Bonjour à toutes,

Disclaimer: Twilight est la propiété de S. Meyer, et cette fiction appartient à KrystalMota qui m'a gentiment permis de la traduire. En espérant que ça vous plaira.

Chapitre 1: Bel ange

Présentation

Edward

Permettez-moi de vous présenter la façon je suis devenu le démon chanceux que je suis aujourd'hui. D'abord et avant tout, mon nom est Edward, et je suis amoureux d'un bel ange nommé Isabella, auparavant Swan maintenant Cullen,. Et ceci est l'histoire de notre vie, dès le moment où je l'ai vue.

J'étais assis sur une banquette, le bruit des humains tout autour de moi, de la sordide dance music inondait mon système, noyant tout dernier espoir en moi que la musique puisse un jour être autre chose que ce qu'ils appelaient Pop trash.

Je l'ai vu marcher humblement derrière une femme blonde qui avait l'air très sûre d'elle, dont le nom était Jessica, une fille de la région qui venait ici chaque jour au moins. Elle a immédiatement attiré mon attention avant que je n'attire la sienne.

Elle portait un jean serré qui moulait son corps parfait, un provoquant top serré bleu contre sa chair pâle et son regard timide amena à ma bouche le venin. Eux, ces types dont je m'occuperai après. Ceux si doux et fragiles, qui sont si facile à leurrer. Je me suis penché en arrière de la banquette et l'ai regardé, je voulais lire dans ses pensées.

A cet instant j'étais absolument furieux et confus car je ne pouvais pas. J'essayais toute la nuit, regardant son verre, je tentais de pénétrer ce crâne, j'essayais de recueillir au moins un mot de son esprit, je pensais que quelque chose n'allait pas chez moi mais j'ai immédiatement compris que ce n'était pas moi, mais c'était elle!

Mienne.

Un seul mot pour définir son destin.

Je me levais d'où j'étais assis et marchais vers elle le regard sombre, elle ne m'avait pas encore vu, mais son amie Jessica me toisait de haut en bas, je roulais des yeux intérieurement. Putain.

«Excusez-moi», dis-je accentuant la douceur de ma voix, me penchant vers la gauche et sur le bar afin que l'homme qui essayait d'attraper son regard ait été à l'abri du sien, elle leva les yeux et je senti de nouveau ma gorge se noyer dans le venin quand elle attrapa mon regard.

Brune, un puits sans fin. Et ma bouche devint sèche aussi vite qu'elle avait été mouillée. Je clignais des yeux et me redressais, elle sourit,ce fût la chose la plus angélique que je n'ai jamais vu ,je pensais pendant une seconde que mon cœur battait, Mais non, j'étais encore un monstre.

«Salut», sa douce voix timide, était captivante. Je me penchais vers l'avant et elle se pencha en arrière, j' intensifiais mon regard afin de capter le sien.

«Je me demandais si je pouvais vous offrir un verre et vous tenir compagnie, car vous êtes toute seule et que votre amie là-bas-,» je montrais discrètement Jessica qui jouait au «Tonsil-hockey» (cela doit vouloir dire s'embrasser)avec un autre homme, «semble être occupée».

«Oh,» elle me regardait timidement et je fronçais les sourcils ... Ne me trouvait-elle pas fascinant? «Merci, mais sans-

«J'insiste». Je persistais. Je n'allais pas la laisser partir. Je réclamais sa bénédiction, elle avait besoin de voir ça.

«Oh. Eh bien, d'accord je suppose.» me dit-elle timidement. Je souriais, un agneau. Un doux petit agneau, inconscient du danger.

« Quel est votre nom?» lui ai-je demandé, en attendant que le barman nous serve.

«Isabella», elle souriait. «Vous?»

«Edward Cullen», je lui tendais ma main et ensuite, pour la première fois, je respirais,

Je ne peux pas vous expliquer ce que cela m'a fait. Son odeur m'a fait me raidir tout entier, mes narines se sont dilatées et je me suis détourné tandis que mes yeux s'assombrissaient. Son odeur était douce, comme le miel d'une abeille. Je la voulais tellement, j'ai avalé et je me suis demandé si elle n'était pas un démon envoyé pour me torturer, c'est ce qu'elle était. Elle n'était pas un ange maudit, mais un démon.

«Edward, vous allez bien? Vous sentez-vous malade?»m'a-t-elle demandé gentiment. Elle toucha mes épaules et je tournais mon visage vers elle, y mettant un doux sourire, feignant que son odeur ne me retournait pas l'estomac.

«Je vais bien Isabella», son nom était sorti de ma bouche et je souriais, «qu'aimeriez-vous à boire?»

«Un coca ... mais ... ils ne servent pas cela ici.» Elle rougit et je fronçais les sourcils.

Elle me tentait. Diablesse ...

«Eh bien, si vous voulez-,» j'avalais la boule dans ma gorge,«je peux vous amener chez moi, j'ai un -

«Je ne suis pas ce genre de fille, Edward Cullen.» Elle m'interrompit vivement, je me tournais pour la regarder, et vit qu'elle prenait son sac, où pensait-elle aller exactement? «Je ne vais pas coucher avec vous si c'est ce que vous pensez». Elle le dit avec un soupçon de dégoût dans la voix et attrapa son sac avant de sauter du tabouret et de faire sa sortie.

Qu'est-ce qui s'est passé?

Oh, c'est vrai, mon attitude égoïste a effrayé la diablesse envoyée pour me tenter, maintenant, elle allait rentrer à pied et cela me dévastait.

Je l'ai immédiatement suivi.

Je l'ai trouvée essayant d'attraper un taxi, sa longue crinière de cheveux tombait au milieu de son dos en vagues, ils étaient si épais, j'aurais voulu passer ma main dedans.

