Hey! It's lily! : Coucou tout le monde! Bon voici ma dernière passion du moment! lol Heroes! Je suis devenue accro à cette série, la preuve étant que j'ai écouté la saison 1 et les deux premiers épisodes de la saison 2 en une semaine! lol Bref voici une fic sur mon couple préféré. Claire et Peter! Bon je sais que Peter est l'oncle de Claire mais ils vont si bien ensemble! Prenez quand même la peine de lire même si le couple vous effrait un peu, je vous promet que vous ne serez pas déçu! Bref, bonne lecture à tous et n'oubliez pas: REVIEWS!
I need you!
Chapitre un : My life without him
Six mois. Six longs mois que j'ai quitté New York. Six longs mois que je n'ai pas parler à mon père biologique. Six longs mois que je n'ai pas eu de nouvelles de ma grand-mère biologique. Six longs mois que je vis en Californie sous un nouveau nom. Et surtout, six longs mois que je n'ai pas eu de nouvelles de mon héro. Six longs mois que je patauge dans le noir quant à savoir s'il est toujours vivant. Six longs mois à ignorer s'il a survécu à son explosion. Six longs mois à ne pas savoir si mon pouvoir lui aura été utile. Six longs mois où je suis morte un peu plus chaque jours. Six longs mois sans l'amour de ma vie.
Je refermais doucement mon journal intime. Couché sur mon lit, dans ma chambre de notre maison de Costa Verde, je regarde le plafond. Pour nous protéger de la Compagnie, mon père nous a éloigner de Odessa, du Texas et de ma famille biologique. Ce n'est vraiment pas que Nathan et Angela me manquent, loin de là, mais ils sont la famille de Peter. Ils sont les seuls qui auraient pu me donner des nouvelles de lui. Me dire si finalement ils avaient trouvés quelque chose indiquant qu'il était vivant.
Peter me manque. Il me manque tellement c'est insuportable. Je sais que je ne devrais pas, que je ne devrais pas avoir de tels sentiments pour lui, mais je ne peux pas m'en empêcher. Dès le moment où mon regard à croiser le sien la première fois, dans le corridor de Union Wells, j'ai succombée. Dès qu'il m'a sourit pour la première fois, j'ai sus que je ne pourrais pas vivre sans lui. Dès qu'il m'a parlé pour la première fois, j'ai sentis quelque chose spécial et de fort entres nous. Quand il a parler de Jackie, j'ai été jalouse. Jalouse qu'il fut là pour elle, jalouse à mourire. Puis, il m'a sauver la vie. Il a empêcher Sylar de me tuer en l'emmenant par dessu le rebord du toit du lycée. Sauve la cheerleders, sauve le monde. Quand je l'ai vu immobile, étendu dans une marre de sang, j'ai cru que mon cœur s'était arrêté. Mais il c'est redressé. Il avait copier mon pouvoir, mais ça je l'ai su plus tard.
Et tout c'est passé si vite par la suite! L'arrivé chez nous de Ted Sprague et Matt Parkman, l'explosion de notre maison, mon arrivée à New York et, surtout, l'affreuse découverte que j'ai fais chez mon père biologique. Nathan Petrelli était son frère! Son frère! Nathan Petrelli était mon père. Dieu! J'ai voulu mourire quand sa mère, ma grand-mère, me l'a dit. Puis cet homme, Mohinder Suresh, est venu au manoir et il a annoncé à Angela, en bagayant, qu'il étais mort en lui sauvant la vie. J'ai entendu la conversation du haut des escaliers et je me suis effondrée en pleur contre un mur. Peter ne pouvait pas mourir! Il n'avait pas le droit de mourire maintenant. Puis une idée à flashé dans ma tête! Il avait guérit instantanément d'une chute de trois étages, comme je l'aurais fais, alors il ne pouvait pas mourire!
Je me suis relevée et dirigée en courant vers ma chambre. Il était d'abords hors de question de montrer à qui que ce soit que j'avais pleuré. Ensuite je suis descendu au salon et j'ai surpris Nathan entrain de pleurer sur son corps. Il semblait… Et bien il semblait mort quoi! Angela m'a vue et je lui ai demander si je pouvais lui dire aurevoir seule. Elle a accepté et trainer Nathan de force hors de la salle.
