Bonjour ! Voici ma première fanfiction Klaine ! En espérant qu'elle va vous plaire !

C'est une deuxième version du chapitre 1 qui est en ligne. J'ai modifiée car je trouvais mon premier jet trop brouillon. Donc voilà ! Au plaisir des yeux. N'hésitez pas à commenter ou autres.

TOUS est à prendre.

Bonne lecture.


Les yeux de Kurt étaient fermés, le vent soufflait calmement sur son dos et des draps renfermaient son corps en le prenant au piège. Il était réveillé depuis maintenant une heure mais la peur de devoir parler avec son coup d'un soir le prenait aux tripes à tel point qu'il se forçait à garder les yeux clos. Il ne savait pas vraiment avec qui il avait fini la soirée, mais il savait au moins qu'il n'était pas chez lui (chose qui ne devrait pas le rassurer d'ailleurs). Pour la première fois depuis des lustres son bassin ne lui faisait pas mal, il était donc sur qu'il n'avait pas couché avec quelqu'un de taré ou peut-être qu'il n'avait pas couché du tout ? De nature dominé au lit (dominé ne voulait pas dire sans fantasmes et sans luxures, jeunes gens), il avait plutôt tendance à se faire prendre qu'à être pris. Mais son soucis et sa peur n'allaitent pas se résoudre les yeux fermés, il allait bien devoir les ouvrir un jour ou un autre, alors pourquoi pas maintenant. Il ouvra donc le gauche puis le droit et prit sa respiration. L'homme qui était allongé nu à ses côtés est plutôt bien foutu, ou du moins ses fesses l'étaient, fermes et musclés, prêtes à être touchées. On ne voyait pas son visage mais ces cheveux étaient bouclés, courts et bruns foncés. Ses bras étaient musclés et sa peau caramélisée. Il avait l'air définitivement canon. Qu'il ait couché avec lui ou non, il pouvait remettre le couvert s'il avait réussit à dégoter un canon pareil. Il semblait que son apollon est entendu sa prière car il retourna sa tête dans son sommeil et se tourna vers Kurt. Qui lui était encore plus ravit, l'homme était magnifique, des sourcils un peu touffus mais une bouche sensuelle, accompagné d'un nez parfait. Il était vraiment splendide. Avec du courage, Kurt s'autorisa à lui toucher le bras, il passa donc un de ses doigts sur son bras gauche (l'inconnu était allongé sur le ventre) et lui caressa l'avant bras jusqu'à la base de la main. Puis il lui prit doucement et observa ses longs doigts sans lui tordre la main pour autant.

« Hey ! Tu es réveillé alors ? »

Il y avait plusieurs règles quand on dormait chez un inconnu et Kurt semblait les avoir toutes oubliées. L'une d'elle était de ne pas oublier de voir où l'on était et qu'il était là avant toutes choses. Car on pouvait toujours tomber dans une situation embarrassante, comme un père qui vient réveiller son fils ou encore la femme de ménage, mais le plus embarrassant devait sûrement être : tripoter quelqu'un alors qu'une autre personne vous observe assit correctement dans un fauteuil haut de gamme le sexe à l'air.

L'homme nu était lui aussi vraiment pas mal, un visage à faire craquer toutes les filles (et les mecs), de fins abdos mais des abdos quand même, de longues et interminables jambes puis un sexe... enfin toute sa personne était sublime. Mais sans qu'il le sache son visage lui parlait.

« Tu as oublié, hein ? Tu m'étonnes avec tous ce que tu as bu. M'enfin moi c'est Sebastian, donc Kurt (re) enchanté »

« euh... »

« Le gars à côté de toi c'est Blaine, Blaine Anderson... »

« euh... D'accord... Je pense que je vais y aller... »

« Aller où ?... Ah je vois tu as du bien oublier... C'est chez toi ici maintenant, enfin si tu le veux toujours... »

« Ah ok... QUOI ? »

16h plus tôt...

« Kurt Hummel, te voilà maintenant sans copain et à la rue ! »

Il ne savait vraiment pas comment il avait fait mais il était maintenant seul, sans petit-copain et avec toutes ses affaires dans une valise rose de merde. Il ne pensait pas se faire choper aussi rapidement par son ex-copain. Il aimait coucher un peu partout mais son cœur n'appartient qu'à une seule personne. Mais cela n'avait pas du plaire à son ex, de voir Kurt se faire baiser par tous les mecs du quartier. Donc le voilà maintenant, à 23h dans un club paumé de New-York (un club gay). Il allait passer sa soirée à boire comme un trou pour finir par être baisé par un mec dans des toilettes, avec la chance qu'il avait, il allait aussi finir sa vie comme ça et peut-être mourir du sida avant ces trente ans.