Je la rattrapais alors qu'un taxi arrivait vers elle. Je ne pouvais pas la laisser entrer dans un taxi avec un autre homme, ne voyait-elle pas qu'elle était déjà à moi?

«Isabella», j'attrapais son coude, en essayant d'être aussi doux que je le pouvais, elle haleta, sursauta et me fixa effrayée.

«Que voulez-vous Edward? S'il vous plaît lâchez-moi, j'ai besoin de rentrer à la maison. Juste... retournez à l'intérieur». Elle dit cela avec effroi, et je pouvais voir qu'elle me trouvait effrayant.

Parfait.

«Je ne vais pas vous laisser partir Isabella, pas tant que vous ne me donnerez pas une chance de me rattraper avec vous. Je ne voulais pas vous offenser, vous voyez, j'ai juste pensé-

«Que j'étais comme toutes les autres salopes dans ce lieu. J'ai compris, je comprends, je ne vous en veux pas, mais maintenant j'ai besoin d'y aller» me dit-elle sur un ton très confiant qui sonnait faux. Elle essayait de la jouer cool, mais elle tremblait et son cœur allait à un million de battements par seconde.

«J'apprécierais que vous me laissiez le temps de mieux vous connaître» dis-je lentement, «et j' apprécierais beaucoup si vous arrêtiez de m'interrompre».

Elle se mordit les lèvres nerveusement. Elle regarda vers le bas. Voilà comment je l'aimais. «Je ne sais pas Edward. Vous semblez être le dragueur type».

J'étais amusé par la manière dont elle était émoussée. «Je vous assure que vous vous trompez, j'ai invité une femme, une fois, et je n'ai pas eu de rendez-vous en sept mois. Je vous serais reconnaissant si vous me donniez au moins la chance vous inviter pour un café demain matin».

Elle se mordit la lèvre.

«Voici mon numéro», je pris un morceau de papier et écrivit: «S'il vous plaît, appelez-moi.» Je l'ai dit, non demandé. J'étais sûr qu'elle allait le faire,

«Très bien»,dit-elle alors que je lâchais son coude, laissant un vide dans ma main, et elle prit le papier de ma main. Je souris quand elle monta nerveusement dans le taxi, j'ai couru après la voiture discrètement, m'assurant qu'elle était bien arrivée à la maison, je l'ai regardé dormir et je suis allé chasser, tuant trois hommes,je devais être prêt pour elle.

«Edward, tu déposes Ellie aujourd'hui?» Ma charmante épouse, Isabella me rappela au temps présent. Je la regardais et la voyais assise, tenant attentivement son ventre proéminent.

«Oui, bien sûr, je le fais toujours». Je lui rappelais, me rapprocher d'elle alors qu'Ellie courrait en bas des escaliers prête pour son premier jour d'école. Je regardais le petit ange et observais ce sourire alors qu'elle courait vers nous deux. Elle souriait toujours lorsqu'elle nous voyait ensemble sa mère et moi.

«Bonjour papa, bonjour maman!» Elle souriait gentiment. Les bonnes manières, c'est ce que je lui ai toujours enseigné.

«Hé Ellie!» Bella lui sourit.

«Bonjour Ellie, tu as bien dormi ?» lui demandais-je alors qu'elle grimpait sur mes genoux, Bella nous souriait.

«Oui. Et toi ?»

J' hochais la tête. Mensonge. Je ne dormais pas. Jamais.

«M'emmènes-tu à l'école?» me demanda-t-elle en me regardant avec ses grands yeux bleus et ses cheveux bouclés blonds. Elle avait été adoptée, je l'avais voulu ainsi que Bella dès que nous avions vu les cicatrices sur ses petits bras.

«Oui,», dis-je exactement d'où je me tenais. «Ellie va chercher tes affaires,» dis-je doucement. Isabella qui se tenait à l'endroit où elle s'était assise émit un petit gémissement puis sourit, elle était magnifique, lumineuse, elle portait mon enfant. Pas celui d'un autre, le mien.

«Papa Edward va déposer sa fille pour son premier jour, et moi je suis si grosse que je ne peux même pas y aller.» Elle me fit la moue , je lui rendais un petit sourire.

«Tu n'es pas grosse, nous sommes au dessus de cela.»

«Je suis trop grosse. Regarde ça.» Elle pointa ses seins les yeux écarquillés, «énormes monstres!»

Je les regardais alors plus que nécessaire, et pinçais mes lèvres, «Je les aime réellement».

«Pervers». Elle gloussa et se rapprocha de moi, elle savait que j'aimais chaque parcelle d'elle.

«Je suis prête!» Ellie venant vers nous pleurait de joie , elle pensait à Bob l'éponge. Je grinçais des dents, cette émission était si dépravée que les enfants ne devraient pas la regarder.

«Je reviens bientôt, et s'il te plaît, pas d'escalade, ou monter et descendre les escaliers, ou-

«Je sais, je sais», elle riait doucement, je souris et pressais mes lèvres sur son front, elle fit la moue car je ne l'avais pas embrassé à pleines lèvres.

«J'ai une surprise pour toi quand je rentre», ai-je murmuré à son oreille, elle frissonna: «Je ne voudrais pas te donner le début et non la fin».

«Vilain Edward», dit-elle en riant doucement.

«Papa allons-y!» Ellie pleurait d'impatience, «Bye maman! Bye Belly!» Elle embrassa doucement et gentiment le ventre de Bella , puis sa main, étant donné que Bella ne pouvait pas se baisser.

«Bye chérie, Je t'aime!»

«Je t'aime aussi maman!» Ellie sourit, je quittais la maison et conduisais ma fille à son premier jour d'école.

Bienvenue dans ma vie.