- Avertissements: Yaoi, Lemon, langage cru, sexualité largement explicite, rapports de domination, violence

Contenu à réserver à un public averti

Ichigo aurait du se méfier. L'alcool avait toujours eut un effet ravageur sur son esprit, ainsi que sur son corps. Mais le jeune homme aux cheveux orangés avait aussi un autre problème et non des moindres... Sa trop grande confiance en lui-même.
C'est pourquoi la nuit qui précéda son retour vers le monde des humains, il jugea sans danger de partager quelques heures de fêtes, musique, danse, nourriture et alcool avec l'innombrable peuple de Soul-Society. C'était un Festival d'hiver permettant aux Capitaines ainsi qu'à leurs troupes de partager un instant de détente festif

Mais au bout de trois bières, Ichigo sentit ses jambes vaciller. Il dut s'appuyer un instant contre le mur de ce qui ressemblait à un hangar désaffecté. L'alcool l'avait assez aveuglé pour l'éloigner de la fête, le conduire dans un quartier désert. Il entendait les chants dans le lointain... Il nota la porte ouverte d'un hangar et une semi obscurité offerte par la lune à travers quelques fenêtres sans vitre ni volet. Il aperçut des grands sacs vides étalés sur le sol. Il pensa confusément qu'il ferait bien de s'allonger quelques instants. Et de sa démarche incertaine, il alla droit s'effondrer sur les sacs empilés les plus proches. Ils étaient confortables et cela d'une manière inattendue. Le jeune homme se retourna sur le dos et contempla le plafond. Il espérait aller mieux, mais ce ne fut pas le cas.

Les effets de l'alcool, loin de s'estomper, allèrent en empirant, mais de manière inattendu. L'instant d'avant, il avait froid. L'hiver dans ce monde n'était pas un illusion, mais ce soir, on aurait dit qu'un vent du désert venait souffler sur lui. Et cette chaleur torride qui envahissait le hangar le força à ouvrir les pans de son lourd manteau noir. Son poitrine se trouva ainsi dénudée. Elle était parfaitement lisse et imberbe. Mais cela ne fut pas suffisant. Il en dévoila davantage; Son ventre tendu comme la peau d'un tambour, aux muscles parfaitement dessinés était révélés jusqu'à la ceinture. Le jeune homme grogna et ferma les yeux. Comment cette canicule était-elle tombée sur lui?
Les yeux fermés, il acheva d'ouvrir son manteau et découvrant ses jambes. Il avait juste ce stupide dessous masculin de style ancien qu'il se devait de porter avec son costume. Cela ressemblait à une sorte de pagne rétréci et couvrant à peine son membre aussi négligé que son maître.

Ichigo fermait les yeux, respirait lentement et se forçait à ignorer la chaleur insoutenable qui commençait à circuler dans ses veines. Son corps était lourd, aussi endolori qu'après une bataille. Plus le temps passait et plus il se sentait inexplicablement fiévreux. Il se promit alors que plus jamais il ne boirait. Il en était là de ses pensées, quand il sentit un courant d'air lui annonçant qu'on avait ouvert la porte du hangar, puis qu'on l'avait aussitôt refermée

Il entendit des pas et quelqu'un s'agenouiller près de lui. Il allait ouvrir les yeux quand une main large les recouvrit. Il entendit un "shut" parfaitement masculin mais qu'il ne put identifier. Il lui commandait de se taire, mais aussi de manière impérieuse de garder les yeux fermés.

