Genre: Yaoi.
Couple:Yamamoto X Gokudera (je les adores ces deux là)
Auteur:La ville d'Italie.
Notes: Encore une histoire sur Gokudera et Yamamoto Je fait que ça de toute façon. Quoi que j'aimerais bien faire du Dino X Hibari. Mais c'est pas le propos et comme je sais que vous en avait marre de moi, je vous laisse lire la suite. Bix.
La cloche avait sonné depuis à peine deux minutes. Les élèves s'étaient précipité pour la plupart hors des salles de classe pour envahir les couloirs, la cour ou le toit. Ils discutaient entre eux de tout et de rien, des dernier potin et de l'examen qu'on venaient de leur rendre avant la sonnerie. Mais, assis à son bureau, Yamamoto n'avait pas bougé, lui. En faite il n'avait pas esquissé un geste depuis que le professeur lui avait tendu sa feuille de contrôle. Il était affalé sur sa table à regarder le chiffre marquer à l'encre rouge sur le haut du papier. 20. 20 sur 100. C'était sa note. Même pas la moyenne. Il en était loin. Encore une fois. Bon, il fallait l'avouer, marquer les réponses à ''l'instint'' n'était pas une idée des plus brillante, mais, jusqu'à aujourd'hui, ça avait toujours, pour lui, plus ou moins réussi. Mais là ça n'allait plus. Si il ne parvenait pas à avoir une éxéllante note au prochain test, il était bon pour redoubler. Mais l'épeïste n'était pas vraiment une lumière et lorsqu'il révisait ça ressemblait plus à un parcourt du combattant qu'à une séance d'étude. Il soupira d'un air misérable regréttant de n'avoir aucune solution de faciité. Devoir apprendre tous ses cours durant le week-end l'enchantait moyennement.
-Mais qu'est-ce que tu fout crétin de baseballeur, l'interpellat une voix à côté de lui.
Le dénomé ''crétin'' releva la tête vers son interlocuteur. Il rencontra vite les prunelle émeraudes au reflet gris claire qui le fixait avec dédin.
-20 sur 100, c'est quoi cette note minable.
Yamamoto sourit en étudiant l'adolescent devans lui. Des cheveux argentés, rebelle encadrait un visage fin, en laissant à peine ressortir ux petites oreilles blanche couvertes de percing étincelant. Des lèvres rosés était légèrement déformé en un rictus méprisant. Yamamoto s'attarda quelques intants sur la fruit défendu et poursuivit son observation lorsqu'il vit une douce langue passer dessus. Le corps maigre et un peu féminin de Gokudera était couvert par un uniforme froissé et pourtant propre. Le métis tandit une main blanche vers le japonais et s'empara de la feuille avec ses long doigts de pianiste. Il la regarda un instant avant d'ascéné un coup de poing sur le haut du crâne de l'épeïste.
-Tu fait des erreurs énormes sur des sujets élémentaires. T'as quoi dans la cervelle à part le baseball.
Yamamoto qui riait en se frotant la tête se contenta d'haussé les épaules devans la question rétorique de l'autre adolescent. Il adorait quand Gokudera l'enguelait. Il devait être un peut maso surement. Mais il ne pouvait s'empêcher de penser que si l'argenté lui hurlait dessus ainsi c'était qu'il s'inquètait un peu pour lui. Au moins un choya. Et, il ne savait pas pourquoi, cette idée lui plaisait. Il se giffa mentalement. Il ne pouvait pas s'empêcher de penser à se genre de chose...
Il afficha un grand sourire sur son visage alors que l'italien déposait la feuille d'interro sur la table. Le japonais connaissait l'intelligence de son ami et sa note devait paraitre minable pour un génie tel que lui. -Mais quel idiot je suis, s'écria d'un seul coup Takeshi. Une idée. Il avait une idée. C'était tellement simple qu'il se demanda pourquoi il n'y avait pas penser plus tôt.
-On était tous au courant, ricana le jeune mafioso à côter de lui. Et pourquoi cette illumination soudaine sur ta stupidité Yamabruti?
Ne relevant pas l'insulte l'escrimeur regarda Gokudera avec de grand yeux l'armoyant et remplit d'étoile. L'italien recula d'un pas.