Je me suis assise par terre, à côté du sofa sur lequel ils l'avaient mis. Je n'ai pas pu retenir une nouvelle larme de couler. Il semblait si mort! Est-ce que j'avais ressemblé à cela? Avais-je vraiment eu l'air si morte que ça? Je suppose que oui puisque j'étais ouverte, prête à être autopsiée! Puis je me suis secouée, s'il avait mon pouvoir il ne pouvait pas vraiment être mort alors cela ne servait à rien de le pleurer! J'ai donc doucement passé ma main derrière sa tête. S'il était dans cet état, c'était parce que quelque chose s'était fiché dans son cortex cérébral. Et comme je le pensais, ma main est entrée en contact avec un morceau de verre.
Je l'ai empoigné et j'ai tiré. Dès que le morceau de verre eut quitté sa tête, ses yeux sont redevenus bruns et il a prit une grande inspiration. Il a toussé un instant puis son regard c'est posé sur moi. Le début de panique que j'avais vu dans ses yeux s'effaça et il essuya doucement la larme qui coulait sur ma joue tout en me souriant. Je me suis précipité dans ses bras, l'ai embrassé sur la joue et lui ai fait promettre de ne plus jamais me faire une peur comme celle-là. À la force qu'il a mit dans notre étreinte, j'ai su qu'il m'aimait bien et qu'il était désolé. J'aurais tellement aimé qu'il ne soit pas mon oncle!
La voix de ma mère me sort de mes pensées. Je crois que le repas est près, mais je n'ai pas faim. Je n'ai jamais faim en fait et j'ai perdu goût à la vie. Mon père et ma mère ont bien tenté de savoir pourquoi, mais je ne leur ai rien dit. Je pourrais dire à ma mère qu'il s'agit d'un garçon, mais elle le dirait à mon père et ce dernier deviendrait sans doute fou de rage en apprenant qu'il s'agit de Peter. Il ne pourrait pas comprendre. Qui le pourrait d'ailleurs? Une nièce amoureuse de son oncle… C'est pas banal et sûrtout, c'est amoral. Du moins, c'est ce que le reste du monde pense!
Maintenant c'est la voix de mon père qui me sort de mes pensées. Je me lève, ouvre la porte et lui cri que je n'ai pas faim et que je suis fatiguée et donc que je me met au lit. J'enfile mon pyjama, celui que m'a offert Angela, éteint les lumières et me couche. Comme toutes les nuits depuis six mois, c'est avec le visage de Peter en tête que je m'endore.
Je suis en classe et le soleil inonde la salle de cours. Le professeur Parks donne son cours de biologie, mais je suis ailleurs. J'ai fais un rêve complètement dingue cette nuit. Peter était là. Évidament qu'il était là. Il était assis sur les marches à l'entré d'un vieux pub irlandais. Ne me demandez pas comment je sais que le pub est en Irlande, je le sais c'est tout. Je vois le nom du pub, l'Irish Spring, en néon vert. Donc, il est assis sur les marches du pub et de la musique sort par la porte ouverte derrière lui. Il regarde au loin, pensif. Soudain, il tourne son regard vers moi car il a entendu le son de mes pas. Cependant, le regard qu'il me lance me pétrifie. Alors que je prononce fébrilement son nom n'osant y croire, il me regarde curieusement comme si…Comme si il ne me connaissait pas. Son visage et son regard sont toujours autant expressif et je vois ses émotions d'autant mieux qu'il a coupé la franche qui lui tombait sur le visage. Je me dis un instant qu'il est encore plus sexy les cheveux courts, mais je secous la tête pour me reprendre. Je m'arrête finalement à deux pas de lui et je me rend compte que je pleure de joie. Et lui me regarde apeurré, ne comprenant pas pourquoi je pleure. Je me suis réveillée au son de sa voix qui me brise le cœur en me disant : « Est-ce que ça va, mademoiselle? Est-ce qu'on se connait?»
