Notes : Pas bien ça ! Pas bien lecteur ! Vous m'avez pas du tout aidé pour cette fic, j'ai du la sortir après un sondage plus que profond dans mon cerveau, le travail a été long et difficile... éreintant même. Mais cette fic comme ma nouvelle fic de Naruto "Ninjas" sera écrite au fur et à mesure, je compte donc sur vous pour me laisser des commentaires, des suggestions, des idées... Elles seront prises en compte et ajoutées à l'histoire si elles en valent la peine. Donc pas d'enfantillage ou de timidité... on se connait depuis le temps, reviews !
Protège-moi du mal.
Prologue
Comme à son habitude Akihito avait flairé un gros coup, un gros poisson. Comme à son habitude, il s'était renseigné, il l'avait filé, il l'avait pris en photo, discrètement. Son reflex numérique tournait à plein régime, prenant du sale visage, des poignées de main, des mallettes pleines de billet, des flingues, que des bonnes choses pour lui quoi !
Un scoop ! Il avait bien besoin de cela en ce moment, car comme à son habitude il était plutôt sur la paille ces jours-ci... heu... ces mois-ci. Mais bref, inutile de s'égarer sur des sujets aussi peu plaisants que l'argent, le loyer...
Et comme à son habitude, il courait. Il courait à perdre haleine avec une vingtaine de gorilles à ses basques. Une vingtaine... le chiffre était approximatif, le jeune homme devait bien avouer qu'il ne s'était pas retourné vérifier mais ils faisaient un tel boucan derrière lui que vingt était un bon chiffre : rond, une syllabe, facile à dire.
Le photographe était rapide, il avait l'habitude de courir et il faut bien avouer que le sport de chambre l'entretenait comme pas possible (Mimosa : cette phrase m'a faite mourir de rire, mais c'est pas faux !). Il connaissait la ville comme sa poche. Celui qui réussirait à l'attraper n'était pas encore né. Akihito sourit à cette idée. Il quitta rapidement les rues étroites et peu éclairées et fonça comme une flèche dans les rues bondées de Shibuya.
Le quartier toujours en activité malgré l'heure tardive, l'avait toujours sauvé à de mainte reprise. Il l'aimait ce quartier, avec ses rues larges et bondées de passants. Il se faufila dans une quelconque galerie commerciale, mesurant ses foulées et arrivait à semer ses poursuivants en quelques minutes.
Aujourd'hui ne fit pas exception à la règle.
Rasséréné et fier de son trophée, le pas calme, il se dirigea vers son journal favori. Les presses allaient bosser dur ce matin. Quoi de meilleur de faire tomber du mafieux dès le début de la semaine, voilà qui devrait bien faire rager Asami.
Sa relation avec le yakusa n'avait pas à proprement parlé évolué. Malgré les évènements de Macao, Asami ne l'avait pas obligé à vivre chez lui. Il laissait à Akihito la liberté que le jeune homme avait besoin, le soutenant financièrement dans le secret, comme toujours.
De son côté, Akihito passait énormément de nuit dans l'appartement d'Asami. Finalement il avait réussi à admettre qu'il s'y était attaché à son yakusa. Il pouvait même dire à voix haute qu'il était l'amant du mafieux sans s'exploser le crâne contre un mur. Il avait même accepté l'argent qu'Asami lui avait remis pour se faire enlever son tatouage au laser. Bon, après tout c'était un peu de sa faute si le chinois l'avait pris en grippe.
Tout allait pour le mieux, le journal n'était qu'à quelques blocs de là. C'est donc tout guilleret qu'il passa le coin de la rue.
Pour tomber sur un Mikail Arbatov, le sourire aux lèvres, qui semblait comme l'attendre. Akihito eut à peine le temps de s'exclamer d'horreur et de bondir en arrière que le fidèle homme de main du russe, derrière lui, lui emprisonna le visage dans une compresse de chloroforme.
Notes de Mimosa : Finder, finder, finder ! Merci. Pas grand chose à dire là sauf, à quand la suite ?
Oui car faut avouer que tu es un peu sadique là. Tu nous mets le gout en bouche avec ce tout petit prologue d'à peine une page... Méchante.
Dis nous en plus, je veux savoir ? Arbatov va se servir D'Akihito pour toucher Asami et faire en sorte que le yakusa oblige Fei Long à devenir l'amant du russe ? Je pars toute seule dans mes délires, mais tu laisses trop de portes ouvertes, trop de possibilités ... même les plus débiles comme les miennes. Pourquoi s'en prendre toujours à Aki-chan ? Parce qu'il est le plus faible ? Attention Asami n'est pas loin... bon bon j'arrête. Bon courage.
Peace
Mimosa