Mes chers lecteurs, je vous présente le dernier né de mon imagination : "Quileute Pack : Les premières fois..."

J'espère que cette serie de One Shot sur les loups vous plaira, et pardonnez les fautes, mais Word m'a laché, je n'ai donc plus de correcteur orthographique digne de ce nom...

J'espère que cette histoire vous plaira ! Bonne lecture !

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Chapitre 1 : Sam (Transformation)

Leah m'embrassa une dernière fois avant de sortir de la voiture et de courir vers chez elle. La pluie battait contre les carreau de ma voiture. J'eu un sourire en la regardant disparaitre dans la maison. Puis je mis le contact et m'élançai dans la réserve jusqu'à chez moi. Une fois à bon port, je me garai dans l'allée. Je fus surpris de voir que la lumière était toujours allumée dans le salon.

Coupant le contact, je descendis de la voiture. Je traversai l'allée sous la pluie et sorti de ma poche mes clefs. Après avoir ouvert la porte, je m'ébrouai légèrement pour sécher un peu mes cheveux. Ma mère était assise dans le salon. Je la rejoins, inquiet. Elle était blême. Son regard était vide et apeuré.

-Maman ?

Elle leva les yeux vers moi et tenta de reprendre une contenance.

-Sam, tu as vu l'heure ? Et tu es sorti comme ca ?

Elle se leva et quitta la pièce vers la salle de bain. Quelques minutes plus tard, elle revint avec une serviette qu'elle déposa sur mes épaules. Sa main frôla ma peau nue malgré les températures.

-Mon dieu ! Tu es brulant !

-C'est pour ca que je sors si peu couvert. Maman, que ce passe-t-il ?

Elle sourit légèrement, mais ses yeux restaient vides.

-Rien mon chéri.

-Maman, ne me mens pas !

Elle tressailli. Je me plaçai derrière elle et posai mes mains sur ses épaules. Elle se tourna vers moi et leva la tête pour me regarder.

-Depuis quand es-tu si grand ? demanda-t-elle dans un soupire.

Je lui souris et l'assis sur le canapé.

-Parle moi maman.

Elle soupira et tourna son regard vers la fenêtre.

-Ton père viens d'appeler.

Je restai sous le choc. Bientôt, la surprise fit place à la colère.

-Qu'est-ce qu'il voulait ?

Ma voix était plus grave. Je me rendis compte que mes mains tremblaient.

-De l'argent. Il a des problèmes en ce moment.

-Ne le défend pas, dis-je en me levant.

Elle me lança un regard apeuré.

-Il s'en veux Sam.

Les tremblements redoublèrent. Je sentais la rage monter en moi. J'eu soudain chaud. Tellement chaud…J'avais l'impression de bruler de l'intérieur.

-Comment peux-tu dire ça ! Il nous a abandonné et ne revient que lorsqu'il en ressent le besoin !

-Sam, qu'est-ce qui t'arrive ?

Je lu la panique dans ses yeux. Ma respiration était hachée, saccadée. Je tremblai encore plus. J'étouffai. Je pris alors mes jambes à mon cou. J'ignorai pourquoi, mais ca me semblai alors la meilleur solution. Je sorti de la maison. La voix de ma mère me parvenais encore. Je couru. Aussi vite que je pus. Je fonçai vers la forêt. Lorsqu'enfin je parvenais à la lisière, une immense chaleur m'enveloppa, m'arrachant un cri. La brulure redoublai. C'étais comme si j'étais plongé dans un brasier. Je continuai ma course en titubant, me rattrapant entre les arbres. Soudain, j'eu l'impression que ma peau se déchirai. Un immense bruit de déchirure et d'explosion retenti et je tombai à genoux.

Je sentais couler sur mon visage. Sans m'en rendre compte, j'avais fermer les yeux. Je me rendis également compte que je n'avais plus si chaud. La température était bonne mais sans plus. Lorsque j'ouvrai les yeux, j'aperçu un amas de tissu sur le sol. Je fronçai les sourcils. Je tentai de me relevai, mais cela me sembla impossible. Baissant les yeux sur mes bras, je hoquetai de frayeur. Là où aurait du se trouver mes bras et mes mains se trouvaient des pattes. D'immense pattes poilus. Je voulu hurler mais ne reconnu pas ma voix. C'était un cri bestial qui s'échappai de ma gorge. Un hurlement de loup. Je me redressai et tentai d'avancer, mais la peur nouait mes muscles, me faisant trébucher et tomber.

J'étais terrifié. Après plusieurs essais, je réussi à me tenir sur mes…pattes. Je tournai en rond dans la forêt pour réussir à trouver une solution. Une nombre incalculable de questions me traversai l'esprit. Qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi moi ? Suis-je le seul ? Pourrai-je redevenir humain un jour ? M'aidera-t-on ?

Durant mes réflexion, mon esprit vagabonda vers Leah. Comment réussirai-je à lui cacher une telle choses ? Le devais-je ?

Je secouai la tête. Chaque chose en son temps. D'abord, je devais redevenir humain. Je tentai de visualiser mon corps et alors, la chaleur m'envahi. Une douleur me prit dans tout mes muscles et je hurlai. J'écarquillai les yeux en découvrant que c'était ma voix ! Des larmes de joie coulèrent le long de mes joues tandis que j'inspectai mon corps. Deux jambes, des pieds, des bras, des mains, de la peau. Et pas un seul vêtements !