Ce songe était à la fois un rêve et un cauchemard. Je retrouvais enfin Peter, mais lui ne me reconnaissait pas. Mais je sais que même si je retrouvais un jour un Peter amnésique, je préfèrerais encore qu'il m'ait oublié plutôt que de le savoir mort. D'ailleurs, pour moi il est évident que Peter n'est pas mort. J'en suis convaincue. Ou plutôt, j'essaie de m'en convaincre.
- Mademoiselle Banks! S'exclama alors monsieur Parks. Veuillez ramener votre attention dans cette classe et répondre à ma question!
- Pardonnez-moi monsieur Parks. Répondis-je en rougissant. Quel était la question?
- De qui nous viens la théorie de l'évolution? Répéta Parks, agaçé. Suivez un peu, mademoiselle Banks!
- C'est Charles Darwin, monsieur! Répondis-je doucement.
- C'est au moins ça! S'exclama-t-il.
Alors qu'il allait continuer sur sa lancée, la cloche l'interrompis. Sauvé par le gonge comme on dit! Ma journée continua sur la même lancée. Pendant toute la journée, mon rêve m'a obsédé. À un tel point que j'en viens à me demander si ce n'était pas un rêve prémonitoire ou un truc dans le genre. Il était si réel et, en plus, aucun rêve ne m'est resté en mémoire aussi bien que celui là. Mais quand bien même ce serait un rêve prémonitoire, je fais comment moi pour me rendre en Irlande? J'ai même pas encore 17 ans alors c'est courru d'avance!
Je quitte finalement le lycée en tentant de penser à autre chose. Je rigole en pensant à Monsieur Muggles. Ma mère dit que le pauvre toutou déprime de ne plus faire de compétition et que le fait d'être un parfait inconnu sans pedigree lui mine le moral. Comme si ce pauvre chien pouvait en être aussi malheureux! Je crois que c'est plus à elle que ça manque qu'à lui! D'ailleurs, le jappement de Monsieur Muggles m'accueil joyeusement quand j'entre dans la maison, mais les hommes que je vois dans ma cuisine avec ma mère me pétrifie. Je reconnais le Haïtien et l'homme qui a tirer sur Sprague quand il est venu chez nous à Odessa. La Compagnie nous a retrouvé!
Ma mère me lance un regard lourd de signification. Prend la fuite Clair! C'est presque aussi limpide que si elle l'avait dit à haute voix. J'hésite encore un peu puis me retourne après un dernier regard pour ma mère. Je l'aime plus que tout mais je sais qu'elle veut que je vive, et surtout que je sois libre et ce n'est pas en tentant de la sauver que je réussirais. Alors je me retourne et sort en courant. J'entend la détonnation d'une arme a feu et sens une balle se logée dans mon dos. Heureusement, elle n'as pas touché la colone vertébrale. Cela ne m'aurait pas tué, évidament, mais ça m'aurait empêché de continuer. Je continue donc sans m'arrêter, sort de la maison et grimpe dans mon VUS. Je suis déjà engagée dans la rue où les curieux commencent a s'amasser quand l'homme qui accompagne le Haïtien sort. Je le vois pester, mais il ne tire pas vers moi car il y a trop de témoin. Tout en conduisant vers je ne sais pas où, j'apelle en pleurant mon père chez Copie Kingdom.
- Papa! M'exclamais-je quand il me répondit.
- Claire, ma chérie! Répondit-il, inquiet. Est-ce que ça va?
- La Compagnie! Dis-je en sanglotant. Ils nous ont retrouver! Ils étaient à la maison avec maman quand je suis rentré! J'me suis sauvée, mais ils ont maman!
- Oh mon dieu! Claire! S'exclama-t-il. Est-ce que tu vas bien?
- J'ai reçu une balle dans le dos mais elle est ressortie, alors sa va! Répondis-je, sanglotant toujours. Mais ils ont maman! Et je fais quoi moi?
- Tu es où là? Demanda mon père.
- Je suis en voiture. Répondis-je en inspirant profondément. Sur l'autoroute qui quitte Costa Verde.