Ichigo n'avait pas peur, il était juste intrigué par cette tactique dont il ne parvenait à comprendre le but. L'inconnu devait être penché et même allongé prés lui. Il avait gardé sa main gauche sur ses yeux. Ichigo allait rire et demandait le nom de ce jeu quand ses mots restèrent au fond de sa gorge. Il sentit les doigts de l'autre main de l'inconnu traçait en douceur des cercles autour de ses tétons. Ces derniers se durcirent presque instantanément. puis les mains s'éloignèrent. Ichigo sentit qu'on nouait un foulard autour de ses yeux. Ichigo aurait été incapable de dire pourquoi il se laissa faire. Sans doute parce que les gestes étaient faits sans violence, d'une irrésistible douceur. ... et que son esprit était chargé d'alcool. La gorge serrée, incapable d'articuler, il attendit... Mais pas longtemps. Les doigts de la main gauche se mirent à taquiner son téton, tandis que qu'une bouche gourmande s'emparait de l'autre et le suçait avec délectation. Il ne s'arrêta que lorsque les tétons furent douloureusement dures.

Cette fois, l'air revint dans sa gorge, mais pas assez rapide. La bouche de l'inconnu remonta le long de son cou. Sa bouche entrouverte allait protester. L'inconnu, terriblement opportuniste, s'en empara et força l'entrée de sa langue. Leurs langues se touchèrent. L'inconnu le goûta un temps infini, puis il mordilla les lèvres et le cou offert. Il le marqua en grognant tout en revenant comme un affamé sur la bouche du jeune homme. Ichigo crut suffoquer. Il n'avait jamais connut les assauts d'un d'un homme. Et cette bouche qui le violait, le tenait plus surement qu'une chaine.

Mais la main de l'inconnu ne restait pas inactive. Alors qu'elle agaçait du bout des doigts les tétons bruns du jeune homme, ils descendirent irrésistiblement. Ils suivirent la ligne parfaite des abdominaux jusqu'aux premiers poils du pubis. Et ces doigts passèrent légèrement, comme par provocation sur le fin tissu protégeant un renflement que Ichigo ressentait pour la première fois de manière douloureuse

Sa bouche était comme bâillonnée par un baiser dévorant, c'est pourquoi sentir une main littéralement saisir son membre le fit cambrer sa colonne vertébrale. Mais l'inconnu reprit aussitôt le contrôle. D'une jambe, il immobilisa celles d'ichigo. Il reprit avec un grognement de bête la bouche du jeune homme et sa main se posa de manière possessive sur le membre douloureux du jeune homme. Le fin tissu semblait dérisoire. La main experte entreprit un lent va et vient. Et comme le tissu sembla exaspérer l'impatience de l'homme, ses doigts l'arrachèrent. Et Ichigo sentit complètement une main large, virile le branler avec vigueur. Perdant le souffle, la bouche vorace abandonna la sienne. La langue paresseuse de l'homme suivit un cour sinueux du cou au ventre. Puis brusquement plus rien. Ichigo se sentit abandonné. Mais cette impression dura peu

Des mains autoritaires lui écartèrent les cuisses. Ichigo avait ramené ses genoux pliés comme dans un réflexe de défense. Mais il céda devant cet assaut de douce autorité. Le visage de l'homme devait se trouver entre ses cuisses. Il pouvait sentier son souffle contre elles. L'instant suivant, cette bouche cruelle s'empara goulûment de son membre. Et pendant de longues minutes, on entendait plus que les râles d'ichigo. Cette bouche et cette langue conduisirent le jeune homme au bord à l'explosion. Le liquide salé se répandit violemment dans la bouche de l'inconnu. Et cette fois-ci, ce fut le râle de l'homme qui se répandit dans le hangar. Ichigo entendit l'homme s'activer près de lui. Il sut qu'il était en train de se déshabiller. Il se sentit lui-même dénudé et exposé sur un sol dure. Il n'avait plus que ce ridicule foulard autour des yeux
Les mains de l'homme replièrent fermement les cuisses d'ichigo assez haut. Il les avaient aussi largement écartées pour complètement dévoiler son sexe vulnérable qui se raidissait de nouveau et son anus parfaitement exposé. Il ne vit pas la main de l'homme saisir son propre sexe puissant et dressé douloureusement. Ichigo sentit le bout de ce dernier venir taquiner son anus. Il poussa un cri autant de peur que d'anticipation et arracha son foulard