Certain me découvrirons, peut être, pour la première fois.
Certains, peut être, se souviendront de moi.

Je n'ai rien à dire concernant ce OS, il m'est venu à l'idée et je l'ai écrit.
Je n'ai rien à répondre sur ma très longue inactivité, si ce n'est que je m'excuse de vous avoir laissé en plan, pour mes ancienne fics, que je cherche à terminer.

A vrai dire, c'est peut être pour voir s'il me reste quelques fidèles lectricew, mais j'en doute…

Fullmetal Alchemist, bien sur, ne m'appartiens pas.

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Elle le tenait en joute, comme elle l'avais promit.

Lui, à demis avachit sur le canapé, soul d'avoir ingurgité de l'alcool en excès, se retrouvait délaissé de ses « filles de joies » qui venait de déserter la pièce, en panique.

Elle le regardait, fixement, visant de son revolver le visage de son supérieur.

Il croisa son regard un instant, et, sachant qu'il avait n'avait plus aucune chance, ria nerveusement. Il se redressa, toujours assis, la provoquant de son sourire narquois.

--Qu'est-ce que vous attendez ? Tirez.

Elle soutint ce regard quelques seconde, mais finit par détourner la tête.
C'était trop dur.

Irrité de la voir battre en retraite, il lança :

--Lieutenant, vous êtes un soldat, et un soldat exécute les ordres

Il avait raison, elle devait le faire : il ne faisait plus rien, aucune motivations, se laissant aller dans la morosité, abandonnant ceux qui s' étaient sacrifié pour sa cause.
Il le fallait.
Elle le devait.
Mais elle ne pouvait pas…

Cette fois-ci, ce fut la rage qui l'emporta.

--LIEUTENANT QU-EST-CE QUE VOUS FOUTEZ ? TIREZ C'EST UN ORDRE ! »

Elle abaissa son arme et grimaça, de tristesse, essayant vainement d'étouffer un sanglot.

Il soupira, de dégoût, la toisant d'une manière méprisante, hautaine.

--Vous êtes pitoyablement faible lieutenant, incapable de maîtriser vos émotions… vous me dégoûtez.
Il fit mine de cracher au sol, comme pour appuyer ses paroles.

C'en était trop, plus qu'elle ne pouvait le supporter. Le visage inondé de larmes, elle le regarda une dernière fois dans les yeux, juste avant qu'il ne les ferme.

--C'est parce que je vous aime... fit-elle dans un souffle.

D'un geste désespéré, elle releva son arme et pressa sur la gâchette.

Elle tira.

Mais pas sur lui.

Roy rouvrit les yeux et découvrit avec horreur que le corps de la femme qu'il aimait gisait au sol.
Riza venait de se tirer une balle dans la tête.