Il enchaîna donc pour le bien de l'humanité (ou peut-être de la bite du voisin) son quatrième cocktail bien alcoolisé. Son cerveau commençait déjà à battre de l'aile et les spots du club l'assommaient. La musique forte faisait remuer ses fesses sur sa chaise et il mourrait d'envie de dépenser le reste de lucidité qu'il lui restait en dansant collé-serré contre les mecs dans la fosse. Il commença donc à ce lever, mais ses jambes lui firent faux-bons et il se retrouva à deux doigts de s'étaler par terre devant tout le monde. Sauf qu'un bras le retient et le remit droit. L'homme qui le tenait (toujours) était assez petit, avec des cheveux bruns bouclés, une belle face et des bras assez musclés. Il y avait aussi un homme juste derrière lui, plus grand que Kurt et tout aussi canon que l'autre inconnu. Les deux hommes possédaient d'ailleurs de magnifiques dents (vu la façon qu'ils avaient de lui sourire, on ne pouvait pas les louper). Le brun mit une de ces mains sur les fesses du jeune homme (bien posée dans sa poche arrière). Se voir tripoter de la sorte était assez... Bizarre.

« Hey Beauté, c'est quoi ton petit nom ? Mon pote et moi on aimerait mieux te connaître. »

« Moiii ? Alors je m'appelle K-U-R-T alias Kurt le gay, le p-d, la pédale ou si vous voulez Porcelaine ? Porcelaine car j'ai la peau aussi douce que celle d'un bébé ! Vous voulez voir ? Enfin mon copain, il m'a dit que.. Ah non il m'a viré, merde, vous savez j'ai une belle valise rose, je peux vous la montrez si vous voulez... »

« Ouah mon beau tu m'as l'air d'avoir bien bu dis donc... »

« Juste quelques petits et minuscules verres ! C'est quoi vos noms mes bébés ?

« Moi c'est Blaine et mon pote Sebastian... »

« Roh trop mignon ! Dites vous me laissez dormir chez vous cette nuit ? Je peux payer avec euh... Ma langue ! Je peux vous sucez si vous voulez !

« Dis donc Kurt, tu y vas vite ! Tu es un petit marrant (avec un coup dans le nez en trop), si tu veux tant que ça tu peux rester chez nous... Gratuitement, on dit jamais non à un mignon nous... »

« AHH ! Merci ! Fran...chement vous êtes trop baisables ! Et vous... franche..ment... »

Kurt n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il tomba dans les vapes.

En recherche du moindre souvenir, une migraine horrible monta à la surface rappelant à Kurt l'alcool ingurgité. Le garçon en face de lui le regarda avec un sourire non caché et Kurt avait l'air d'être une source d'amusement à ces yeux. Puis il se leva et enfila enfin un pantalon de jogging.

« Tu as faim ? »

Sans attendre de réponse, il sortit de la chambre.

Kurt encore nu (et franchement mal à l'aise), contempla la chambre. Assez grande, elle possèdait une grande fenêtre et un miroir en grande dimension sur lequel est attaché une barre de danse. Cette chambre devait sûrement être un studio de danse avant. Le lit dans lequel il se trouvait, était assez large pour au moins trois personnes, les draps étaient doux et agréables sur la peau. Des meubles remplissaient la chambre, sûrement pour leur vêtements. Puis il y avait aussi un appareil pour faire du jogging (de salon). La chambre ressemblait énormément à celle d'un gosse de riche. Mais ne perdant pas plus de temps, Kurt sortit du lit et rechercha ses fringues. Elles n'étaient nulle part. Le sol était vide, rien de traînait. Il était définitivement coincé.

« Si tu cherches tes fringues, elles sont au sale... »

Kurt se retourna sans attendre, l'homme (magnifique) qui dormait il y a quelques minutes était maintenant bien réveillé et le regardait (lui aussi) avec un petit sourire ironique (c'est quoi cette manie ?). Kurt ne voulait qu'une chose, s'enfoncer sous terre et de préférence sans un mec magnifique et parfait le matant lui et son petit cul. Dans sa hâte de cacher son corps, il se dépêcha de prendre la couverture pour s'en couvrir.

Sauf que « Blaine » l'attrapa et le coinça sous lui, avec encore ce sourire ridiculement parfait et énervant sur les lèvres.

« Alors c'est parti pour un tour, bébé ? »