. Après plusieurs essais façon carpe, Quatre inspire profondément et je sais qu'il va, comme d'habitude, être le porte-parole du groupe mais ça n'a pas d'importance, cela prouve juste qu'il connaît aussi les motivations des autres. C'est à ce moment-là que le portable d'Heero émet un bip assez singulier, annonçant un message urgent des Mads. Je fusille du regard cet appareil de malheur alors que chacun de mes compagnons semble se détendre un peu.

« Ne croyez pas que la question soit réglée. On voit ce que nous veulent encore ces vieux fous et après vous passez à la casserole et je vous préviens que je n'hésiterai pas à utiliser la manière forte. » Un petit frisson les parcourt à ces mots et je suis assez content de moi. Même si je ne suis pas aussi fort qu'Heero ou aussi souple que Trowa, il semble que ma menace leur fasse quand même de l'effet. Pour un peu, j'en sourirai presque. Heero se pousse de devant l'ordinateur et me laisse la place. Je soupire d'énervement. Il semble que ce message me soit exclusivement destiné et ça ne présage rien de bon pour moi. J'entre rapidement le code et lit les lignes qui défilent sur l'écran. Qu'est ce que je disais ! Nouvelle mission solo, départ dans deux heures. Rendez vous dans un petit bled paumé pour de la récupération de données. Shit !

J'efface le message après avoir soigneusement mémorisé les coordonnées puis me retourne face à mes compagnons et là je dois vraiment avoir l'air hors de moi parce qu'ils baissent tous les quatre les yeux, honteux.

« Pas la peine de vous stressez, les gars, vous avez un sursis d'une semaine. J'ai une mission qui commence dans deux heures et faut que je me dépêche. » Leurs yeux me fixent à nouveau, un peu rassurés par le délai accordé. « Je vous conseille de réfléchir à votre réponse en attendant » puis je me lève et me dirige vers la porte.

« Nous… Ca va aller ? » Me demande Quatre d'une petite voix. Je leur fais un signe de main qui se veut affirmatif puis remonte dans ma chambre préparer mes affaires. Une demi-heure après, je quitte la planque sans un mot, sous le regard inquiet des autres pilotes.


Mission facile… ! Un seul pilote nécessaire… ! Pas beaucoup de gardes… ! Putain, je vais tuer les mads si je m'en sors ce coup-ci. Voila trois jours que je pourris dans cette saleté de cellule et personne n'est encore venu me voir. Pas que j'm'en plaigne remarque, je préfère qu'on me foute la paix plutôt qu'on me torture mais si je veux avoir une chance de me barrer, il va bien falloir que j'arrive à assommer un soldat. C'est vrai qu'au niveau sécurité ils ont l'air d'avoir fait d'énormes progrès les Ozzies : cellule a trois verrous, impossibles à crocheter et repas servi par une petite trappe. Pas de contact, pas de possibilité d'évasion. Tiens quand on parle du loup… La porte de la cellule s'ouvre et cinq soldats me braquent avec leur arme.

« Holà, on se calme les gars. » Mon sourire ne doit pas les inspirer car ils me font signe de me retourner et m'enchaîne solidement les poignets et les chevilles. Deux des soldats me précèdent dans le couloir et on me fait signe de les suivre pendant que les trois autres se placent derrière moi. Bon, super, ce coup-là, pour la tentative de fuite, c'est loupé. Ils me conduisent à travers la base jusqu'à une porte blindée. Elle s'ouvre et l'arme dans mes reins me conseille d'avancée ce que je fais avec obligeance. Un sas ? Alors là, je le sens pas... Deux des soldats nous quitte à ce niveau et alors que la porte derrière nous se referme en un bruit sourd, celle de devant glisse silencieusement et m'offre une vue magnifique sur… un labo. Shit ! Les trois scientifiques me regardent avec des yeux satisfaits qui ne présagent rien de bon et sans le vouloir je recule légèrement. Le déclic d'une arme se fait entendre et je m'immobilise.

« Faites-le s'allonger sur cette table » Quand Cheveux en pétard donne un ordre, on obéit semble-t-il car je sens de nouveau le canon de l'arme dans mon dos. Bon, j'ai intérêt de me bouger si je ne veux pas finir en cobaye de laboratoire. Ni une, ni deux, je me retourne et mes mains à présent libres dévient l'arme tandis que je brise d'un coup sec la nuque de son propriétaire. En faisant gaffe de ne pas m'emmêler dans la chaîne que je porte aux pieds, je tue rapidement les deux autres soldats et alors que je me retourne pour m'occuper des trois barges, je sens une piqûre au niveau de ma nuque. Re-shit !