Je levai les yeux vers le ciel qui commençait à s'éclaircir. Le jour allait ce lever dans quelques heures. Je devais rentrer chez moi avant que la Push ne soit envahi par les gens et qu'on risque de me voir ainsi.

Je me redressai, encore chancelant, et pris la route de chez moi. Je couru. Je m'étonnai vaguement de ma vitesse et de mon agilité. Soudain, je me mis à me questionner sur ma croissance accélérée, sur ma température extrêmement élevé alors que je n'étais pas malade. Je me demandai si tout n'étais pas lié.

Enfin, la lisière de la forêt apparu devant moi. J'aperçu ma maison. Jetant des coup d'œil alentour, je tapai un sprint jusqu'à ma fenêtre. Par chance, ma mère ne l'avais pas fermée. Je poussai dessus et elle s'ouvrit. Je me faufilai dans la pièce. Une fois à l'intérieur, je ramassai un caleçon sur le sol et un jean que j'enfilai. Dans ma hâte, je trébuchai et me rattrapai en tapant contre mon mur. Le bruit fut léger. Pourtant, on s'agita de l'autre côté de la porte.

-Sam ?

La voix paniqué de ma mère me rempli de remord.

La porte s'ouvrit, révélant un petit corps menu et un visage magnifique tordu par l'inquiétude.

-Leah ?

-Ou étais-tu ? Demanda-t-elle.

Je fis un pas en arrière. Elle entra dans la pièce.

-Sam ? Ou étais-tu ? Nous étions morte de peur !

Elle criait. Ses yeux étaient rouges et irrité. Je me traitai metalement de monstre d'être la cause de ses larmes. Néanmoins, ma crise de cette nuit devait rester secrete, j'en était sur.

-J'ai été faire un tour.

-Sans rien dire à personne ! Sans ton portable !

-Arrête Leah.

Ma voix était étrangement calme malgré la terreur et la peine qui m'habitai.

Elle recula d'un pas. Ma mère apparu derrière elle. Elle se jeta dans mes bras. Ses larmes tombèrent sur mon torse nu. Je vit Leah faire demi tour.

-Leah !

Elle ne me jeta pas un regard et quitta la pièce.

*

* * *

Cela faisait deux semaines que j'avais muté pour la première fois. Cela m'était encore arrivé plusieurs fois, toujours à cause de la colère.

Mon couple commençai à battre de l'aile. Leah et moi passions notre temps à nous disputer parce que je disparaissais de longues nuits et que je refusais de lui en parler.

Ma mère était inquiète. Je m'en voulais de lui causer tant de mauvais sang. A cause de mon mutisme, j'avais ce soir rendez-vous avec le conseil de la Push. Il réunissait un cortège d'hommes influents de la tribu. Ces hommes voulaient me voir pour être sur que je n'étais pas en train de mal tourner. Mais bientôt, ils n'auraient plus à s'en inquiété. Depuis quelques jours, je commençai à réfléchir à l'avenir. Je prévoyais très bientôt de quitter la Push. Pour aller ou ? Je l'ignorai.

-Sam, c'est l'heure !

Je sorti de ma chambre en soupirant. Ma mère attendait dans le salon, inquiète. Elle me serra dans ses bras et me laissa quitter la maison. Une fois dans la voiture, je soupirai fortement. Je fini par démarrer et pris la route de la Push. Une fois en centre ville, je tournai sur un sentier et rejoins une maison en bois peinte en rouge. Je vis trois jeunes hommes sortir du garage et foncer vers la plage en riant.

Tout trois étaient bruns, avec des cheveux longs et une peau cuivré, typique des Indien. Je les regardai s'éloigner tandis que je serrai le frein à main. Un homme en fauteuil roulant sorti alors de la maison et s'arrêta sur le seuil. Un autre, plus vieux se plaça à ses côtés. Je sorti de la voiture et avançai d'un pas décidé vers eux.

-M. Black, M. Ataera.

Ils hochèrent la tête. Le vieux Quil Ataera me tendis la main. Je la serrai rapidement. Lorsque ma peau entra en contact avec la sienne, il sursauta et ses yeux devinrent rond comme des soucoupes. Il agrippa ma main. Je fronçai les sourcils, mal à l'aise.

-Billy, par nos ancêtres ! Il a muté !

Je sursautai et fit un pas en arrière, arrachant ma main au vieux Ataera. Billy me regardai en fronçant les sourcils.

-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.

Billy roula en arrière et me montra la porte.

-Entre.

J'hésitai une seconde, puis entrai, résigné.

Quil Ataera et Billy Black me suivirent de près. Une fois à l'intérieur, Billy nous indiqua la table du salon. Je m'y assis, accompagné par Quil qui me fixai toujours la bouche ouverte.

-Sam, nous devons savoir. As-tu en plus de ta fièvre élevé, des tremblements ?

Je me figeai. Billy échangea un regard avec Quil. Puis il reporta son attention sur moi.

-Mon garçon, je vais t'expliquer ce qui est en train de t'arriver…