-Pourquoi tu me regarde comme ça, crétin?
-Go-ku-de-ra, chantonna l'escrimeur, tu pourrais me faire réviser, s'il te plait?
-NON.
La réponse avait été claire et nette. Cette réponce avait était aussi tranchante que la lame du katana de l'épeïste. L'argenté n'avait pas pris le temps de digérer la question ou d'y réfléchir. Il tourna les talons aussi tôt et partit rejoindre son précieux Juudaime espérant que le joueur de baseball abandonne cette idée. Mais Yamamoto était tétue. Il ne se laissa pas impressionné par la réaction de son ami. Il couru à sa suite et insista. Il faisait la moue, le supliait, lui promèttait tout et n'importe quoi. Il le poursuivait dans la cour, dans les toilettes et sur le toit. Il faisait discrètement passer des mots pendant les cours de l'après-midi, le suppliant même par papier. Il se fit prendre par son professeur qui le réprimanda à peine. Sur le chemin du retour, il continuait inlassablement à poser la même question, découpant toujours chaque syllabe du prénom: Go-ku-de-ra...
Le jeune italien avait beau l'insulté et le menacer, l'autre ne tenait pas compte de ses plaintes. Il ne comprenait pas pourquoi, mais l'idée de réviser avec Hayato était séduisante et il ne parvenait pas à se la retirer de la tête. Tsuna ne savait plus où se mettre. Ses deux gardiens se disputait et il ne savait pas pourquoi mais il sentait que si il disait quoi que se soit il gacherait une belle oportunité. Alors il se tût durant tout le trajet. Il finit par arriver chez lui et laissa ses deux amis impacient néanmoins de connaître le verdict. Tsuna partit, l'escrimeur se fit encore plus insistant. Il suivat son ami dans une bonne partit de la ville. Et Yamamoto continuait... Et Gokudera refusait... Et Yamamoto insistait... Et Gokudera accèpta...
Au bout de près de cinq heures de supplication ( je me demande si ça se dit ) le jeune génie avait finit par accèpté de faire réviser son camarade. C'était, semble-t-il à contre coeur, mais pourtant il semblait plus anxieux que d'habitude. Yamamoto, tout content, appela aussi tôt son père afin de le prévenir qu'il ne rentrait pas se soir. Gokudera avait décider qu'il passerait la nuit à réviser en espérant que le joueur de baseball se découragerais. Peine perdu.
Il prirent donc le chemin de la maison du métis qui en faite n'était pas si loin. C'était un appartement simple au cinquième étage d'un immeuble qui en avait dix. Il prirent l'ascenseur dans un silence religieux avant de se dirigé vers la porte de l'appart que l'argenté ouvrit à la vas vite, donnant un coup de pied devans la récalsitrance de l'ouverture. Il fit entré son ami, qui constata avec étonnement que c'était plutôt bien rangé. C'était stoffe mais bien ranger.
Sans un mot Yamamoto s'instala devant la table basse et, vite rejoint par Gokudera, il commencèrent à réviser les point faible du baseballeur. Bien sur le constat fut désastreux. En plus d'avoir des l'acunes dans tous les domaine, le sportif ne parvenait pas à se consentré plus de deux minutes sur un même sujet. Et les explications compliqué de l'argenté ne facilitait pas les chose, bien au contaire.
Les exercices furent fait les uns après les autres, tous les cahier furent éplucher et tous les livres consultés. Après trois heures de dure labeur ( j'adore se mot), les deux amis s'écroulèrent de fatigue. Rapidement le métis consultat un réveil poser près de la table. Il était plus de 23 heures. Il était fatigué et surtout extrèmement exité. Et oui exité. C'était bien entendu la faute de ce crétin de joueur de baseball, mais il ne fallait pas s'étonné si un abruti comme lui ne s'en apperçevait pas. Il laissa inconciament son regard dérivé sur le corps du japonais, allongé plus loin.
Yamamoto regardait le plafond en cogitant sur les problèmes de maths qu'ils venaient de résoudre avec difficulté, quand il s'aperçut que son camarade le fixait avec des yeux triste et humide. Son coeur louppa un battement lorsque leurs yeux se coisèrent. L'italien détourna vivement la tête, géné, en s'apercevant qu'il avait été surpris.