J'ouvre les yeux pour les refermer aussitôt. Ce n'était pas un cauchemar… Je sens la froideur de la table dans mon dos tandis que mes poignets et mes chevilles sont entravés par des bracelets d'acier. Je les rouvre, finalement décidé à évaluer la situation. Je suis complètement nu sur une table, attaché, alors que mes trois nouveaux copains pianotent sur leur ordinateur… NU… Mais qu'est-ce qu'ils comptent faire ces pervers !... Des électrodes sont placées au niveau de mes tempes et de mon cœur alors qu'un bracelet pour contrôler la tension est fixé à mon bras gauche, le tout relié à diverses machines.

« Je peux savoir ce que vous compter faire de moi ? » Ma voix ne tremble pas mais d'étranges frissons me parcourent quand leurs yeux me sondent. Crâne d'œuf et Cheveux en pétard se placent de chaque côté de la table, tandis que Cicatrice reste sur son clavier. Je leur lance mon regard Shinigami mais les deux scientifiques sourient moqueurs et, attrapant un centimètre commence à prendre mes mesures : longueurs et largeurs de mes bras et jambes, tour de taille, poids de mon corps, tout y passe, jusqu'à la taille de mon sexe.

« J'espère que vous n'êtes pas trop jaloux » je demande, à ce moment-là. Ils me regardent et leur sourire s'accentue. Je sais, je suis pas en position de faire des remarques mais c'est plus fort que moi. Ca pourrait me soulager s'ils s'énervaient. Putain, ils me font chier avec leurs petits sourires ironiques.


Deux jours que je suis attaché dans cette pièce, j'en ai marre et j'ai froid. J'entends le sas de l'entrée et les voilà qui entrent dans la pièce. Ils ont l'air … impatients et je n'aime pas trop ça. Crâne d'œuf prend une sorte de petit microphone et me regarde bizarrement.

« Aujourd'hui,1er septembre AC 195, nous commençons la première phase de l'expérience. » Il s'arrête et attends. Ces deux confrères s'approchent et le petit bac, contenant un flacon et des seringues qu'ils posent sur la tablette à côté de moi, me fait légèrement paniquer. Le tracé de mon électrocardiogramme fait un bip de travers avant de redevenir normal. Je ne dois pas leur montrer mon angoisse. Ils ne s'en soucient même pas et me posent un masque à oxygène sur la bouche et le nez. Cheveux en pétard me fait un garrot sur le bras puis prend un coton et me désinfecte la peau. Cicatrice lui tend la seringue et sa taille me fait frémir. Je tourne la tête et ferme les yeux alors que cette dernière s'enfonce dans mon bras et je sens le liquide se répandre dans mon organisme.

« Le sujet, nom de code G02, de sexe masculin, a reçu la première dose du produit 'Twox' à 14h00. Nous allons surveiller ses constantes et administrerons la seconde dose dans une heure. »

Après avoir rétabli ma circulation sanguine, ils s'assoient tous les trois à leur ordinateur, tout en surveillant mes signes vitaux. Une heure après, je reçois ma seconde injection puis l'heure suivante la dernière. Je ne sais pas vraiment ce qu'il doit se passer mais pour l'instant je ne ressens aucun changement à part une légère fatigue. Ils semblent avoir fini leur petite discussion car Crâne d'œuf s'approche, me détache les jambes et m'enfile un boxer puis me libère aussi les poignets. C'est ma chance mais lorsque j'essaie de bouger, rien ne se passe. Mon corps n'a plus aucune force donc pour me sauver… Il m'assoit, me fait passer les bras dans une combinaison blanche et je remarque, un peu dans les vaps que les manches doivent être trop longues car je ne vois pas mes mains. Il croise mes bras autour de mon ventre et se place derrière moi. Tout à coup mon esprit a un sursaut de conscience… une camisole. J'essaie de me débattre mais chaque mouvement enclenche une sensation de marteau piqueur dans mon crâne et il n'a aucun mal à finir son travail. Cheveux en pétard approche un fauteuil roulant et quelques minutes après, je me retrouve couché à même le sol, dans une cellule capitonnée, toujours avec la camisole. Lorsque la porte se referme, je me roule en boule dans un coin de la pièce, alors qu'une douleur sourde est en train de naître dans l'ensemble de mon corps.

TSUZUKI

Petit mot de l'auteur :

Ca commence fort je vous l'accorde ! (Mais c'est l'un des seuls lemons de cet fic, donc faut en profitez, lol) Les deux premiers chapitres sont plutôt introductifs : le pourquoi du comment de la suite…

Pourquoi 38 dans « Couples » ? Rien à voir avec l'Isère, c'est juste que je ne veux pas dévoiler tout de suite les relations entre nos chers G-boys... De plus, à l'époque où se déroule ce chapitre, rien n'est encore fait !
Disons que ce chiffre s'applique à l'après-guerre et correspond à la somme de la parenthèse de leur relation. En sachant que je mets des x pour l'amour, des + pour l'amitié et que je suis les règles de parenthèses, à vous de découvrir ce que leur réserve l'avenir !

A vendredi
Bye