- Alors continue! Me répondit-il. Écoute-moi bien Claire. Je vais faire un transfert d'argent dans ton compte. Tu as bien ton passe-port dans ton sac?
- Oui papa! Répondis-je sans le comprendre. Mais où veux-tu que j'aille?
- Là où tu veux temps que c'est à l'extérieur des États-Unis! Me répondit-il. Sort du pays, mais ne me dis pas où tu vas! Rends-toi dans un autre pays et cache toi dans un hôtel. Reste s'y quelques jours sans sortir ni parler à personne. Si je ne t'ai pas appeler sur ton portable dans quatre jours, appelle Nathan à New York et explique lui tout! Tu as compris?
- Oui! Répondis-je. Mais maman? Et je n'ai pas de vêtement, j'ai juste mon sac de cours!
- Ne t'en fais pas! Répondit mon père, toujours très calme. J'avais fais des économies en vue de pareil situation. Tu auras suffisament d'argent dans ton compte pour t'envoler pour n'importe où sur la planète et y vivre quelques mois sans problème alors tu fonces dans un aéroport, prend le billet pour où tu veux et une fois là-bas, tu fais du shopping puis tu t'enfermes dans une chambre d'hôtel! Et ne t'en fais pas pour ta mère, je m'en occupe! Maintenant je dois te laisser Claire!
- Papa! M'exclamais-je inquiète. Je t'aime! Sois prudent!
- Toi aussi ma Claire chérie! Me répondit-il. Sois prudente, je t'aime!
Et il coupa la ligne. Mes larmes repartent de plus belle. Je sais qu'il réussira à sauver maman. Mais je sais aussi que je ne les reverrais pas avant un moment. C'est après moi que la Compagnie en a et si je reste avec eux, je suis un danger.
Après une heure de route, j'arrête ma voiture dans le stationnement de l'aéorport international John-Wayne à L.A. Je suis certaine de ne pas avoir été suivi, mais je dois demeurée vigilante. J'attrape ma bourse et laisse mon sac de cours sur la banquette arrière. Je sors, vérouille mes portes et me dirige vers l'intérieur de l'aéroport.
Une fois au travers des centaines de personnes, devant le tableau d'affichage des arrivés et départs, je me sens mieux. Ils n'oseraient pas s'en prendre à moi ici. Cependant, demeure encore la question d'où je vais. Après quelques minutes d'observation, une destination attire mon regard. Dans deux heures, départ de L.A à destination de l'aéroport international de Cork, Irlande. Maintenant, je suis certaine que mon rêve n'était pas un rêve ordinaire. Peter est vivant, j'en suis certaine et je dois le retrouver! Une vague d'angoisse monte en moi en repensant à son amnésie, mais je me calme en me disant que je suis peut-être la seule à pouvoir lui redonner son passer! Et, en plus, Peter est profondément gentil et bon, je sais qu'amnésique ou pas il me protègera.
Deux heures plus tard, je serre mes mains sur les accoudoirs de mon fauteuil alors que l'avion décole. Je déteste prendre l'avion, et je sais que le voyage va être long, mais s'il me permet de retrouver Peter je prendrais cet avion avec le sourire. Une fois que l'avion eu décollé, je me relève et prend le petit bagage que j'ai acheter à la boutique de l'aéroport et y prend le pull en laine noir que j'ai acheté. Me doutant que la température printannière de l'Irlande ne devait pas être celle de la Californie et donc que je gèlerais avec mon short et mon débardeur, je me suis acheter un petit sac, un jean, un t-shirt noir, un pull noir et une veste en cuir noir également. Et juste pour vous dire qu'on trouve vraiment n'importe quoi dans les aéroports d'L.A, je me suis aussi achetée un ordinateur portable. Je me suis dis que cela pourrait être utile! Bref, je ressers mon sac dans le porte bagage au dessu de ma tête et me roule dans mon siège pour regarder par le hublot. Je ferme finalement les yeux en aillant cette fois une dernière pensée pour mes parents. Faites qu'ils aillent bien!