-Gokudera, ça va?
Le jeune homme ne répondit pas, mais se leva. Il s'étira, bailla, avant de lancer le réveil à son ami.
-Il est tard, déclara-t-il. On va se coucher. Demain c'est samedi, alors on pourra finir les révisions plus tard.
Il s'éloigna en direction de la chambre pour installé le futon ou son compatriote allait dormir. Non pas qu'il nut pas envie de dormir avec lui mais il n'aurait surement pas pu se retenir de lui sauter dessus si il avait sentit le corps de se cano... crétin contre lui.
Yamamoto, lui, était un peu irité. Il avait remarquer que depuis quelque temps déjà Gokudera l'évitait. Et tout au long de la soirée, il avait été distant envers lui. Lorsque leur regard se croisaient, il rougissait et fuyait ses yeux. Si leurs main se frolait, il retirait la sienne aussi vite que possible. Et quand Yamamoto avait touché son épaule, le jeune métis s'était dégagé très rapidement. Il ne comprenait pas la réaction de son ami face à son contact.
Gokudera choisit se moment là pour revenir dans la pièce. Il ne préta pas beaucoup d'attention au sportif et se mit à fouillé dans les placards à la recherche de drap qui avait surement ranger dans un placard de nourriture (il a un bon régime alimentaire non? XD). Yamamoto en profita et détailla discrètement les muscles de son compatriote, abmirant ses abdos et ses fesses, décrivant du regard ces lèvres, fantasmant sur son... Mais à quoi il pensait encore. Il se giffla mentalement devans son léger écart. Ils étaient fréquent ses écart depuis quelques mois. C'est vrai que depuis un bon mois ou plus, la vision de Gokudera lui donnait des envies. Et il faisait certain rêve sur le mafioso qui le faisait se réveiller dure et sale. Il avait honte d'imaginé son ami dans de tel position mais il mourait d'envie de l'y revoir. Sans compté que la dernière fois, il s'était soulagé en pensant à lui. Il se demanda si il n'était pas amoureux.
Ce fut comme un coup de poing dans l'estomas ou, non plutôt comme un grand coup de pied dans l'entre-jambe. Il regarda Gokudera qui avait enfin trouver les draps dans le frigo (on se demande se qu'il foutaient là) et qui tantait de les réchauffer contre le radiateur. Il était amoureux. Il était tombé amoureux d'Hayato Gokudera et le pire, c'était que l'idée lui plaisait. Mais et les sentiment de son ami. Lui qui réagissait toujours avec méchanceté envers lui. Comme on le savait Yamamoto n'est pas une lumière. Et il préférait savoir tout de suite que de tourné autour du pot indéfiniment. Il n'irait pas par quatre chemin. Ce soir, il faisait sa demande à Gokudera.
Auteur:
Moi: Et voilà, la première partit finit. Il y en aura surement que deux, mais si je suis de bonne humeur j'en ferait peut-être trois.
Yamamoto: Je me fait pas mal insulté dans cette fics, moi * smille de baka *.
Moi: Hé, attend, il est ou Gokudera? D'habitude il est toujours là pour citiqu... euh commenter mes fics.
Yamamoto: Ah, il a dit ''ces fics c'est de la merde et j'ai pas envie de me farcire cette conne d'auteur alors pas question que je me ramène''. Donc il est pas venue.
Moi: Quoi? Il se fout de ma gueule ce ma gueule ce con. Toi finit de note fin, je reviens.
Yamamoto: Tu vas ou?
Moi: Chercher ce batard de Smoking Bomb. Il sera là pour la deuxième partit, je te le garantit * très en colère *
Yamamoto: Merde, elle a pris mon katana. Hayato est mal, ha ha ha. Mais bon passons alors je lit les notes de notre auteur. Alors... bla bla... que deux... peut-être trois... ah voilà! Alors, nous espérons que vous avez aimez et nous espérons connaître vos avit bon ou mauvais. Merci de mettre les menace de mort en gras dans vos commentaires. Sinon à la prochaine. * Yamamoto s'en va rejoindre les deux autres *.
